AI*. N° 3.511. - Jeudi, 34° aniêb. 24 Décembre 1874. rr 6 FRANCS PAR JOURNAL D'YPRES ET DE L'ARRONDISSEMENT, JbndXf.er.Ml Intérieur. 1 t ,a l°c*lU e"ce »eulè rq L u [Ij PROGRÈS PARAISSANT LE JEUDI ET LE DIMANCHE. VIRES ACQCIRIT EDNDO AlllINNIiMIiNI l'Ail AN: Cour I'hitoh'I" administratifet Ment Pour In restant du pays. Tout qui «inneerne |n journal doit être ailrcs 5 l'é judiciaire d'Yiires. fr. <i-O0k' 7-00 dilnur, rue ait Renrre, 83. INSERTIONS Annoscks fa limite ordinaire fr. 0-15 IUcmmks la ligne fr. 0-50 Les annonces de Bruxelles cl de l'étranger sont reçues citez MM..Lbcii*in et Pictnn, 15, -Montagne des Aveugles, A IIruxki.lks. ■,-!-(•.>- 1% t plïtV^ic I ci ranger. I.'As-e.>.dée u «tionalc de Versailles a terminé la !*sc'itsifftin des propositions relatives l'Algérie. I.a discussion de la loi sur l'enseignement supérieur dit reprendre aujourd'hui mais comme elle sera orcémeut iitlerronipue jeudi et qi e heaucotip de dépit as sont déjà partis eu vacances on doute que As-emlilée soit eu mesure de délibérer valablement. Eu attendant, la commission saisie de la question de V collation des grades a donne gain de causi;, par 7 L ni* contre 7, au* prétentions du clergé. L'État pourra lélégner le droit de collation des gradet dans les («eût es liln es. l.a Cliambre des députes d'Italie ^est séparée jtisqu'aii 18 janvier après avoir vole le budget (les dépenses et le projet de loi qui accorde une siott nationale Gariliabli. ejljrc, Le tribunal correctionnel de Berlin jugement dans le procès d'Arnim. Le comte d'aJ' iin ne s'était pas présenté l'audience. Le tribunal1, le cnusiilérant eoumie en clal de détention provisoire ft e*igé qu'il eouipnût en "personne, niais il a fallu les instances de son fils et de ses défenseurs pour le déci der se présenter devant la juslirc. Le jugement porte que comte d'Arnim ambassadeur en disponibilité, n'est pas coupable de, suppression de linéaments et de délits disciplinaires, mais qu'il est coupable d'un délit contre t ordre public. En application de l'article 153 du code pénal, il est cnuilaïuné Lois mois de prison. Le mois de (léirmitin provisoire 'qu'il a déjà subi sera défalqué de sa peine. t Eu outre, le tribunal a ordonné la levée de fontes les mesures de sûreté qui avaient clé prises contre la liberté personnelle du comte d'Arnim. Le Parlement allemand s'est ajourné jusqu'au 4 janvier. Un télégramme adressé par le Président de la ^république Argentine M. Avrllaueda, la légation Wgriitiftc Paris, annonce qu'il a renvoyé dans ses foyers l'armée, qui a rendu la paix la république. La défaite couiptè'e de Mitre et de ses associés est ainsi |d-jneiiient confirmée Vpiiks, le *3 Itéeembre. Encore un plongeon M. Woeste récemment \mmé représentant Alo'sl, était aussi tut de -s pourfendeurs du militarisme Pendant dix ►s, il avatl crié dans la Revue yiuérale. dont vlail le ifii etfTeur d bai la conscription l-inlanl la guerre franco - prussien ne même i l.ail la.J^dg.'^iôn «les charges militaires; syeurs dj'"ire bieo convaincre nos populations que lotîtes les belle* promesses qui leur onl élé faite» n'étaient que des utopies jeliées en l'air, pour mieux les égarer et mieux le» tromper. M, Woeste eut mieux fait d'ailleurs de se taire, carses débuts oui fait tut immense fiasco. Lui, qui se fesait com|ilaisaminetil appeler dans le monde ullramonlain le Berryer Belge, s'est vu le sifflet coupé par se* collègues qui, peine avait-il tiil quelque» mots, au lieu de l'écouter silencieusement, s'écrièrent nous savons tout cela et le jeune renégat de s'asseoir, honteux et confu». jurant bien, mais un peu lard, qu'on ne l'y prendrait plus. t mmmmmmmmmamm I ignoble Nieuwsblnd npus^an'ce sa bave au sujet de la création d un Deniêà^ibétjflKet com*e d'ordinaire a recours l'ini) tmtt-e ainsi, il prétend que tué garder en vie le ,Pri ^çtV nous demandons bien" le Doyen, mais au Nieuioiblad des peine» inutile», eUpspéron# ques'il trouve quelquechoseà nous répondre, ce sera merci. tla an Al réclament tien péri? J'nj u x s vivent de«">Ui lei,rjf P3,ron*| doués d't *i,al,,é si B'wde quej komst vaîîr'!,,,,,r 8°" u Janvier r.V,a'n sa"'1 al,lino,'"l,'f 80,M •vier p que une inj même époque le Protjrèj On nous écrit de Poperinghe Nos voisin» de Proven, si traqué» él si tourmenté*, depuis quelque temps, inutile de vous dire-.par qui sont, en ce moment, plus en émoi que jamais ils sont, en effet, menacé*, parail-il, de perdre le- notariat établi dans leur commune. Onxtssure, en effet, que M. le notaire Fey», le nouveau protégé «le M. le vicaire de Lancker qui régettVe lout le canton, demande l'auto risai ion de transférer sa résidence Beveren ou Bousbrttgge Maître Fi-ys allègue, nous diu-'ofn, qu'il ne peut trouver se loger Proven. Ce ne serait là qu'un prétexte pourquoi ne parviendrait-il pas trouver, comme tous ses prédécesseurs, une habita tion dans cette localité, où libelle» maisons •"••t Kvir ,le |>r»'"i <«i e a" "f> VP' afn' du vicaire déLancker, "oit de Plus en\ulus lé» «er de lui ?vV, ®oit, on »e demande\i l'in- P'"ner I inlérêi*jjfcpuéra\ nlageux po(iV^"c C°S tante transformation. |\0U1 Juhailon* une cltose l'édij N 'eu tes affaire» grès et dc'est de faire d'aussi je n'en font les éditeurs d( Tofkomst. jyf}|Jcomprenons tlu reste que le libérât ^u<q'"it"li gène nos adversair| nous avons (Mis, ni Denier de S'j Vni être1,68 l,OU1' 'e Pape, m une œut Me» pe Chinois, ni congrégation bonne nfe1- ni ,ponC8 d'église, eï "oyons „a cque on Pp'" 1 —Iqttes libéreu» Slll)[IOSS^ no ce no lire s s el» tvar fini UV t Sans se i-PeuvéAIeMdeiice nota? dans i_e/,'.acer. el("'SI/aire 'eus pouX" «''angersj y \uoe 3 ce quej daire r lac ro"ac qu/sp P'rfois. n deveni; CSl M ^,„r Vr?L une.. ,a u" motif t"6 8'"ccure- ■'!ale' l'a Zr <,éPtâe'r eu'le. s°" vent PÇédéeeg ,eu'cà lude, Lutai» une t 3 dit lou Les ZÛZ'""- sont necel OnotHi;f: a i'7 dlriré «4o.i cerle* pas:Vel'P'e teTn/' l"°n fiiciuvIleLu re*id- k'e {lispavai fi"Ou tL en Iouf e

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Le Progrès (1841-1914) | 1874 | | pagina 1