ZAAILAND. HOTELS'PIERRE P. DEHEM, 88 sckoone Populieren. PHOTOGRAPHIE WATREMEZ Nouvelles locales. Nouvelles diverses. Den Maandag 15 Januari 1877, Den Maandag 22 Januari, Elude de HT ARSÈNE VAN EECEE, avis. Mariages. Décès. yan den Notai is DE TAVERNIER, TE LANGEMARCK. HUIS 5 VETTEGRAS Openbare verkooping, in eenezilling, vastgesteld op MAANDAG 22" JA NUARI 1877, om 4 ure namiddag, te St-Jan, ter herberg de Koe, van de volgende goederen Koop 1.Een groot HUIS van 4 woonsten op grond der Hospicen van Yperen. Gebruikt door verscheiden, zonder recht van pacht. Koop 2. Eene partij VETTE GRAS (Bouwgrond), omtrent groot 25 aren. Ingebruiktreding ln October 1877. Koop 3. Eene partij Z A AIL AND van H. 1-57-70 c". Ingebruiktreding 1" October 1877. St-JAN. Koop 4. Eene partij ZAAILAND van 80 aren 90 cent. Ingebruiktreding ln October 1877. De 2 laatste koopen zijn gebruikt door Petrus Hartesoone. KANTOOR Mr Arsène YAN EECKE, Café-Resta urant, P. VAN DEN BULCK, ANVERS- Ne pas confondre avec la TAVERNE-HOTEL St-PIERRE om 2 uren, verkooping ONDER LAST VAN AFBREKING, van de GEBOUWEN uitmakende de hofstede laatst gebruikt door M. Dessein- Vannootte, Meulenstraat, te Wervick, alsook* van eene hoeveel- heid gezaagd EIKEN HOUT. om 1 uur, op de landen der hofstede gebruikt door M. Mahieu- Vuylsteke, te Wervicklangs den steenweg naar Gheluwe, NOTAIRE, A WERVICQ. LE MARDI 16 JANVIER. 6 heuresau Cercle Musical r rue Neuve, Wervicq, MISE-A-PRIX de 1° Une MAISON avec 7 ares, 49 centiares de Fonds et Jardin Wervicq, rue Verte Occupée par Vandeicoestyne et Le- poutre. 2° Une MAISON avec arrière- bâtiment et son fonds, Wervicq, l'angle de la rue Neuve et de la rue Verte Occupée par M. Leire-Billet. erkooping M. WATREMEZ, OPÉRERA tous les Samedi, Dimanche el Lumli. On se rappelle que c'est également sur la ligne de Luxem bourg, que le r. p. Dufour fut surpris en flagrant délit d'ou trage la pudeur. Il y aura Mercredi prochain, 17 Janvier, en la salle de M Aigle d'or, 7 1/2 heures du soir, une grande Soirée Bouffe, donnée par la Société des Chœurs, avec le concours de plusieurs amateurs distingués. Comme la dernière fois, il y aura foule. Attention pour ceux qui aiment avoir une bonne place. Nous croyons utile de rappeler que les jeunes gens inscrits pour la milice, qui veulent conserver le droit de se faire remplacer, sont tenus de verser avant le 22 Janvier la somme de 200 francs au bureau du receveur de l'enregistrement du ressort où ils ont leur domicile. Une fois ce versement opéré, les inscrits doivent adresser M. le ministre de la guerre avant le 1er Fé vrier avec la quittance de ce versement une demande tendant être remplacé par le département de la guerre. -"fraon État-Civii. n'I'pitES du a au 12 Janvier 1877. NAISSANCES: Sexe masculin, 2 id. féminin, 7. Total 9. Vanbleu, Edmond, charpentier et Roscam, Marie, dentellière. Beckaert, Alixe, 19 ans, dentellière, célibataire, rue des Bouchers. Bollaert, Catherine, 67 ans, sans profession, veuve de Xénon Platteeuw, rue de la Boule. Vanbavinck- hove, Marie, 42 ans, journalière, célibataire, rue longue de Thourout. Dnhem, Amélie, 81 ans, sans profession, veuve de Jean Vandamme, rue de la Boule. Laurie, Louis, 70 ans, sans profession, époux de Jeanne Tyberghen, rue de Menin. Dejonghe, Séraphine, 75 ans, sans profession, célibataire, rue de Menin. Enfants au dessous de 7 ans Sexe masculin, 2, idem féminin, 1. Total 5. Un terrible accident a failli arriver la station de Boussu en Fagne, le 4 de ce mois. Vers 5 heures