a
Prisons. - Personnel.
Grande Maison de Vins.
OBJETS ET ÉTOFFES
LA OUATE
EEN SCHOON GROOT HUIS,
16 HERBERGEN,
Nouvelles diverses.
Institution Royale de Messines.
anti rhumatismale
DE PATISSON
Sludie van den Notaris LAMBIN,
Juments.
Hongres.
COMMERCE.
La place d'instituteur la maison
d'arrêt cellulaire d'Ypres est vacante.
Le traitement affecté cet emploi
est de 1,400 francs il peut être porté
1,550 et 1,700 francs, respective
ment après deux et après quatre
années de service.
Le Commandant du Génie procéde
ra le 27 Février courant midi, dans
ses bureauxà l'ouverture des soumis
sions pour l'entreprise des travaux et
fournitures pour réparation des cou
vertures, corniches et gouttières des
bâtiments militaires de la place
d'Yp res. Montant du détail estimatif]
fr. 5,115
Institution Messines, les Mardis et
Samedis de chaque semaine, de 8
heures du matin 3 heures de rele
vée.
Le MARDI 27 FEVRIER 1877,
T 11 heures du matin, l'Administra-
Le titulaire reçoit gratuitement,^ procëderai dans une Salle de
pour lui et sa famille, les soins medi- ift dd;e jnstitution Messines
eaux et pharmaceutiques.
La préférence sera accordée aux: I Adjudication publique
pr
candidats munis de diplômes des
l'écoles normales.
La connaissance des langues fla-
DE TOUS LES
mande et française est obligatoire, nécessaires au service de son Eta
Les postulants sont invités faire blissement, durant l'année 1877,
parvénir, dans le plus bref délai, au' Pour plus de détails voir les affî-
Bépartement de la Justice, leurs ches.
requêtes accompagnées des pièces à1 Et pour tous renseignements s'a-
l'appui, presser au Secrétariat de la dite
EAE.
demande un représentant pour visiter
exclusivement le commerce de gros.
S'adresser M. DENIS, bureau-
restant, Mâcon.
soulage instantanément et guérit
radicalement
TE YPRE.
INSTEL, metgewin eenerriremie,
den MAENDAG 12 MAERT 1877,
ten 9 ure, in het Brouwershuis, eene
der te verkoopen herbergen, Statie-
straet te Ypre, van
gewezen Brouwery,
AADER HEIZEN,
MEERSCH EN ZÀEILÀNDEN,
1" Accessit, Deturck, An^e, de Langemarck.
2" id Huyghe, Louis, d'Elverdinghe.
3" id Debergh, Pierre, d'Ypres.
3» Concours. Chevaux hongres de race forte
propres au labour.
(21 Concurrents).
lr prix: Une médaille en argent et une prime de 100 fr.
Baccarne, Henri, de Passchendaele.
2' prix: Une médaille en argent et une prime de 60 fr.
Liebaert, Adolphe de Langemarck.
3' prix: Une médaille en bronze et une prime de 40 fr.
Debailleul, Auguste, de Messines.
4e prix: Une médaille en bronze et une prime de 25 fr.
Nollet, de Langemarck.
5« prix Une médaille en bronze et une prime de 20 fr.
Verraest, Charles, de Wytschaete.
4e Concours. Poulains de race forte,
ayant plus d'un an.
12 Concurrents).
lr prix:
2° prix
3' prix:
4n prix
lr prix
2e prix
3e prix:
4* prix
5e
lr prix
2' prix:
3e prix
4P prix:
1*
Une médaille en argent et une prime de 40 fr.
Vulsteke, Servais, de Langemarck.
Une médaille en argent et une prime de 30 fr.
Rouselie, Xavier, de Boesinghe.
Une médaille en bronze et une prime de 20 fr.
Debruyne, Léon, de St-Jean.
Une médaille en bronze et une prime de 15 fr.
