A VENDRE RECOLTES ENCRE DU XIXe SIÈCLE PIANOS. chez Emmery-Decort. DEPOT Guano et Nitrate de Soude Gérard WÀTREMEZ, Ville d'Ypres. ON DEMANDE Avis au Public. INSTRUMENTS ARATOIRES. ON DEMANDE JARDINIER, PARAPLUIES. L'élection de Soipies. Nouvelles locales. Nouvelles diverses. Acta sanctoriim. mire ARSÈNE VA EECKE, VENTE GROS ET DETAIL. PHOTOGRAPHIE Hier Mardi, àSoignies, le candidat libéral, M. Victor Pennart, atriomphé. Il aété nommé sénateur par 1,144 suffrages. Le candidat clérical, M. Baatard, en a eu 1,136. Dans les circonstances que l'on sait, cette revanche des libéraux peut être considérée comme une victoire des plus importantes. L'Union Commerciale d'Ypres, (Située près de la Station Ypres), A l'honneur d'informer ses clients qu'elle fournit directement aux mêmes prix et condi tions des Mines, par waggon de 5 10 mille kos du beau et bon Charbon de Mous, Fresne et autres. Poids garanti et faculté pour l'acheteur de refuser la marchandise si elle ne répond pas l'attente. Prix du détail Rendus domicile. Aux mêmes magasins Grand Assortiment de Carrelages en grés et en ciment. Tuiles, Ardoises, Carreaux, Pierres dé tail le, Chaux, Ciment et Trass. Dépôt unique de pavés d'Andennes pour trottoirs, cours, porches, écuries, etc. Briques réfractaires pour fours, tuyauterie en argile et en grés, etc., etc. Engrais chimiques Guanos azotés, Nitrate de soude, Tour teaux et tout ce qui concerne l'agriculture. Les Bourgmestre et Echevins de la ville d'Ypres, informent le public que la Foire de la Tuindag aura lieu, coinmed'habitude.surlaGrand'Place, et commencera le Samedi 4 Août 1877. et finira le Jeudi 16 Août suivant. Les marchands et propriétaires de spectacles forains, etc.,qui désirent s'y placer, sont invités de s'adresser par écrit et franc de port l'Admi nistration Communale, au moins huit jours avant le commencement de la "Foire. Les places pour les spectacles fo rains seront distribuées le Mercredi lrAoût, 2 heures de relevée, et pour les marchands le Jeudi 2 Août, 10 heures de matin. situé au nord de la Grand'Place, Ypres, ainsi qu'une quantité de 3 4,000 bouteilles de vieux vins fins. S'adresser chez le Notaire Vander- meersch, Ypres. logement et la nourriture S'adresser la Commission des Hospices Civils d'Ypres. Traitement 1,300 francs outre le Un SERVICE D'OMNIBUS est organisédurant la belle saison pour conduire les amateurs l'étang ae Dickehusch et les ramener. Le Vendredi de chaque semaine, départ 5 heures de l'après-midi, du rW? WS «i je; cafe de Y Aigle d'Or, Grande Place. DE Retour vers les 9 heures. Le Lundi 30Juillet 1877, 2 heures, en la ferme et sur les ter res occupées par M. Vanneste-Van Elslande, Wervicq (Basse-Flandre), reconnue la meilleure Limpide, noire, inaltérable GRAND DÉPÔT chez A. VAN EECKHOUT, rue de Dixmude, Nu 39, Ypres. bien au courant de la taille des ar bres fruitiers et parlant le français de préférence «n homme marié. Beaux appointements. V. V. S'adresser au bureau du Journal. Par une simple location réguliè rement payée, on devient, popriéiaire d'un excellent PIANO de Paris. S'adresser chez M. H. EMMERY, Coin de la rue au Beurre, Ypres. Les envois se font franco. Voulez-vous acheter des Parapluies, Ombrelles et Encas, élégants, soli des et meilleur marché que partout ailleurs. Allez au S'-Médard, coin de la rue au Beurre, près la Grand'Place, YPRES, VN TE EXCLUSIVE EN GROS Pour toutes conditions s'adresser H. COPPIA-DEGRAVE, gistrés avec la plus grande exactitude dans les Poorlersboeken, qui sont tous conservés et tenus avec soin. Or, la naturalisation de P. P. Kubens n'y figure pas. Il résulte d'un acte notarié attestant la vue d'une pièce remarquable Je tapisserie Anvers et signé |e 28 août 1518 par trois peintres anvcrsois Bi'Ui'gel, Van 13nIn et P. P. Rubens, que ces trois peintres ont pris officiellement la qualité de bour geois d'Anvers, et ils ne l'auraient pas pu. s'ils n'en avaient le droit. De ces trois peintres. Bruegel n'était pas né Anvers, mais on trouve la trac de sa naturalisation exactement enregistrée. On ne trouve pas dans le même registre celle des deux autres, qui sont donc nés Anvers, sans quoi ils n'auraient pu revendiquer la qualité de bourgeois de cette ville. Flandre libérale). i ■.TiiïTWM O A l'occasion de la Fête Communale un tir la Cible sera offert par la Société de Gardes Civiques d'Ypres, avec le bienveillant concours de la ville, tous les membres du Bataillon, de la Demi-Batterie d'Artillerie et du Corps des Sapeurs-Pompiers, le Dimanche 8 Août 1877, 3 heures de relevée. Il y aura douze prix, consistant en argenterie ou au tres objets, divisés comme suit 8 prix aux balles et aux points. 