N I i Nouvelles diverses Acla saDCtorm Nécrologie. - u co ESH H K g n - ■■v"! EH F? p Décès. MONSCHE KOLEN. 1-90 per hectoliter per honderd kilos 2-00 per hectoliter FREINE KOLEN. volgens de kwaliteit. De leveringen per wagon aan den prijs der koolmijnen. De magazijnen zijn voortdurend voorzien van allereerste soorten van Koeken en van Chemische Guano en andere landvetten aan de leegste prijzen mogelijk. Het kantoor der Handelsvereeniging is bij M. A16 Vonck-Clement, Bankier, Sterrestraat, n°4, IJperen. -a •i - S H S P fi A État-Civil d'Vprgx, du 19 au 26 Octobre 1877. NAISSANCES: Sexe masculin, 5; id. féminin, 3. Total 8. Mariages. Lebbe, Joseph, journalier, et Tallieu, Blondina, dentellière. Landerwijn, Isidore, Maçon, et Wullems,Stéphanie, den tellière. Leuridon, Amand, tisseraud, et Descamp, Elodie, domestique. Gilles, Augustin,musicien au l'Reg'de ligne, et Speybrouck, Lucie, couturière. Vanzandycke, Marie, 84 ans, sans profession, célibataire, rue de Cassel. Van Eyde, Jean, 89 ans, sans profession, veuve de Thérèse Lelaruwiere, rue longue de Tbourout. Capelle, Pauline, 73 ans, sans profession, célibataire, rue de la Boule. Kestelvn, Emile, 8 ans, Grand'Place. Tibaux, Silvie, 74 ans, sans profession, célibataire, rue de Lille. Vandebroeke, Charles, 82 ans, Juge de paix en retraite, époux de Eugénie Raman, rue d'Elverdinghe. Notter Daeme, Sophie, 74 ans, sans profession, époux de Jean Desmedt, rue au Beurre. ftlagazijneii der IJpersclte Handelsver- eeniging, gelegen tegen de Statie van den IJzeren-Weg (Quartier du Commerce.) PRIJZEN DER KOLEN genomen in de Magazijnen. Gailletterie per honderd kilos fr. 3-35 per hectoliter 2-65 Tout-venant pr honderd kilos 2-40 Fijne 1-60 Gailletten per 100 k. fr. 2-60 en 3-30 Gailletterie per 2-50 en 3-20 Gailletins ofmosseltjes het 100 k. 2-40 het te huis doen part betaald. Uncommencement d'incendie s'est déclaré Lundi dans la matinée, chez M. Pierre Van Eeckbout, accordeur de pianos, rue du Cb'ateau Courtrai. Une étincelle sortie de la cheminée et portée par le vent avait mis le feu aux rideaux de la chambre coucher. Mm* Van Eeckhout-Lebègue, qui se trouvait alors seule la maison, appela au secours. Des voisins, MM. Jules Nys et Devos, répondirent aussitôt son appel. M. Nys enleva d'importantes valeurs destinées un paiement qui devait s'effectuer dans la journée, et qui avaient été déposées sur le lit. Puis MM. Nys et de Vos, aidés de leurs ouvriers, réussirent h se rendre maîtres du feu. Deux jours après, l'inspecteur, de la compagnie l'Alouette récupérait M. Van Eeckhout du dommage de 200 francs causé par cet inceodie, qui n'a pas fait de plus grands ravages, grâce l'empressement dévoué de MM. Nys et De Vos porter secours leur voisin. Pendant la nuit de dimanche dernier, trois pièces de toile fine moitié blanchie et deux pièces mouchoirs ont été enlevées de la blanchisserie de 11M. Vercruysse-Vandenbroeck, faubourgde Memn, Coulrai. Les auteurs de ce vol sont inconnus. Ces toiles avaient une valeur de six cents francs. Qui aurait cru que les Etals-Unis nourrissaient un si grand nombre d'avocats? Un journal américain en a fait le compte. New-York, lui seul, possède 5,915 avocats le Missouri, 5,452 la Pensylvame, 3,253; l'illinois, 2,683; l'Ohio, 5,563 l'Indiana, 1,684; le Kentucky, 1,552; le Massachussets, 1,270 la Californie, 1,115. Les Etats-Unis ont un avocat par 1,180 personnes. Le Collège éehevinal de Mont-St-Amand vient de donner sa démission a titre de protestation contre l'arrêté royal qui lui enjoint de procéder une nouvelle publication des listes électorales. Comment on doit éteindre les lampes Pétrole. Nous voilà l'entrée de la saison d'hiver. C'est le temps des veillées, le temps ainsi, hélas des accidents causés par l'éclairage du pétrole. Nous croyons donc être utile nos lecteurs en publiant la petite recelte suivante Un industriel donne de sérieux avertissements sur le danger d'éteindre en soufflant les lampes pétrole. S'il est exact, que sur 100 personnes 99 éteignent une lampe en soufflant dans le verre, il est aussi exact que ces 99 per sonnes sont exposées aux mêmes accidents dont la centième est