BOOWSTOFFEN. Mise-à-prix RECOLTES RECOLTES, VENTE DE RÉCOLTES, UN BON CHEVAL KANTOOR YPRE Me Arsène VAN EECKE VENTE Me Arsène VAN EECKE, VENTE KjLsc de roi\Tf)noii- Renseignements chez Mtres DELE- DICQUE et DUJARDIN. Notaires, Lille, Boulevard de la Liberté. OPENBARE VERKOOPING TAS OUDE Elide 4e M" htam VAN ESCHE. LE MARDI. 20 JUILLET, 1873, 3 heures, l'hôtel Macote, place de la station, Wervicq, il Ll Jj Li 1J r h K JH M Ontvanger der Registratie en Domeinen te Ypre, zal op DONDER- nommée LE CHRIST, OAG 8" JULY 1875, overgaan tôt de d'une contenance cadastrale de 15openbareverkoopingvanoude Bouw- hectares, 59 ares, 62 centiares parmi stoffen zoo als Eiken en Dennen- fonds-bâti, jardin, verger, labour et houtgesmeden en gegoten Yzer, pré, située Wervicq, près de la Arduynsteen van Doornyk en Ecaus- sines, voortskomende der werken gedaan aan de bruggen der vaart van Ypre na den Yzer, en berustende op den Trekweg van gemelde vaart, te 1879, 1600 francs l'an, plus 88 fr.jBoesinghe, te Steenstraete, en bij het 88 c. titre de pot de vin. jsluis van Boesinghe. De verkooping zal beginnen om 1 uur namiddag, bij de Brugge te Boe singhe en zal voortgezet worden bij de Brugge van Steenstraete. Gereea geld, met 10 °/0 verhoog. située a ville, le long du pavé' de Comines- ten-Brielen. Occupée par M. Joseph Cael, avec droit de bail jusqu'au 1er Octobre NOTAIRE A WERVICQ. Le Mardi 19 Juillet 1875, 1 heure, en la ferme et sur les terres occupées Mlle Clémentine Haesebroek, Wer vicq (Basse-Flandre.) INSTRUMENTS ARATOIRES. rs" NOTAIRE A WERVICQ. Lundi 12 Juillet 1875, 4 heures, sur les terres de M. Taupe, Wervicq (section du Vieux Chien), Mercredi 14 Juillet 1875, 2 heures, en la ferme et sur les terres occupées par Mme Vanden- berghe, Wervicq (Basse-Flandre), Instruments aratoires j _ânche«^V^ PFacca^^e^ V r r dj^racié 1 continuées Notaire Wervlcq. de la DE DE f DE Itraitèren,cP^UH^^frétique. CéFb'èlaitrqu'i in franc-màçorî^pnnfallait chasser cl|i, village La 'intervint de nouveau et le tribunal deiCourtraît con- Ta la gent pieuse des peines sévères. [Chose remarquable Les pamphlets épiscopaux ne s'api- lèrent point sur le sort du curé de Deerlyk comme sur jdes pèlerinards d'Oostacker et il ne parvint la justice Inondation anonyme ni lettre confidentielle. Le confesseur poperinghois qui connaît la gent cléricale se croit, sans doute, non moins exposé que le curé de Deerlyk. I Néanmoins, il a eu le courage louable de braver l'intolérance qui fait rage l'évèché, les Hédemptoristes, tout le clergé et les fanatiques qu'il traine sa suite. L'autre dimanche, il fit entendre au haut de la chaire de vérité des paroles de paix et de concorde, comme personne ici n'en avait entendu depuis plusieurs années. Je voudrais reproduire son sermon en entier, mais je dois me borner vous en transmettre un pâle résumé. Quelques fidèles, égarés par l'excès de leur zèle, se permettent d'intervenir entre le confesseur et le pénitent, au sujet des rapports de conscience. C'est un grand mal et qui tend prendre de déplorables proportions. Il faut que chacun de vous sache, que celui qui s'est confessé sincèrement peut puiser, dans l'absolution qu'il reçoit, la paix 'complète de l'âme, sans s'inquiéter de ce qu'en pensent d'autres fidèles, qui n'ont reçu en cette matière aucune mission divine. ae Ice une gens, citoyen? Point, que la Flandre ipie, que ceux qui la lisent sont Iroduire chez nous la persécution Tismark contre l'Eglise catholique.... vingt mjputes. Entre gensJoyaux et bien élevés, qui n'ont d'autre but qqe de rechercher la vérité et de répandre leurs convictions, sans manquer au respect dû aux convictions d'autrui, la discussion repose toujours sur des données sérieuses et autant que possible, présentées contradictoirement. Avec les apôtres de l'ultramontanisme il ne faig|Ooint songer ce