4 prix aux plus beaux plombs. Les tireurs, en grande tenue, sont tenus de prendre part au cortège. La réunion se fera l'Hôtel-de-Ville, Salle du Rez- de-Chaussée, où se fera l'inscription 2 1/2 heures, pour se rendre en corps au Pavillon du Tir 3 heures précises. Charbons Tout-Venant (Mons) fr. 2-50 les 100 kilos. Id. Fines 2-50 les 100 kilos. Pour les commandes s'adresser aux bu reaux de l'Union Commerciale, rue «le l'Etoile, 4, I jm'cs. La population fie Laekrn a doublé depuis 1864. Elle était alors de 7,000 âmes, elle en compte actuellement près de 18,000. Le ministère de l'intérieur est rempli de boîtes insectes. Depuis l'avis du Moniteuril n'est pas de village qui ne liiiiue honneur d'avoir découvert un exemplaire du Dory- phora et d'en avoir délivré le pays. On nous écrit d'O..., dit l'Union de Charleroiqu'il y a même des gens qui comp tent l'a-dessus pour obtenir la croix. Mais la plupart n'envoient que de pauvres bestioles iiioffen.ives. Espérons qu'il leur sera tenu compte (aux envoyeurs) de leur honne intention. Un des bons fermiers de Fat,mont, M. I)..., indique un moyen de préserver les bœufs, les chevaux et eu général tout le bétail de la piqûre des mouches. Il suffît de laver, la sortie de l'élable, les parties où se port-nt d'ordinaire les mouches avic une légère décoction d'àloès. Dans deux litres d'eau, il suffît de cinq centimes d'aloès. Il faut s garder d'humecter avec celte décoction les lèvres ou le n z des bêles. La p ndule marquait sept heures et le rôt desséchait. Au-si madame était-elle d'une impatience facile com prendre. Il lui manquait un convive, la principale, Mm" de Haut- Pignon. Marthe, dit-elle sa femme de chambre, courez chez la baronne et dites lui qu'un n'attend plus qu'elle pour se mettre table. Marthe trouva la baronne en train de nettoyer un superbe râtelier, son râtelier de cérémonie. Eh bien, M™6 de Haut-Pignon vient-elle? demanda madame qui s'était mise table avec les autres convives. Oui, madame, tout de suite, même qu'elle a ôté ses dents pour les aiguiser. Ou lit dans le XIXsiècle: Les attentais la pudeur se multiplient d'une manière tout fait alarmante; et le clergé français dont les mœurs ont été jusqu'ici si pures, est affligé tons les jours de nouveaux scandales. Ne serait-ce pas que le recrutement du clergé régulier est rendu si malaisé, que les choix de MM. les évèques se font hâtivement? Dans une reli gion, qui admet la confession auriculaire et prescrit aux prêtres le célibat, il serait pourtant utile de n'admettre que les voca tions bien profondes, au risque de laisser "a la France quel ques soldats de plus. n L'abbé Vlarty, qui offîciait Thouels, petite commune de l'Aveyron, s'est rendu coupable d'attentats la pudeur sur une petite fille du pays. Le jury a accordé l'accuse les circonstances atténuantes, et la cour, abaissant la peine de deux degrés, ne l'a condamné qu'à trois ans de prison. Tro.s ans de prison ne sont pas une peine trop longue. Nous osons espérer que lorsque l'abbé Marly aura expie sou crime, le clergé voudra bien l'exclure de son sein et ne pis se contenter de le changer de l'ésidcuce. Fait l'Hôlel-de-Ville d'Ypres, le 16 Juin 1877. Les Bourgmestre et Echevins L. VANHEULE. PAR ORDONNANCE Le Secrétaire, Ferd. VAN DAELE. UN GRAND ET BEL a» TBf UN IMSTITCTEC R -DIR ECTEI II POUR L'ÉCOLE DES ORPHELINS D'YPRES. «r PRIX 75 CENTIMES. NOTAIRE A WERVICQ. DE ET DES ENCRES A ÉCRIRE. DE DE TOUTE PREMIÈRE QUALITE des prix exceptionnellement avantageux. 6, rue de Lille, 6, YPRES. CHARBONS ET COKES EN GROS. rue de Roeslughe11, Ypres.

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Le Progrès (1841-1914) | 1877 | | pagina 3