A VENDRE Koornwindmolen Zaailand beste Meersch ON DEMANDE VERKOOPING DEFINITIVE OVERSLAG UNE MAISON BORDELAISE L'ALLIANCE HORLOGÈRE Nouvelles locales. IIOFSTEDEKEN van 18 h. 25 a. 8 c. TE flOORSLEDE, LêUnion Commerciale d'Ypres, Poids garanti et faculté pour l'acheteur de refuser la marchandise si elle ne répond pas l'attente. Rendus domicile. Grand Assortiment de Carrelages en grés et en ciment. Tuiles, Ardoises, Carreaux, Pierres de tail- ie, Chaux, Ciment et Trass. Dépôt unique de pavés d'Andennes pour trottoirs, cours, porches, écuries, etc. Briques réfractaires pour fours, tuyauterie en argile et en grés, etc., etc. Guanos azotés, Nitrate de soude, Tour teaux et tout ce qui concerne l'agriculture. S'adresser la Commission des Hospices Civils d'Ypres. awm mu situé au nord de la Grand'Place, Ypres, ainsi qu'une quantité de 3 4,000 bouteilles de vieux vins fins. S'adresser chez le Notaire Vander- meersch, Ypres. I AUGUSTI 1877, ten 5 ure namid- dag, in het Gemeente-Huis, te Lede ghem, met de draaiende en roerende werken, zon- der pryzie EN EEN met recht van chijnspacht tôt 1 Oc- tober 1894, en 2 hectaren 20 aren 52 centiaren ERF, onder Molenwal, Hofplaats Boomgaard, Lochting, Zaailand enMeersch, bij de plaats te Ledeghem; gebruikt door Joannes ~Qerghman, tôt 1 October 1877, mits 450 francs, boven de lasten. herberg Statie te MOORSLEDE, demande un représentant ou voya geur, pour le placement de Vins et Alcools. Inutile de se présenter si on ne peut fournir les meilleures réfé rences. S'adresser M. Lamiral, Saint- Médard-en-Jailes, près Bordeaux. expédie franco et des prix très ré duits de bonnes montres or, argent et bronze d'aluminium, payables dans le délai dun an. S'adresser la dite fabrique ou des agents généraux dans tous les pays. (Atf. avec un tim bre de 30 centimes). bien d'en donner avis l'Administration commu nale du lieu de leur résidence réelle. -i-q-l La Croix est furieusement indignée contre le Journal de Bruxelles qui s'est premis dereproduire une f( méchante et odieuse assimilation de la Pa- trie, de Bruges, laquelle plaçait un vaillant jour- liai catholique, honoré d'un bref du Saint-Père sur la même ligne que les organes éhontés de la gueuserie. Voici comment la feuille ullramon- taine répond ceux qui lui ont reproché d'être plus catholique que le Pape*. El pourquoi paraissons-nous tels aux sectateurs de ia Con stitution Tout bonnement parce que nous osons déchirer les voiles qui masquent leur idole et mettre un l'horreur de ces quatre ulcères: les libertés constamment proscrites par l'Eglise. Mais il faut des preuves de telles affirmations, et nous défions qui que se soit d'en fournir. Au contraire, en établissant que nous n'exigeons point des hommes plus de sainteté que n'en requiert la sainte Eglise, nous prouverons que l'on ne peut, en ce pays, se faire le champion des lois de l'Etat, sans s'insurger contre les lois de Dieu. Qu'on en juge Nonhabebis deos alienos corarn me, dit le Seigneur. Et la Constitution répond fart. XIV): u La liberté des cultes, celles de leur exercice public sont garanties. Non assumes nornen Domini Deitui in vanum. El l'article II du décret du 20 Juillet 1831 exige le serment d'obiéssance des lois contraites aux lois de Dieu. Septimo aulem die, sabbatum Domini Dei tui est, non faciès omme opits in eo Et l'article XV de la Constitution garantit aux belges le droit de ne pas observer les jours de repos. Honora patrem tuum. Et le partages forcé, imposé par nos lois émancipe les enfants en désarmant le père. Non occides. El nos libertés de pertition permettent la propagande de l'erreur de tuer les âmes, en attendant qu'elles aboutissent 93, épanouissement fatal des principes de 89. Non moechaberis. Et la liberté de réunion, en vertu de laquelle un Naqnet s'en vient pérorer Bruxelles sur le Darwinisme et sur l'amour libre, la liberté de presse, qui déshonore nos rues par l'étalage de livres obscènes, protègent l'excitation la débauche Non furtum faciès. Et la loi de 1857, qui révise les testaments et sacrifie la volonté du testateur en détournant un legs de sa distination formelle, organise le vol légal. Non loqueris contra proximum tuum falsum testimonium. Et le mensonge est partout: il est dans cette Constitution, qui attribue aux Belges des droits que l'homme n'a pas; il est dans cette législation, qui dément sur tant de points la doctrine de l'Eglise; il est dans la chaire du professeur, dans le livre et dans le journal, et il y est assuré de l'impunité par les dispositions qui garantissent chacun la liberté d'enseigner et la liberté de manifester ses opinions: Non coucupices domum proximi tûi. - Et que font-ils autre chose, ceux qui, au nom de la loi de vol, ré clament un bien qui doit aller au prochain? Nec desiderabis uxorem ejus. Et notre loi du divorce stimule les désirs adultères en attendant qu'un pré texte sépare ceux que Dieu a unis et leur permette, h l'abri de la loi, devivre dans une union criminelle. Qui osera prétendre encore qu'il n'y a pas antinomie entre nos lois chrétiennes et les lois de l'Etat Et s'il y a antinomie, de quel droit vient-on dire ceux qui veulent faire cesser cet antagonisme: Vous êtes plus saints que la sainte Eglise, plus catholiques que le