du soir, a lieu dans cette gare le croisement de deux trains de voyageurs. Le premier, venant d'Hastières, arrive quelques minutes en avance, se place sur la voie du côté du village et se met en marche aussitôt après l'arrêt du second, venant d'Anor. Une dame, Adèle P..., qui se trouvait dans celui-ci, ouvrit elle-même la portière et se dirigea vers la sortie de la gare, malgré les cris plusieurs fois répétés du personnel de la station Elle s'engageait sur la voie du train en partance quand, atteinte par le tampon de la locomotive, elle fut renversée sur les rails. Elle allait infailliblement être écrasée lorsque le chef, M. Brodhéoux, n'écoutant que son courage, se précipita sur elle, la saisit et la jeta de côté. Elle était sauvée, mais lui-même faillit périr victime de son dévouement, car il fut effleuré par le tampon de la locomotive sans toutefois être blessé. Cette action est d'autant plus louable de sa part, qu'il est marié et père de trois enfants. Union de Charleroi). On lit dans l'Union libérale de Verviers du 10 Hier, vers 4 h. 1/2 de l'après-midi, un ouvrier teinturier, uommé L. B...., s'est donné la mort chez lui, rue du Pont. Voici dans quelles circonstances le suicide s'est produit. L..., qui est un excellent ouvrier, venait de quitter son patron pour un motif quelconque. En sortant de l'atelier, il résolut d'i u finir avec la vie. Il dépensa d'abord en boisson l'argent qu'il avait touché chez sou maître. Une de ses parents lui ayant fait une observation ce sujet reçut de lui celte réponse Soyez tranquille, cela ne durera pas En effet il devait bientôt accomplir son funeste projet. Hier après avoir goûté avec sa femme, car le malheureux est marjé et père de trois enfants, il monta 'a son grenier. Quelques instants après, sa femme se rendant au grenier se trouva en présence de son mari pendu une poutre, les genoux touchant le plancher. En proie une émotion facile comprendre, elle ne put que s'écrier Au secours au secours! Un voisin arriva le pendu vivait encore, assure-t-on, mais par un de ces préjugés absurdes et funestes, le voisin ne vou lut pas couper la corde avant l'arrivée de la police. Folle de douleur, la femme alla chercher un agent. On dépendit L. M. le docteur Patart mandé en toute hâte ne put le rap peler la vie. La douleur de la famille est inénarrable. Quand donc verrons-nous disparaître l'idiot préjugé qui, cette fois encore, a causé la mort d'un homme. D'où vient cette crainte de porter secours un suicide avant l'arrivée de la police Laisser périr un homme que Ton peut sauver est un véri table crime n'est-il pas absurde de croire qu'en lui sauvant la vie, on puisse s'exposer des poursuites quelconques On nous écrit de Zutphaas (Utrecht), Hollande, que l'on a trouvé dans les environs de cette commune, dans un fossé, le cadavre d'un joli petit garçon de six ans, qui avait été en levé par des pifferari italiens. La justice est saisie de celte grave affaire. Que peut on opposer la vérité Doute réduit au silence par l'évidence. Celui qui n'a pas d'opinion qu'il n'échangerait volontiers pour la vérité est seul compétent pour jug*r avec impartialité la valeur de toute nouvelle découverte ou iqyentiro profitable l'humanité. U y a 50 ans, quand Thomas Holloway, de Lon dres, alors comparativement moins renommé, introduisit dans le monde les Deux Remèdes qui lui donnent un Brevêt d'im mortalité, il fut reçu au début de son entreprise philantropique par la détraction et l'injure. Mais il y eût certains esprits éciairés