procédé simplement honnête. Si notre pi'& cateur tenait condamner dans son église les opinions politiques d'un journal, qu'est-ce qui l'empêchait de lire aux plus simples de ses auditeurs une traduction en flamand des articles qu'il voulait critiquer et de recommander, ceux qui en sont capables, la lecture habituelle du journal A propros de la persécution prus sienne, qu'est-ce qui l'empêchait de dire que le clergé observe en Bavière, en Autriche et ailleurs les lois contre lesquelles il se révolte en Allemagne? Ne pouvait il pas au moins préciser la cause des condamnations, cette auditoire borné, qui ne connait pas plus la législation d'Allemagne que celle de la Chine? Lorsqu'un malfaiteur est condamné, on ne se borne pas généralement s'apitoyer sur son sort, on cite avant tout le méfait dont il s'est rendu coupable! Encore une fois, ces règles n'ont pas cours dans l'Eglise romaine. Pour atteindre leur but eux, il suffit aux cléricaux d'inju rier, de maudire, d'exciter la haine dans le cœur des masses. Tout le système politique du cléricalisme est là et toute sa méthode d'enseignement dans la presse, au collège, l'école, (ÉRITÉ. Fevidmcé. Rangerait volontiers tur juger avec impar- fecouvertc ou invention quand Thomas Hollo- lent moins renommé, îèdes qui lui donnent lébut de son entre- Ifon et l'injure. Mais il y iMe suite que l'inlroduc- le h marquer une grande ice Médicale. Ils avaient lu ;je,:et, avant tout, ils avaient lit son Onguent et ses In dans les maladies internes et f. Ils n'éprouvèrent aucune honte S des préjugés et d'une opposition 'lurent et se déterminèrent essayer fiïîtals furent invariablement satisfaisants, lérisons se succédèrent rapidement. La 'tonnée, sinon confuse, le public fut convaincu. r'rafITJr Bretagne fut remplie du renom de ses nouveaux curatifs ce renom s'étendit sur tout le continuent Européen, se répandit jusque sur les rivages d'Asie, d'Afrique et d'Amé rique, et maintenant il parcourt le monde entier. Ce fut l'œuvre de moins de 30 ans. Est-ce que quelque chose de faux ou sans utilité réelle aurait pu établir une semblable célébrité dans cet espace de temps est-ce que quelques années d'expérimentation n'auraient pas été siflisantes pour tuer^loute «.découverte ou invention qui n'aurait eu aucune utilité pour la recommander? L'Onguent est considéré universellement comme un spéci fique souverain, irrésistible dans les cas les plus terribles de maladies éruptives. L'érysipèle de la nature la plus grave est extirpé remarquez extirpé, non pas supprimé par son action anti inflammatoire. Tumeurs, furoncles, ulcères, abcès, maux indolents, et même cancers se soumeitent cet Onguent privilégié; de plus les hémorroïdes ne peuvent pas comme on le suppose communément, être guéries par d'au tres moyens. Si ce ne sont pas là des faits probants, ceux qui ont fait usage de l'Onguent pour les affections que nous avons citées, seraient devenus nos complices pour tromper le public, car nous ne faisons que répéter leurs déclarations positives. Ces pilules sont aussi recommandées avec la même chaleur par ceux qui parlent par expérience personnelle comme un remède pour les affections bilieuses et comme un auxilliaire l'Onguent daDS toutes les maladies externes. Les témoins ne peuvent pas s'être trompés, ayant été les malades eux-mêmes, tout-à-fait guéris, après avoir eu re cours aux pilules et Onguent Holloway en remplacement des médecines ordinaires qui ne leur étaient d'aucun service. Ce sont là les faits dans leur simplicité. L'expérience acquise par les malades est la même dans toutes les parties du monde, et leur témoignage est partout de la même teneur. Il peut être aisée de critiquer une théorie vraie, mais qui peut refuser l'évidence? La Bolza.

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Le Progrès (1841-1914) | 1875 | | pagina 3