3,509. - Jeudi, 34e ANNÉE. 17 Décembre 1874. - FltlNCS PAR AIV. MO t V i_ A Z. LE PROGRÈS j0,0IIN.AL D'YPRES ET DE L'ARRONDISSEMENT, PARAISSANT LE JEUDI ET HE DIMANCHE. VIRES ACQDIRIT ECNDO. AHONNEMliN I PAR AN Pour P"»i'ioiull ailiiuTiistratif et j«niici»ire d'Ypres. fr. ,6-00 idem Pour le restant du pays, 7-00 Tout oc qui concerne le journal doit être adressé l'éditeur, rue au Beurre, 85. INSERTIONS Annonces la ligue ordinaire fr. 0-15 Réclames la ligne fr. 0-30 Les annonces de Bruxelles et de l'étranger sont reçues chez MM. Leciirin et PiCAiii>,.f5,-.MoiitagncylcsAveugles, Hiiiixki.i.ks. \on de rcli-aiigt'i'. Le procès rlf^enim continue Berlin sans incidents „ien remarqua,! Çn revanche les offices diploina- tuinoijpj.'ejJe sEU'is ati^p.r sunt du plus haut intérêt. I oute la 'correspondance jette une éclatante lumière nr la politique de l'Allemagne dans ses rapports avec a.France et sur les tentativ -. de M. d'ArtiiuOde con trecarrer celte politique a; profit de l'alliance qu'il '.vit contractée avec M. de .Broglic et les cléçicaux au Sy-i établissement ne I» monarchiejé'gitimé. était bien Ourdie, fortement soutenue iierlin, et il a fallu toute l'énergie toute l'intelligence et toute la longanimité du chancelier pour en briser les {rames et en écraser l'auteur. Quelle que «dît Pissuc du procès, M. d'Arnim y laissera sa répii'atinn de diplo mate et de serviteur intelligent des inièls de son PaYs- 4 1 y' Le Parlement alleinàtid a eu l'oecasmn d'afiirmer I son inviolabilité contre les agissements de là justice. Un député du centre, rédacteur en chef de la Germa- tiia M. Majunkc, ..vaut arrêté pour subir la peine d'un an de prison laquelle il a été condamné pour délit de presse, toute l'assemblée, sans distinction d'opinion, sur la proposition de M. Lasker, a chargé sa commission du lèglemenl d'examiner si l'arresta tion d'un député pendant la session est légale et par quels mofens ses mesures pourraient être éyenluelle- HMMit empêchées Des télégrammes de Madrid dtis'Al décembre avouent la défaite de l/oina dans la journée du 8 devant Urdiclo, entre Hcrtiani et Andoaju, sur la roule de Tolosa, mais ils ne disent rien de s^.ma't. annoncée py des dépêches carlistes, expédiées de Bayonno. Il n'aérait été que légèrement blesséf "et,Àlès le 9, il aurait pu s'établir avec toutes ses forces Anduait^ deux lieues de Tnlosa. Le maréchal Serrano, arrivé Logrono le 11 décem bre., a rendu visite ie même jour au maréchal Espar- teiri L'armée a fait au chcf.du pouvoir exécutif un e/eil favorable. Les opérations contre les carlistes en ¥>yari'e, eoncordatHes avec celles que Loma dirige fans le Guipuieoa ne larderont pas commencer. Unenvoyé de la République argentine,cncominission eq,Europe, M. Manuel Garcia, a reçu dir ministre des ait «ires étran U'êres de son pays uii télégramme offieiel dat\î de Buenos-A y ces, le 9 décembre, lequel confirme la co nplètc défaite de l'hisîtrréclion dirigée contre la (idern èi-p élection présidenlieWfmv, antaisie,>— luiér S Hécctabre. o sait vept L\c- nbifi L ci fcvfciat'.Vn libérale «j'A n «i» r '"'fn /r»i tëf MMMB r ""J7rV t '"K n Nous nous demandons de qui ces organe» cléricaux se moqiient lorsqu'ils affectent ainsi une froide indignation pour dès "procédés qu'ils pratiquent eux-mêmes, depuis plus de dix ans en plein jour et au vu et su de tout le monde. Lorsque nos amis, leur tour, veulent recourir ces procédés, ils ne font donc qu'user de représailles, et queyCombajtre armes égales. Aussi, nous engageons vive ment les libéraux de notre ville, de ne pas perdre ces sages recommandation* de »ue. Les imprécations dont elle est l'objet de la part de toute la presse cléricalè, prouvent a-ssez que Cette mesure,es' u" mtfyen efficace qu'elle redoute et doql elle a pei - La circulaire;suiy?inte a été adressas MM. les mêmbres de l'Assojîiation Libérale jfc#"erviers Votre comité, ne youluti* de propagande a résolu d'organiser il a di.ssemenl l'œuvre dile de la Pressé l gratuit, de journaux libéraux aux calés e ^recommandés. - Il y a déjà près de trois ans, nous journal hebdomadaire l'Organe de Ve communes dont un certain nombre ne envoyés gratuitement dan^jles campai distribution de diverses publications I choisies ne peut qu'être favorable Tins, tique des électeurs. Pour réaliser cette œuvre, nous fa tous les libéraux et nous les prions de nous indiquer les journaux libéraux qu.'il notre disposition pour l'œuvre. Nous ensuite parvênir les bandes d'âdresse néecjj l'expédition directe ou s'ils* le préfèrent,n prendre les journaux domicile, Vrrvier] mont Disou ete. et nous les expedi^ mêmes. A cet effet, messieurs, vous "trouverez bulletin que nous vous prions de rempli retourner. Votre comité a chargé M. Pierre Gros Vieillards 24 Verviers eonjointeiii secrétaire, de la direction de l œu munications peuvent i Nous «omptou •ïdA I janvièrj Ve parfaite eaux rte doutent plus de rien. Les anti-chambres des évêcbés sont encombrées de solliciteurs les évêques seront bientôt obligés, s'il ne l'ont déjà fait, d'établir dans leur palais des référendaires comme il-y en avait du temps du roi Guillaume et dont la mission principale sera de servir d'inter médiaires entre les clients et leurs seigneurs et maîtres. Les chanoines les doyens, les curés ont de la besogne, je vous prie de le croire ils ont chacun leurs préférences ils voudraient tous avoir le procureur du roi dans leur manche. Il n'y a pas de race plus orgueilleuse que la race des prêtres politiques. Elle aime faire étalage de sa puis sance. Quand un ecclésiastique fait nommer un fonctionnaire public, vouëçpodvez être persuadé que tout le monde le sait, car le prêtre-protecteur est jbavard de son état il est glorieux par profes sion il fait étalage de son influence afin d'attirer lui et de tenir sous sa férule ceux qui ont quelque/ cljK demander ou attendre du pouvoir. Ëiiîyc" moment donc, dit le correspondant du Journal de Gand, les protections épiscopale? sont fort cou rués. Les candidats les plus impassibles sont sur les rangs. Pourquoiipas Un ancien gar çon de café, jadis cocher de/vigieut»"!^^' "TLA

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Le Progrès (1841-1914) | 1874 | | pagina 1