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Plus de Cheveux Blancs.
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PIERRE-PAUL RUBENS,
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Aux Tapissiers, Propriétaires, etc.
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si S.
de eene op KEMMEL
en de andere op PROVEN,
NET MEERSCHEN OP RENINGHE,
openbaar te koopen,
Op Donderdag 19 April 1877,
fcen 2 uren namiddag, in de zaal der
Meyery, te Comen (Frankrijk), zullen
le Notarissen LEFEBVRE en DELE-
DICQUE, te Rijssel, met lusschen-
komst van denNotarisCHRISTIAEN,
te Passchendaele, overgaan tôt den
averslag van 1
1° Eene schoone en goede HOF-
5TEDE, op Kemmel, groot in erf
1. 23-96-10, verdeeld in 14 koopen,
*ebruikt door sieur Goudeseune,
mits fr. 2700-00 bij de jare, boven
fr. 1350-00 hoofdkleed, de lasten en
|iet onderhoud der gebouwen, met
pacht tôt 1" October 1881.
2° Eene schoone en goede HOF-
STEDEop Proven groot in erf
h. 28-58-30, verdeeld in 16 koopen,
en h. 2-09-90 Meersch op Reninghe,
in 4 koopen, al gebruikt door de we
Vandrommemits fr. 2800-00 bij de
(are, boven fr. 1400-00 hoofdkleed,
de lasten en het onderhoud der ge
bouwen, met pacht tôt 1" October
1884. v
De voorwaarden bij gezegde Nota-
issen.
DE L'AMI DES FAMILLES,
PAYSAGES CHASSES
Notaris SYOEN, te Loo.
Maandag 16 April 1877,
om 2 uren namiddag, in de herberg
het Jagers Hof, bewoond door de
weduwe van Pieter INION, langst
den steenweg van Crombeke naar
Poperinghe, op 3 kilometers afstand
van deze stad, openbare verkooping
van
A. Een nieuw bebouwde
HOFSTEDE, groot 14 hect.
47 aren 60 centiaren, lig-
gende tusschen de steenwegen lei-
dende der dorpplaats van Crombeke
naar Rousbrugge en Proven, bij
plakbrieven verdeeld in 10 loten.
In pacht- gehouden door Henri De-
somer-Inion, tôt 1 October 1884, mits
1984 francs bij jare.
B. Een HOFSTEDEKEN,
groot 2 hectaren 86 aren 80
centiaren, liggende iangst
den steenweg van Crombeke naar
Westvleteren.
In pacht gehouden tôt 1 October
1882 aoor de weduwe van Jacobus
Parein, mits 400 francs bij jare.
C. Een HOFSTEDEKEN.
groot 35 aren 50 centiaren,
liggende langst den steen
weg van Crombeke naar Poperinghe.
In pacht gehouden door Pieter
Duroos, tôt 1 October 1881, mits 125
francs bij jare.
Condamné, par contumace, le 13 avril 1861par la Cour
assises des Alpes-Maritimes, sept années de détention.
Grelat (l'abbé), desservant de la commune de Saint-
îerroain sur Hautbois, prévenu d'attentats la pudeur sur
les jeunes tilles, avec ou sans violence.
Condamné, le 15 Juin 1801par la Cour d'assises de la
Saute-Loire, dix années de réclusion.
Garrier, Jacques, 20 ans, frère de la Doctrine
hrétienne, Maçon, accusé d'alleulal la pudeur.
Condamné, le 21 juin 1861, par la Cour d'assises de
aôoe-et-Loire, huit années de réclusion (circonstances alte
rnantes).
Bernier, Jules-Marius-Adrien (l'abbé), 65 ans, au-
nônier du collège de la ville de Foix (Ariége), prévenu d'al-
entatà la morale publique et d'excitation la débauche de
eunes garçons âgés de plus de onze ans et dont l'instruction
eligieuse lui était confiée.
Condamné, le 25 juin 1801, par le tribunal correction-
el de Foix, cinq ans de prison, 500 fr. d'amende et dix an-
ées de surveillance.
