Dimanche, 34e année. 13 Décembre 18^4. 6 francs PAR AN. JOURNAL D'YPRES ET DE L'ARRONDISSEMENT, paraissant le jeudi et le dimanche. insertions v-an'.xoncbs la ligne ordinaire fr. 0-15 iuclamks la ligue Ir. 0-50 Les annonces de Bruxelles et-'le l'étranger. sont reçues cliet mm. lkcmkin et picaiio, Montagiie-dl's.Aveuglrs, a biiiixki.i.ks. Intérieur. y PROGRES VIRES ACQUiltlT EUNIlO Pour IVrroiid1 aiiiiiiuislrulitcl judiciaire d'Y près. fr. li-(ll) Pour le l'est m ii t du pays7-00 ABONNEMENT P Idem /ii^ le journal doit être adressé l'éditeur, rue au Beurre* 85. Tout ce oui de ré(r aigei*, iÔVI/de Versailles s'est de igée,. dans sa jet de la création il nie faculté de avoir plis en considération, Pion de M. Teste lin, elle P» lx contre 306. définitivement, !'éf»l>ljsseruenl flne Bordeaux et Lyort. il télégramme de Berlin annonçant /\nt anglais, eu réponse l'invita tiou ,ie l'effet de conhruor «SiHf.t- iavaux.de la conférence de Bruxelles, klait disposé prendre part fia 1i1Su- liicn qu'il regrettait de, devoir attend aucun résultat des f@>uvcaux ai lieux de Borne, YOpinione jppleikdit- de la légation d'Allemagne près le'S1 dit-elle, ne doit pas resteç- iudiffé- elle doit, au contraire, y trouver une 3ii des mêmes principes queles deux Lies dans leurs rapports .«vec* la I l jies pas encore en possession du tcxle Président des États-Uuis, mais <^>n contre l'Espagne, prdpbs dès tel qu'il était indiqué pat les pre- légrapliiques; semble1' bien réel. Les quelques journaux américains vont e général Grant de nusirrir eu seçrel riC avec l'Espagne V<jPr recoirquéya Im ité qu'il a pcrrfuJM. imposer eu peuple des Etats-Unis le retfoûvelle-^ ^•"•uce pour un troisième lepnie. 'ti doit jouer un grand rôle dans ces s ne les répétons qué pour marquer l'''t doit être motwé de l'autre côté de ''e léinique des partis. Mais 'qu'elles ..?''-olf non, l'Espagne fera bien d'aviser et laisser les Etats-Unis exploiter sOir profil Tion purement humanitaire, difficile résoudre lut état dt cause, mais qui a été singulièrement limée par la conduite barbare et inintelligente du de Madrid l'égard de sa colonie, pstililés ont ét'é reprises hier matin dans le nord gne. Une dépêche d'Hendayc nous apprend innade violente a été entendue jusqu'à trois après-midi, du côté d'Oyarcun. essaya il a ne dit rien q vaincu, avant comme le mérite, les services VtPRKS, Ir il Décembre. ^troubler la sérénité du cie Bara s'est permis hier d'inler Jj Te minisire de la justice «uffltv Ifaites dernièrement dans la jl.a m me n l celles dur ga rcr^^J .de .justice e Les explications de M. De l^ntsjieere ont été Irès-emhrouillées il parait) ait,- en effet, que son greffier a porté le tablier dUti noaçon ne pas confondre avec franc-maçoh il con vient même qu'il aurait pu tiervir quelque temps dans un caTé. pour y payer sa nourri ture, alors qu'il avait fut l'établissenrieni d'in struction où son père l'avait placé La question du cocher de vigilante n'a pas été abordée, 'mais il y a des raisons pour croire qu'un Tiomme qui pvance aussi vite, n'allait pas, pied. Quant l'ensemble des (piailles de ce1 greffier, elles sont'inventées par un triste iiMurnal M. le ministre n'a pas été phis ijfjureux j yanl dîépousseler le bloc'éiifaiiné,'donU fait un président, et dont' la npmii'ifiop lit rien qui vaille. Le public reste con-^ i, vfftt P» après, que rendus, ne - jilus-poiir rien sous l'adininislrhiio «et qye les emplois publics vie son. pVtx de l'intrigue et des opinions sincères nu jouées de ceux qui les s Quel beau régime Où nous corn u *aôîfc supposer que les recettes de 1875, pour les impôts proprement dits, dépasseront de 9 millions la moyenne des recettes des cinq dernières années de 6 millions seulement d'après le rapporteur, et encore que cette dernière assertion repose sur une erreur matérielle contenue dans un document que le gouvernement a communiqué la Chambre. M. Demeur a ajouté que malgré la réduction sur les prévisions des recettes des chemins de fer et télégraphes ces prévisions dépassent encore de plus de 6 millions le. produit u^ctif obtenu en 1873. Cçmpàrant.ensuite les prévisions du produit des ts en 1875 Rvec les prévisions admises pour M. Demeura constaté une augmentation de i.G,300,OOflf Cela est reconnu mais M. le isfré desfinances a soutenu qhe, dans les p1,7précddëhtes, il s'était trompé et que les ..'jsm.