Le plus ancien journal ÊnawipMen kke L'ÉCONOMIE FINANCj Le RÉPERTOIRE DU RENTIER, refus de la fille Bataille se faisaient au contraire plus énergiques. Un dimanche matin il se dit qu'il fallait en finir et qu'il aurait raison des refus ohslinésdc la fille Bataille. Il alla acheter un couteau il le prit pointu comme un poignard. Avant de rentrer dans la ferme il aiguisa l'arme neuve puis il entra et plaça le couteau ouvert sur l'appui d'une fenêtre. A ce momentla fille Bataille revenait de la messe. Yvon lui renouvela ses propositions. Comme l'ordi naire, la jeune fille refusa et ne put même retenir un geste de dégoût. Alors le sourd-muet s'élança sur elle. Une lutte desespérée s'engagea, lutte affreuse. Dans un effort suprême elle parvint se dégager et s'enfuit dans une chambre voisine. Yvon, la tête cii feu, la suivit. Alors l'arrêtant d'une main par le poi gnet, de l'autre il saisit le couteaç qui étati près delà fenêtre et frappa. Il fit d'abord sa victime deux horribles blessures, une de chaque côté du cou. Puis il lui enfonça le cou teau en pleine poitrine et sortit. Il revint bienlftl, toujours armé de son poignard teint d(fsàng.'yEn^\oyaiitj sa victime près d'expirer, Yvon eut un r^re atripe,- et s'approchant de la jeune Tine"éteu</fîè sanglante et presque inanimée sur le tarquet il lui porta dans le basvenlre un quatrième et dernier coup Chaque fois que l'assassin avait frap- ié, c'était avec tant de violence, que la lame pénétrait jusqtr'au manche. Tous ces détails ont été racontés par la victime quel ques instants avant sa mort. Yvon a été condamné aux travaux forcés A perpé tuité. Un chemin de fer va être construit en Finlande c'est lefpremier qu'on aura fait dans ce pays. Cejsont des industriels belges q-dl ont reçu la commande de tout le matériel il y eu a pour qua rante millions. La Belgique ne dira pas que l'étranger méconnaît son mérite industriel. Il pleut depuis si longtemps que le moment est venu de rappelerque les astronomes les plus réputés s'étaient trouvés d'accord pour nous prédire que nous aurions un hiver des pliis'rigoureux cette année. On disait d'un mauvais soldat c'est un soldat du Pape. On ne dira pas que ces astronoifes réputés sont astronomes du Pape car ils ont prouvé qû ils n'étaient pas infaillible?. [Gazette) Le budget de la gu'em? proposé la chambre pour 1875 par le cabinet catholique offre un sup plément de dépenses de fr. 5 millions463 mille, fr. sur le dernier, budget des libéraux. gramme des morceaux qui seront exécutés le 17 Décembre 1874, heures, la Société de la Concorde, par là musique du lr régiment de ligne, sous la direction de M. Ch. Simar. 11. Si j'étais Roi 1 ouverture. (Adam.) 2. La Savoyarde pour hautbois et piston exécutée par MM. Van Walvclt et T^bu9. (Verroust.) 3. Philémon et BaucYs; fantaisie, t* exéeut ou nrr. Édouarit flluiar. (Goimod.) 4. La BabilflBc, polka pca^flûtc, exécutée par M. Ed. Simar. l (Tournois.) 5. Pot-poori^^^ulairOj^j-* (Buissons.) Et le monsieur Je suis comme toi, moi, je ne peux pas souffrir les bétes. M. Tbiers, qui s'occupe plus que jamais de son hôtel, marchandait hier un fort joli bronze qu'il cher chait avoir au meilleur marché possible. Ça me sera certainement inutile, disait l'ancien président. Ob monsieur, s'écriait le marchand avec naïve té, cela fait si bien dans une vente après décès M. Tbiers a été légèrement suffoqué. On écrit au Figaro que sous le dernier empire il y avait dix-huit frotleurs attachés au château (le Saiirt- Cloud. Eh bien, quoique le château ail été bombar dé, quoiqu'il y reste peine un mur et qu'il n'y reste certainement pas un plancher, les frottions sont, dit notre correspondant, toujours en place, louchant tou jours leurs appointements et, lorsqu'il en meurt un, on lui nomme un remplaçant La cravate blanche. Le bal de l'Opéra-Comique Paris, a failli coûter cher un boulevardicr bien connu. V..., étant sorti fort tard de son Cercle, rentre la hâte chez lui pour passer son habit mais là, il s'aper çoit qu'il lui manque un accessoire indispensable pour compléter la tenue de rigueur; pas de cravate blanche. Bah se dit-il, j'en trouverai au boulevard. Mais au boulevard, tout est fermé. V... se voit menacé de rentrer chez lui la situation est horrible ment tendue. Les cloches de l'Opéra. Le nouvel Opéra de Paris possédera dix cloches de grosseurs différentes et don nant, non la gamine.entière mais seulement les