Vandenbroele, Isidore, de Bixschote
(14 Concurrents).
Une médaille en argent et une prime de 40 fr.
Muyssen, Ange, de Langemarck.
Une médaille en argent et une prime 'de 25 fr.
Dedryver, Edouard, d'Ypres.
Une médaille en bronze et une prime de 20 fr.
Vanneste, Auguste, de Langemarck.
Une médaille en bronze et uné prime de 15 fr.
Leroy, Charles, de Brielen.
Concours. Poulains de race forte,
ayant un an et au-dessous.
(16 Concurrents).
Une médaille en argent et une prime de 4< fr.
Vanneste, Auguste, de Langemarck.
Une médaille en argent et une prime de 30 fr.
Syoen, Pierre, de St-Jean.
Une médaille en bronze et une prime de 20 fr.
Vuylsteke, Servais, de Langemarck.
Une médaille en bronze et une prime de 15 fr.
Soenën, Charles, de Becelaere.
Accessit, Debandt, Jacques, St-Jean.
id. Merlevede, Ch.-L', Ypres.
Violent Incendie. Deux Victimes. Un affïuix
malheur est arrivé celle nuit. Vers 4 heures du malin, un
passant aperçut une vive lumière, au deuxième étage de la
maison habitée par il. Bochart, rue de l'Ecuyer, Bruxelles.
Le passant, convaincu que le feu avait éclaté dans cet appar
tement, éveilla les habitants en lançant une pierre dans la
glace d'une des fenêtres du premier étage.
Quelques instants après une des fenêtres du troisième étage
s'ouvrit t 41. Bochart y apparut en criant Au feu au
secours
L'alarme ainsi donnée, l< personnel de la police et le poste
des pompiers delà 4e division,sous les ordres du commissaire,
M. Lemoine, arrivèrent immédiatement sur les lieux et orga
nisèrent les premiers secours. Bientôt après, le bourgmestre,
1)1. Anspacb le commissaire en chef, M. Lenaers les pom
piers, leur commandant Servais en tête se trouvaient également
sur les lieux.
Telle était l'intensité du feu que malgré la promptitude
laquelle tous les témoins rendent hommageavec laquelle
M. Lemoine organisa les secours il n'était plus possible de
préserver le troisième étage de l'élément destructeur.
Enfin, après deux heures d'efforts inouïs et grâce au dévoue
ment de tous, le feu fut mailrisé et on parvint pénétrer
dans la maison.
Un affreux spectacle s'offrit alors aux regarde de ceux qui
arrivèrent les premiers au troisième étage dans une chambre
de derrière se trouvait, étendu côté du lit, le cadavre d'une
femme brillé d'une façon si horrible qu'il ne présentait plus
qu'une masse informe tombant en lambeaux dès qu'on vouiul
la relever.
Au quatrième étage, dans une mansarde, un autre cadavre,
également celui d'une femme. A l'altitude des membres, il
était aisé de voir que la malheureuse avait lutté contre mort
qui est venue la surprendre en son sommeil.
Ce cadavre était celui de la bonne. Marie Mesdaghe.
Celui trouvé au troisième n'a pas été positivement reconnu,
au moment où nous écrïvous ces lignes, mais, malheureuse
ment, tout porte croire que la deuxième victime, morte
épouvanlabli ment, est Mn,e Bochart.
Voici sur les causes de ce désastre les renseignements que
nous avons pu recueillir sur les lieux mêmes et dont nous
pouvons garantir l'exactitude.
Le deuxième étage où le feu a pris naissance était habité
par M. Jabonnaut, négociant en vins, sa femme et son
fils.
Hier soir M. Jabonnaut avait réuni quelques amis une fête
qu'il donne annuellementà pareil jour.La fête avait commencée
fort lard parce que des artistes qui chaulaient dans Aida
devaient y assister.
Jl. et M™" Bochart et leur fille, 5imo Libotton assistaient
également cette fête qui se prolongea jusque vers 3 heures.