çntsL avaient dépassé de beaucoup les '-trou rcileiït. |ira-l-ilv3 J "NOS FINANCES.- ii Un d$hiierrnot, dit l'Etoilesur la situation des finance^tellè-qu'elle résulte dé la discus! n gene- e, cette stre des entrale raie du budget des voies et moyens sout année, par M. Demèur "contre le mij finances et le rapporteur de'la sectiof lesquels lui ont laissé le dernier mot. D'abord, il a été établi par nous qui budget de 1873, M. le ministre des fin fait une erreur de 9 millions 600 mille prétendant avant Ies*electîons que et solderait par. un. boni de fr 6,440,0( qu'en réalité il présente un déficit a\ p <$e francs 3,160,301, sans compter toi j c qui ne ourrait pas être recouvré des 13 n,| j s qui IfstaierfW rentrer au 1* janvier 1873. 1 En ce qui concerne le budget de A. le Sinistre dés finances avait eu la bonté 'a 1 rire uési avant les élections que l'excéda' et- tes sur les dépenses serait de 10 00 ipille fr. M. Demeur a démontré, r-o™ée,1 rt même de la section centrale, '"V* ac'^TS étaient également chimériques m nt «leetorales... Y&lba^V^'-u^udget. M. Demeur n'a pas contesté I les ci^itations des recettes ont presque tou jours été dépassées, mais il a fait observer avec raison ce sujet, qu'il en est de même pour-lest .dépenses ttopoin le crédit de 9.2GO"(>' 9 que les lîâmbfes oiïtW apn, liommes de f Il crois ceut 83 omtr-r bfsiiOiLj. il L>es vro en ant jtu budget de 18751 ^/Selles a éta'- i que fis»? Présentées é!l'ns des pif .isioéfe dr^Jépenses l'excé Tx frite tf^' pp v..?1 r<-- 0-', vl ece- ue t isio^ d 'Otlttufi sor] *s s I l V w e-i aenses, précédente session pour le seul ^^^^^ravaux 'publics. Il se peut néanmoins, a-t-il dit, qpè les recettes prévues au budget puissent être obtenues en 1875, si rien ne vient troubler la-marche des affaires. Dans ce cas, avec ces recettes, on pourra subvenir aux dépenses prévues dans les budgets primitifs si ceux-ci ne sont pas augmentés mais le trésor sera dépourvu de ressources pour faire face aux dépenses qui, chaque année, sont l'objet de crédits supplémentaires. A court de meilleures raisons, M. le ministre des finances a» dit qu'il ^vait confiauce dans l'avenir. Nous souhaitons pour lui que cette con fiance soit mieux justifiée qu'elle ne l!a été dàns le passé. La Chambre des représentants avait son ordre du joûf de la séance d'hier le fïrtjet de loi portant pour titre Assimilation de la dette de l'Etat 2 1/2 p. c. t"*x autres parties de la dette publique. Ce titreisei simplement de passe-port la dis position de J' ]j..2 donnantau ministre des finances, l'autorisation d'affecter au rachat du 3 p. c. les fonds d'amortissementdesdettes 4 1/2 et 4 p. c. demeurés sans emploi. Il s'agit pour M. le ministre des finances d'essayer de relever Je cours du mal heureux 3 p. c. en consacrant quelques njile on rachat des titresde cetemprunt. 0'L le mm n'atteindra nn^fl pas le résultat cours que l'on^Rtient d'ur tombent dès qué les ac>^ e J''^fî^essent. La hausse et h ify, -publique dépendentci or "°1 .i s f su si oc M e (Je j(' la^riI J| "t-a loi de l'offre et de laj ,.es mtun certain^ -pas les rne peut tej ivoi mimi -spere

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Le Progrès (1841-1914) | 1874 | | pagina 1