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Outre la belle tenue et l'entrain des sociétés, deux choses
ont été particulièrement remarquées
La première, c'est que les sociétés et compagnies étaient
passées en revue avec force poignées de mains et souriresaima-
bles par M. le député Des Kolours et U. Desroussraux, con
seiller général du canton.
La seconde, c'est lin Iransparrnt qui ornait la façade du
premier magistrat de la localité et portait celte inscription:
Hommage aux habitants de Quesnoy et aux sociétés étran
gères et françaises.
llief, les étrangers ont été bien reçus Quesnoy et cette
jolie fête ne s'effacera pas de sitôt de leur mémoire.
(Le Progrès du Nord).
Comines. Les environs de cette ville sont depuis
une quinzaine de jours mis en émoi par une mystérieuse
apparition, qui, chaque soir, de neuf heures minuit, se pro
duit dans une prairie de Bas-Warnelon.
Plus de dix mille curieux sont déjà venus de deux lieues
la ronde, pour voir le... miracle
Les uns disent que c'est le petit saint Jean de Warneton,
qui n'est plus content de ses chaînes et de sa niche et qui
veut retourner dans ses pénates.
Les aufres assurent que c'est l'ombre du troisème Napoléon
qui vient remercier les bonapartistes cominois, pour le zèle
qu'ils mettent préparer le retour de son rejeton.
Les moins crédules affirment qu'il ne s'agit tout bonnement
que d'une mystification. Il est plus que probable que ces der
niers sont dans le vrai.
Quoi qu'il en soit, M. le curé de Warneton s'apercevant
avec raison que ces promenades nocturnes ne faisaient qne
favoriser les amours clandestins, vient de défendre ses
ouailles d'ailes visiter nuitamment la prairie tn question.
(Le Progrès du Nord).
Que peut ou opposer la vérité
Doute réduit au silence par l'évidence.
Celui qui n'a pas d'opinion qu'il néchangerail volontiers
pour la vérité est seul compétent pour juger avec impartialité
la valeur de toute nouvelle découverte ou invention profitable
l'humanité. Il y a 50 ans, quand Thomas Holloway, de
Londres, alors comparativement moins renommé, introduisit
dans le monde les Deux Remèdes qui lui donnent un Brevêt
d'immortalité, il fut reçu au début de son entreprise philan-
Iropique par la détraction et l'injure. Mais il eût certains
esprits éclairés qui virent de suite que l'introduction de ses
médecines était destinée marquer une grande époque dans
les annales de la Science Médicale. Ils avaient lu ses attes
tations, examiné sa théorie, et, avant tout, ils avaient vu les
propriétés qu'il attribuait sou Onguent et ses Pilules
amener la guérisou daus les maladies interne, et externes les
plus désespérées. Ils u'éprouvéreut aucune houle attester
ce^ faits en face des préjugés et d'une opposition intéressée.
Les malades lurent et se delermiiièieul essayer les remèdes
les résultats furent invariablement satisfaisantes. Guénsons
sur guérisoiis se succédèrent rapidement. La Faculté fut éton
née, si non confuse, le public fut convaincu. La Grande
Bretagne fut remplie du renom de es nouveaux eu rai ifs; ce
renom s'en udit sur tout le continent Européen, se répandit
jusque sur les rivages d'Asie, d'Afrique et d'Amérique, ri
maiiiUiiatil il parcourt le inonde entier. Ce fut l'œuvre de
moins uc 50 ans. Est-ce quelque chose de faux ou sans
utilité réelle aurait pu établir une semblable célébrité dans
cet espace de temps; est-ce que quelques anuées d'expé
rimentation n'auraient pas été suffisantes pour tuer toute dé
couverte ou invention qui n'aurait eu aucune utilité pour la
recommander.
L'Onguent est considéré universellement comme un spé
cifique souverain, irrésistible daus les cas les plus terribles de
maladies éruptives. L'érysipèle de la nature la pins grave
est extirpé remarquez extirpé, non pas supprimé par son
action anti inflammatoire. Tumeurs, furoncles, ulcères, ab
cès, maux indolents, et même cancers se soumettent cet
Onguent privihgié; de plus les hémorroïdes ne peuvent pas,
comme on le suppose communément, être guéries par
d'autres moyens. Si ce ne sont pas là des faits probants,
ceux qui ont fait usage de l'Onguent pour les affrctious que
nous avons citées, seraient devenus nos complices pour
tromper le public, car nous ne faisons que répéter leurs dé
clarations positives.
Ces Pilules sont aussi recommandées avec la même chaleur
par ceux qui parlent par expérience personnelle comme un
remède pour les affections bilieuses et comme un auxiliaire
l'Onguent daus toutes les maladies externes.
Les témoins ne peuvent pas s'être trompés, ayant été les
malades eux-mêmes, tout-à-fait guéris, après avoir eu recours
aux Pilules et l'Onguent Holloway en remplacement de mé
decines ordinaires qui ne leur étaient d'aucun service. Ce sont
là les faits dans leur simplicité. L'expérience acquise par les
malades est la même dans toutes les parties du monde, et leur
témoignage est partout de la même teneur. Il peut être aisé
de critiquer une théorie vraie, mais qui peut réfuter l'évideo-
ce La Boisa.
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