notes qui doivent s'accorder avec le chant de plusieurs ouvrages du répertoire tels que ffamlet, les Huguenots, FreischutzRobert le Diableetc. La fonte a parfaitement réussi. Une seul des dix cloches a dû être soumise au buriiiage, opération qui consiste diminuer l'épaisseur du métal,Au moyen du rabrftlage sur le tour. I LA COTE LIB&E Bruxelles, 1 ai» 1H 00 Rédacteur-propriétaire Sj^>v. 1 JHk 00 h 3 mois 4-50 Joseph BREUËR, Étranger le port en sus. Franfe 1, 10 centimes le numéro. Paris, 5, rue de Chaieaudun. Bruxelles, 1, d -p tous le* renseignements qui financier international la Cote libre publie j M 1 o les dépêches télégraphiques importantes monde industriel et financier 2° les dépêches Londres donnant le prix de h fonte écossaisedes métaux 3° Les eouçs d'ouvertuie et «leclôture des geres du jour même. Bonne les hiillel|iis des Bourî ques. Annonce lés adjudieati .us et leurs résultats., A partir du lr janvier la Coce libre sera dis même a L«»uvain. Malines, Anvers, Alost, Gan i el Les personnes qui s abonneront pour toute Lannéi vronl le journal gratis jusqu'au lr janvier prochain. LE CAPITALISTE 1 Paraissant le Dimanche, avec tfi puges a J prendra lr 1 janvier le nom Rédacteur en chef R. LHOEST, avocat. Directeurejerant F, COPPLNS. bureaux a bruxelles, hue de la montà (NB. A dater du lf mars, ils seront transférés! Central, c ôn de la rue Borgval.) Le journal donne 1° Uue causerie financière ej ren-lu détaillé de la Bourse des fond4 publics de i 2° TJu compte-rendu des Bomses des métaux et j grains et des sucres de Bruxelles 5° Une i marché français j 4° L'étude de tV"' françaises, et celle des principal^ «volume in 8' comprenant Ie Un tableausynoptique de toutes les valeurs traitées en B Igique et des principales valeurs de l'étanger avec Pindica- tion du revenu,des paiements des coupons, le revenu des actions, etc. olc 2' Des détails complets sur les valeurs introduites depuis 1872 la Bour-e de Bruxelles 3° Une notice spéciale sur le Grand Central Belge et les valeurs qui s'y rattachent 4® Une notice semblable sur la Convention du 25 avrit'1870 pour le rachat des chemins de fer des Bassins Houillers 5° Divers renseignements utiles aux rentiers. Toute personne qui prendra un abonnement pour l'anuée 1875, recevra le journal gratis en décembre 1874. M. CROMMELIN'CK, Traitement des maladies chro niques réputées incurables dos Voies urinaires Epuisementcatarrhe vésical rétrécissements vicia- Lion du sang affections cutanéesetc.). Auteur du Vrai Trésor de la santé ou Traité des maladies des voies urinairesécrit par les gens du inonde, 12°, édit. lt>5 fig. Prix 12 fr, chez l'auteur RRUXELLES 18 rue Notre-Dame-aux-Neigcs et chez M. Lambin, fils, rue au Beurre, Yprcs. Consultations tous les jours, de 9 h. 1 h. Une reçoit ni J» ifcifnanches ni les jours de fétc, moins de con vention spéciale préalable. iV. B. Il est souverainement imprudent de confier sa santé un médecin que l'on ne connaît que par une annonce, alors surtout que toute annonce de l'es pèce est d'avance taxée de charlatanesque. Le docteur Crommelinck engage vivement quiconque se propose de le consulter lire d'abord son ouvrage. Il ose se flatter que nul ne regrettera de l'avoir lu. C'est mi ouvrage unique en son genre. Pilules flollowny. La Mortalité provenant de Diarrées et de maladies d'intestins est aujourd'hui alarmante un haut degré. Les fameuses Pilules Holloway prises par doses appro priées guérissent ces maladies ainsi que l'attestent des milliers de personnes dont l'existence a été sauvée au moyen de cet excellent remède. Oue le relâchement soit causé par une sup pression de transpiration, un froid subit, un aliment indigest, ou des fruits acides, ces Pi Rient ifti antidote ellicace; elles feront disparaître l'irritatiori^Sintestins, calmeront les tran ché.;. feront cesser les fialuosuls-désagréables et détruiront les germes mêmes de maladie. Les Pilules d'Holloway, autant que possible, devront être prises au début des désordrës, car elles procureront un adoucissement immédiat et empêcheront les dia.^Éfée de se convertir en dissenlerie ou choléra. 17 fttfr 11 M T A TOIIC ren<h,c sans médecine, sans purges et I OHil I L A UUO sans frais, par la délicieuse fariSe de Sauté de Du Barry de Loudres, dite :j HEVALENTA AjuIBIUL Vlngt-si^aus d'invariable succèsJ

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Le Progrès (1841-1914) | 1874 | | pagina 3