Pape? Le Pape etla sainte Eglise ne seraient- ils plus les gardiens du décalogue Cela est d'autant plus absurde, répétons-le pour fjnir, que si quelque chose, dans la Croix, gêne et irrite les partisans de nos institutions, c'est la parole du Pape condamnant LES LIBERTÉS DE PERDITION CONSTAMMANT PROS CRITES PAR L'EGLISE. Voilà le mot que blesse et le mot qu'il faut répéter, dilt-on passer jamais pour mania que. Calon était un maniaque aussi, mais sa inauiea ruiné la rivale de Rome: Delenda Carthago! Et dire qu'il y avait au Congrès onze ecclésias tiques, y compris M. de Haerne, qui ont volé la Conslitiilioii sans se douter que l'œuvre du Congrès était une violation flagrante de tous les comman dements de Dieu et de tous les enseignements de l'Eglise! Le Journal de Bruxelles est vraiment bien venu, après cela, soutenir, avec un des dé fenseurs de M. de Montpellier dans le procès Pier- cot. que les catholiques n'ont pas changé depuis 1830! Veut-il donc que nous lui rappelions encore que M. de Moutpellier lui-même l'a mise au ban des catholiques Belges cause de son respect pour la Constitution et l'a exclu de la liste des journaux de la capitale représentant, comme le Courrier et laCroix, les vrais principes religieux elsociaux?» Nos adversaires sont dans une grande perplexité depuis l'adoption définitive, par la Législature, du projet de loi électorale, projet autour duquel ils ont fait tant de cabrioles, et propos duquel aussi ils se sont livrés tant d'absurdes évolu- tions. Nos lecteurs hésiteront peut-être nous croire, quand nous leur affirmerons que les lignes qu'ils viennent de lire sont textuellement extraites d'un article publié par le Journal de Bruxelles'. Oui. c'est l'organe officieux du cabinet qui parle de cabrioles et dévolutions propos du projet de loi électorale volée ces jours derniers par la Chambre, après les péripéties que l'on sait. Il avait paru tout le monde que si des cabrioles avaient été exé cutées dans le cours des longs débats auxquels ce projet a donné lieu, c'était, coup sûr, par le gou vernement. Il n'en est rien. C'est l'opposition qui, au dire de la feuille ministérielle, s'est livrée ces exercices acrobatiques. Voyons un peu cependant Le projet de loi présenté par le gouvernement contenait celte mirifique invention du bulletin de parti, ou, pour parler plus exactement, de la contre-marque destinée contrôler le vote de chaque électeur. Un tollé général l'accueille. Le bulletin de parti disparait. Première cabriole. Exécutée par qui Par le cabinet. Les articles 62 et suivants du projet primitif renfermaient des dispositions tendantes priver de leurs droits acquis toute une catégorie d'électeurs, et cela dans le but avoué de modifier la composition du corps électoral de la ville d'Anvers. Nouvelle protestation de l'opposition nouveau recul du gouvernement. Les dispositions incriminées sont abandonnées comme l'avait été le bulletin de parti. Seconde cabriole. Acrobate Le cabinet. L'article 60, devenu l'article 46, puis l'article 47, érigeait en délit la tentative de faire révéler le secret du vole l'aide de menaces, promesses, etc. Un ministre proclame nous pourrions dire cyniquement que les prêtres seuls seront l'abri des pénalités comminées par cet article, et qu'ils pourront impunément essayer d'extorquer l'élec teur, dans le confessionnal, le secret de sou vote. Eu présence d'une pareille interprétation, l'opposi tion se prononce contre la loi. Que fait le minis tère Il relire l'article 47. Troisième cabriole. Toujours par les mêmes gymnasiarques. Mais, l'article retiré, restaient les commentaires du ministère de la justice. Qu'à cela ne tienne Le chef du cabinet prend la parole et jette par dessus bord les commentaires comme l'article, et son collègue lui-même comme les commentaires. Quatrième, cinquième cabrioles Et les sauteurs ne changent pas. Nous pourrions en rappeler bien d'autres. Mais quoi bon Ce qui précède suffit, pensons-nous, pour montrer combien le Journal de Bruxelles est bien inspiré en parlant de cabrioles et d'évolu tions. Indépendance M. Léon Vanheugen, ancien élève de notre collège communal, vient de subir avec succès, devant le Jury de Gand, le premier examen de candidature eh médecine. (Située près de la Station Y près), A l'honneur d'informer ses clients qu'elle fournit directement aux mêmes prix et condi tions des Mines, par waggon de 5 10 mille kos du beau et bon Charbon de Mons, Fresne et autres. Prix du détail Charbons Tout-Venant (Mons) fr. 2-50 les 100 kilos. ld. Fines 2-50 les 100 kilos. Aux mêmes magasins Engrais chimiques Puup les commandes s'adresser aux bu reaux de l'I'nion Comtnercinle, rue de l'Etoile, 4, I pre». LX INSTITUTEUR-DIRECTEUR POUR L'ÉCOLE DES ORPHELINS D'YPRES. Traitement 1,300 francs outre le logement et la nourriture. UN GRAND ET BEL kantooren der n0tar1ssen Victor PYCKE, te Ledeghem, en CARETTE, te Kortrijk. H EENE ENKELE ZITTIAG VAN EENEN Op 30 Juli 1877, ont 4 uren namiddag, GOED verpacht ten geringe prijze van 1835 franks. Maar ingesteld 51.500 tr. Om sefTens hand daaraan te slaan. Voonvaarden bij M. YERLEZ, Notaris te Moorslede. ancienne et sérieuse A LA CHAUX DE l'OXDS SUISSE

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1877 | | pagina 3