M'"c Libotton était rentrée chez elle, boulevard du Nord,
en même temps qu'une servante qui était venue pour donner
un coup de main l'occasion de la fêle et qui avait voulu
entrer chez elle alors qn'on insistait pour qu'elle passât la nuit
dans la maison.
C'est comme nous l'avonsdit, vers 4b. que l'éveil fut donné.
Sl. Jabonnaut fut le premier sur pied et s'enfuit de la maison
avec sa famille, après avoir prévenu M. Bochart de ce qui se
passait.
M. Bochart, malade depuis quelques mois, passe ses nuits
«fans un fauteuil, dans une chambre attenente celle où repo
sait sa femme.
Après avoir prévenu celle-ci qui, dit-il, lui répondit
Je descends il informa également la bonne couchée
au 4e puis cria u Au secours et sortit de la maison...
Ou sait le rrste.
Les renseignements qui précédent ont paru dans notre
édiliout du soir.
Il u'rst malheureusement que trop vrai que l'une des victi
mes de cet effroyable malheur est M"" Bochart. Son cadavre
était, comme nous l'avons dit, dans un état affreux, méconais-
sable, et, n'était une alliance que la malheureuse femme por
tait au doigt il eût été impossible de constater son identité.
M1"" Bochart était âgée de 47 ans. La bonne qui a subi le
même sort élait âgée de 27 ans.
Ce n'est pas un passant, mais 41. Jabonnaut qui, le premier,
a donné l'alarme. 41. Jabonnaut, après le départ de ses invités,
s'était couché, mais, ne parvenant pas s'endormir, il enten
dit dans son salon un bruit dont il ne se rendait pas parfaite
ment compte. Il alla dans le salon et n'apercevant rien il se
recoucha. Le bruit persistant, M. Jabonnaut se leva de nouveau
tt ayant cru s'apercevoir que le bruit, une sorte de crépite
ment, partait d'un placard établi côté de le cheminée, il
ouvrit ce placard dont, aussitôt, il sortit des flammes énormes
ui firent reculer M. Jabonnaut. Celui-ci n'eût que le temps
e prévenir son fils et M. Bochart, il fut obligé de fuir sans
avoir pu s'habiller, sans avoir pu sauver son argent et quel
ques papiers auxquels il tenait beaucoup.
Ce terrible événement a produit Bruxelles une émotion
douloureuse, profunde. (Etoile belge.)
marche d'Ypres.
ETAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains,
fourrages et autres produits agricoles, vendus le
17 Février 1877.
NATURE
DES
QUANTITÉS
VENDUES
Prix moyen
PAR
POIDS M:|
DE
l'hecto
litre.
GRAINS ET DENRÉES.
KILOGRAMMES
CENT
KILOGR.
17,600
fr. 26 75
80
Seigle.
7,000
21 25
73
600
25 00
44
2,000
24 50
80
2,600
25 25
80
Pommes de terre
8,000
11 50
Beurre
380 00
POPERINGHE, 16 Févr. Froment, 1 hect., fr. 20-89,
Seigle, 16-50; Avoine, fr. 12Pommes de terre, le
100 k., 11Beurre le k", 3-90. Houblon, les 50 kilos,
fr. 105 110.
jm,
llâconnaM, B^aiiplak Bourgo^no
la Goutte et Rhumatismes
BlOlUMGLRlOiiNlDl
HOFSTEDEKENf, \YEII»E.\T,
de toute sorte, mal aux dents, lombagos, irrita- h V pi e, St-Jan, Zonnebeke,
tions de poitrine et maux de gorge. j 1 aschendaele, Uccclacrc, Dtckebusch
En rouleaux fr. 1-50 et demi rouleaux a 80 Elverdinghe Y erdeeld ill 43 koo-
la pharmacie de M. Ch. BECUWE, Ypres. ipen.