qui virent de suite que l'introduction de ses médecines était destinée marquer une grande époque dans les annales de la Science Médicale. Ils avaient lu ses attestations, examiné sa théorie, et, avant tout, ils avaient vu les propriétés qu'il attribuait son Onguent et ses Pilules amener la guérison dans les maladies internes et externes les plus désespérées. Ils n'éprouvèrent aucune houte attester ces faits en face des pré jugés et d'une opposition intéressée. Les malades lurent et se déterminèrent essayer les remèdes; les résultats furent inva riablement satisfaisants. Guérisonssurguérisons se succédèrent rapidement. La Faculté fut étonnée, si non confuse, le public fut convaincu. LaGrandeBretagne fut remplie du reuom de ses nouveaux curatifs; ce renom s'étendit sur tout le continent Européen, se répandit jusque sur les rivages d'Asie, d'Afrique et d'Amérique, ut maintenant il parcourt le Monde entier. Ce fut l'oeuvre de moins de 50 ans. Est-ce que quelque chose de faux ou sans utilité réelle aurait pu établir une semblable célé brité dans c l rspace de temps; est-ce que quelques années d'ex périmentation n'auraient pas été suffisantes pour tuer toute dé couverte ou invention qui n'aurait eu aucune utilité pour la recommander L'Onguent est considéré universellement comme un spécifi que souverain, irrésistible dans les cas les plus terribles de ma ladies éruplives. L'érysipèle de la nature la plus grave est ex tirpé remarquez extirpé, non pas supprimé par son action anli inflammatoire. Tumeurs, furoncles, ulcères, abcès, maux indolents, et même cancers se soumettent cet Onguent privilégie; de plus les hémorroïdes ne peuvent pas, comme on le suppose communément, être guéries par d'autres moyens. Si ce ne sont pas là des faits probants, ceux qui ont fait usage de l'Onguent pour les affections que nous avons citées, se raient devenus nos complices pour tromper le public, car nous ne faisons que répéter leurs déclarations positives. Ces Pilules sont aussi recommandées avec la même chaleur par ceux qui parlent par expérience personnelle comme un remède pour les affections bilieuses et comme un auxiliaire l'Onguent dans toutes les maladies externes. Les témoins ne peuvent pas s'être trompés, ayant été les malades eux mêmes, tout—à-fait guéris, après avoir eu recours aux pilules et l'Onguent Holloway en remplacement de mé decines ordinaires qui ne leur étaient d'aucun service. Ce sont là les faits dans leur simplicité. L'expérience acquise par les malades est la même dans toutes les parties du monde, et leur témoignage est partout de la même teneur. Il peut être aisé da critiquer une théorie vraie, mais qui peut réfuter l'évidence La Boisa. marché d'Ypres. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 15 Janvier 1877. NATURE DES GRAINS ET DENRÉES. QUANTITÉS VENDUES KILOGRAMMES Prix moyen PAR CENT KILOGR. POIDS II DE l'heclo- litre. 54,000 fr. 29 50 80 4,600 22 50 73 500 22 75 44 900 26 00 80 1,200 26 25 80 10,000 11 00 >1 390 00 Froment Seigle. Avoine Pois Féveroles. Pommes de terre Beurre POPERINGHE, 12 Janv. Froment, I hect., fr. 22-25» Seigle, 16-25; Avoine, fr. 11-50; Pommes de terre, le 100 k., 11-50; Beurre le k°, 5-70. Houblon, les 50 kilos, fr. 115 120. EN St-JAN, I»ij het dorp. LANGEMARCK en SUJAN. VAN NOTA RIS, te wervick. TENU PAR SUCCESSEUR DE en face de la Station de l'Etat, -isvnrr. VAN HOTEL 8'—SÉBASTIEN, RUE DES BOUCHERS, YPRES.

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Le Progrès (1841-1914) | 1877 | | pagina 3