STAD IJPEREN.
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57 K.OOPEX
DiCTIOiUmE
L'ÉCONOMIE FINANCIÈRE
Le RÉPERTOIKE DU RENTIER,
.iere:
qui ne lui coû'erait pas grand' chose, si l'on
songe au produit restreint que donne ce «1 roit
et ce que coûtent 1 Etat, dans les bureaux
de l'enregistrement les employés chargés
d'appliquer ces timbres.
Le timbre a été aboli pour les circulaires et
prix courants qu'on distribue domicile et
dans les lieux publics il est insignifiant pour
les affiches qu'on p-nd l'intérieur des esta
minets. des hôtels, des gares L'annonce dans
les journaux qui couslitue la plus grande
publicité possible ea est exempte depuis
l'abolition du timbre dont était naguère
frappée la presse périodique. Pourquoi le
conserver seulement pour les affiches*.-On
comprendrait encore qu une ville frappât d'un
impôt le droit d'afficher dans ses rues mais
que l'État perçoive cet impôt pour l usage
qu'on fait d'un mur qui ne lui appartient pas,
cela n'est pas juste. ^jf>-
Il y a plus Nous ne savons si au point de
Vue constitutionnel, on peut frapper l'indus
trie de l'imprimerie d'un droit auquel on a
fini par soustraire le journalisme et la logi
que ne conclut-elle pas aussi [abolition
d'un impôt qui ne frappe plus lannonce que
sous la forme du placard et l'exonère de toute
taxe quand elle s'étale dans un journal ou
quand elle revêt la foi me d une circulaire.
,<U'un autre côté, cet impôt a le défaut ca
pital d'enfreindre les préceptes d'égalité Les
imprimeurs de petites localités étant obligés
d'envoyer limbier leur papi r affiche dans les
chefs-lieux, ce qui les force des voyages
coîjjlejix et avoir toujours chez eux uu ca
pital dorma^de papier limbié
Le ministère libéral avait l'intention de
supprimer cet impôt qui rentre dans la ca
tégorie de ceux qui augmentent sans beau
coup de profil les frais d'administration.
Nous doutons fort que I administration actu
elle qui dépensant énormément a de très-
grands besoins, consente I abolir.
Dans tous les cas la question méritait
autre chose que le dédain de la Chambre
exprimé par un ordre du jour.
9-
Un accident, qui aurait pu avoir les suites les
plus graves, est arrivé vendredi l'entrepôt général
d'Anvers.
Un train composé d'une vingtaine de waggons,
chargés de marchandises de transit, a été poussé
avec une vitesse énorme sur la voie d'entrée. Les
agent^^u chemin de fer ayant négligé de prévenir
chargée d'ouvrir les portes de commu-
de la Cour Sud, le train est venu heurter
dernières qui étaient fermées au moment de
accident.
Les portes ont été brisées £vec un fracas épou
vantable et enlevées avec une violence telle qu'elles
sont restées suspendues sur le waggon faisant la
tête du tràin. On frémit, dit l'Opinionquand on
pense qu'à quelques pas de là travaillaient plusieurs
hrigades d'ouvriers avec chevaux et voitures et que
tout ce monde aurait pu être écrasé si la cloison
de séparation n'avait pas été assez solide, ou si les
portes étaient tombées du côté de la cour.
Pilules d1 IIollowayLa Mortalité pro enarit de Diarrées
et de maladies d'intestins est aujourd'hui a ir>uaute un haut
degré. Les fameuses Pilules H.ffloway prises par doses appro
priées guérissent ces maladies aii>si q te Tatjlesleiit des milliers
de personnes dont l'existence a été sauvée ;au moyen de cet
excelL nt remède. Que le relâchement soit c-tusé par une sup
pression de transpiration, un froid subit, up aliment indigest,
ou des fruits acides, ces Pilules off r ent un antidate efficace; elles
feront disparaître l'irritation des intestins calmeront les Iran
ché-'i, feront cesser les flaluosités désagréables et détruiront les
germes mêmes de maladie. Les Pilules d'Hollovray, autant que
possible, devront être prises au début des désordres, car elles
procureront un adoucissement immédiat et empêcheiont les
diarrhée de se convertir eu dissenlerie ou choléra. 17.
Eu vente: Pilules el (hiyueul, oliet Lbtsou-Vaw Omaivs, »ué
de Dixmude, 35. Ypres.
CAMTÉ II THIIC rpn^,,e sans médecine, sans purges et
OhIi I l M I UUO sans fiais, par la délicieuse farine de
Santé de Du Barry de Loudres, dite
REV1LE1TA ARABICA.
Vingt-six ans d'iuva iable succès.
Elle combat avec succès, sans médecine, ni purges, ni frais, les
dyspepsies, gastrites, gastralgies, glanes, vents, aigieurs, acidi
tés pituites, nausées, renvois, vomissements, constipation,
diarrhée, dyssenterie, coliques, toux, asthme, étouflemeuts,
étiiurdisseménis, oppressions, congestion, néviose, insomnies,
mélancolie, diabète, faiblesse, épuisement, anémie, phtliisie,
tons desoidres de la poitrine, gorge, haleine, voie îles bioiiclies,
vessie, foie, reins, intestins, muqueuse, cerveau et sang.
75,000 cures, y compris celles de Madame la Duolie.sse de Cas
tesiluart, le duc de Pl'uskow, Madame la marquise de Biéban,
Lord Stuart de Decies, pair d'Augleierre etc.,elo.
M. Johueii Guisse, de Cooillel (Hainant)nous écrit Si je
Savais pas fait usage de la Kevaleuta, qui m'avait été presciite
par les médecins, je u'exist -rais plus main tenant.
Cure N" 45 314. La femme de M. le maire de Vulvic d'une
irritation pulmouaire aveo crachement île sang et toux opiniâtre.
Cure N° 36 212 M. le oapitaiue Alleu, d'épib-psie
Cure Ne 40,852. M010 Marie Joly, de 50 ans de constipation,
indigestion, nervosité, insomnies, asthme, toux, llalus, spasmes et
nausées.
Cure N 63,476 M le curé Comparet, de dix-hui ans de
Gastralgie, de souiTrauces de l'estomac, faiblesse des uerfs, et
sueurs nocturnes.
CureN° 47,422. Epl-issment M Baldwiu, de délabrement le-
plus complet, de paralysie des membres par suite d'excès de jeu-
uesse.
Cure N» 76,448. Verdun, 16 janvier 1874. Depuis 5 ans je
souffrais de maux dans le côté di oit et da us le creux de 1'eslouiaC
de mauvaises digestions, etc. Je n'hésite pas a vous oeni6er que
votre Revulenta m'a sauvé la vie. Eknest C»t.k.
Musicien au 63e de ligne.
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Nord, Bruxelles.
5.
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niques réputées incurablesdes Voies urinaiiies
Epuisementcatarrhe vésical rétrécissements victa-
tiun du sang affections cutanées, etc.) Auteur du
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ni les dimanches ni les jours de fête, moins de ct^i-
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sa santé uu médecin que l'on ne .confiait que par
une annonce, alors surtout que toute annonce de l'es
pèce est d'avance taxée de charlatanesque. Le docteur,
Crommelinr.k engage vivement quiconque se propose
de le consulter lire d'abord son outrage. Il ose su
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