DelaurierPhilémon (frère Catulle), âgé de 22 ans,
censé d'attentats la pudeur avec et sans violences sur la
ersonne d'enfants dont il était l'instituteur.
Condamné, le 31 août 1801, par la Cour d'assises de la
barente Inférieure, aux travaux forcés perpétuité.
Clausier frère Isidore), de l'ordre des frères Jlaris-
les, accusé d'attentats la pudeur commis sur de jeunes
Flèves dont il était l'instituteur.
Condamné, le 10 septembre 1861, par la Cour d'assises
le l'Ardéche, cinq années de réclusion.
Gauthier (frère Vitalien), de l'ordre de la Doctrine
chrétienne, accusé d'attentats la pudeur sur des enfants du
sexe masculin.
Condamné aux travaux forcés, et écroué le 5 septembre
1801 au bagne de Toulon.
Collier (frère Gervais), de l'ordre de la Doctrine
:hrétieune, accusé d'attentats la pudeur sur des enfants du
;exe masculin.
Condamné aux travaux forcés et écroué le 5 septembre
1801 au bagne de Toulon.
n Wilmann, François-Joseph, âgé de 22 ans, frère de
ïordre de Marie, instituteur communal Rambervillers
(Vosges), accusé d'avoir, dans le courant des années 1860 et
1801, commis des attentats la pudeur avec violence sur
cinq jeunes garçons au-dessous de l'âge de quinze ans, et
sans violence sur treize autres de ses élèves au-dessous de onze
ans.
Condamné le 15 septembre 1801, par la Cour d'assises
des Vosges, aux travaux forcés perpétuité.
Robyn, François frère Hugo), religieux de l'abbaye
de F orges-lez-Chimay, accusé d'avoir voloiitaireiiieul incendié
le couvent et féglise de Forges.
Condamné, le 8 février 1861par la Cour d'assises du
Hainnut, la peine de mort.
Mallet (le chanoine), accusé de détournement de mi
neures (Sophie, Siona ei Thérèse Blutts).
Condamné, le 5 mari 1801, par la Cour d'assises du
Nord, six années de réclusioo.
Marel, Julien (frère Maximin), prévenu: 1° d'avoir
volontairement porté des coups plusieurs enfants 2° d'a
voir excité un enfant mordre deux de ses condisciples et de
s'être ainsi rendu complice de ce fait.
Condamné le 14 mai 1801 par le tribunal corieclionnel
de Saint-Hrieuc, un mois de prison et aux frais.
Cette statistique, comme on le voit, n'embrasse qu'un petit
nombre d'années.
Si elle s'étendait une période de trente années, par exem
ple, on arriverait des chiffres formidables, qui feraient
dresser les cheveux sur la tête.
Viennent ensuite l'affaire du frère Mainbode, con
damné aux travaux forcés perpétuité par la Cour
d'assises du Hainaut, en 1867, pour attentats la pu
deur avec vioience sur des enfants âgés de moins de 14
ans; celle du frère Ambroise, condamné Gand 18
mois de prison pour faits analogues l'affaire du frère
Celsus, condamné 15 années de réclusion par la Cour
d'assises du Brabant en 1872; l'affaire du vicaire
d'Oneux, condamné 30 mois de prison en novembre
1875 celle du vicaire Duehesne, d'illustre mémoire,
du vicaire Koopman,de l'abbé Beaujard et de beaucoup
d'autres.
L'imprimé se termine par ces réflexions
Il faudrait des volumes pour enregistrer les arrêts de la
justice, qui ont flétri les moines et les religieux coupables
d'avoir corrompu les enfants confiés leurs soins.
Nos citations ne se rapportent qu'à la Belgique et la
France.
Mais les mêmes scandales sont constatés dans tous 1rs pays
où l'enseignement est au pouvoir des cléricaux.
Ën Espagne, les crimes, commis par leurs adeptes, sont
bien plus nombreux encore.
Que les pères et les mères de famille décident maintenant
s'il faut favoriser l'influence cléricale en Belgique.
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