frappée, c'est dire de se brûler avec du pétrole. En effet, si la lampe est trois quarts vide, par suite de réchauffement de l'huile, elle se remplit de gaz semblable au gaz ordinaire; dans ce cas, si la mèche ne remplit pas com plètement le tuyan, la flamme est soufflée par l'espace libre dans le récipient de l'huile, met le feu au gaz, fait éclater là lampe, enflamme l'huile qui s'y trouve encore, répand cette huile sur les habits, les meubles, etaccasionne enfin de compte un de ces nombreux accidents dont les journaux parlent presque chaque semaine. Pour ne courir aucun danger en éteignant une lampe pétrole, on n'a qu'à descendre la mèche niveau du tuyau, mais pas davantage (on risquerait daus ce cas de passer la flamme dans le récipient de l'huile et amener une explosion) et de la souffler par les ventouses. Le pétrole l'état froid ne présente aucun danger et ne prend pas feu une allumette chimique mais s'il est porté au degré qu'il possède daus une lampe qui brûle pendant deux heures il faut éviter d'en approcher le feu. Le sauvetage de l'ouvrier Prévost, enfoui Burcy, en France depuis le 3 octobre, a été accompli dans la nuit de lundi mardi, vers minuit. Un puits profond de 25 mètres avait été creusé, et par une Îetite galerie souterraine on a pu enfin arriver jusqu'aux mal- eureux ouvrier et le rendre la liberté. Ce moment a été émouvant, car mesure que les ouvriers avançaient dans leur travail, ils criaient leur compagnon Courage nous voilà, nous arrivons I...» Et Prévost, comp tait les minutes, les secondes, jusqu'au moment où, dégagé, il put, en pleurant, embrasser ses libérateurs, qui le transpor tèrent, triomphalement l'air libre. Le creusement du puits de sauvetage avait duré dix-neuf jours. Prévost est âgé dix-huitjans, maigre et d'une taille au-dessus de la moyenne. Sa robuste constitution lui a permis de résister pendant vingt jours cet enterrement anticipé, debout, ne pouvant lever la tète, et libre seulement d'incliner droite et gauche. Comme il n'était vêtu, au moment l'accident, que de son pantalon de travail et d'une chemise, on lui avait fait passer un tricot de laine qu'il avaij pu, force d'efforts, revêtir. Il a été nourri assez substantiellement, et l'on sait que les ou vriers se relayaient tous les jours et toutes les nuits près de lui. Son moral est resté résigné pendant ces 20 jours: quant sa santé physique, elle n'a pas été altérée, sauf une certaine enflure des jambes aussi, dès qu'on a pu le faire sortir, l'a- t-on enveloppé dans nne couverture et l'a-t-on transporté dans une voiture Conches, où ses parents l'ont accuilli avec une joie el une émotion bien naturelles. Par une touchante attention on avait disposé près de l'ou verture du puits où le jeune Prévost avait été enfoui, un tronc dans lequel des passants, des ouvriers, des voyageurs, ont, avec empressement, déposé leurs offrandes, afin de venir en aide au puisatier. Sur un navire se trouvait une jeune miss courtisée par quatre gommeux. Elle alla trouver le capitaine et lui deman da conseil. Après réflexion, le capitaine répondit u Jetez-vous la mer et vous donnerez votre main celui qui vous en retirera. La jeune fille se précipite courageusement dans l'onde amère: trois des ses amoureux s'élancent et la sauvent. Nouvel embarras de miss... Nouvelle demande de conseil au capitaine qui, après nouvelle réflexion, répond Epousez celui qui n'a pas été votre secours, c'est le moins bête des quatre. ^»i-o-Ha La Chambre du Conseil du Tribunal de première instance de Bruxelles vient de confirmer le mandat d'arrêt, lancé par M. le Juge d'instruction YVillemaers charge de l'abbé François (Jules-Louis-Alfred), prê tre catholique, ex-curé aux entrons de Paris, profes seur ecclésiastique dans un des premiers collèges épis- copaux de France, âgé de 43 ans, né et domicilié dans le département du Pas-de-Calais. Le lecteur se rappelle la nature du délit qui a moti vé l'arrestation de cet oint du Seigneur, dans le Parc de Bruxelles. M. Vincent Dubochet, président du conseil d'administra tion de la Compagnie parisienne du gaz, est mort Paris, mardi matin. Il était âgé de 85 aus. C'était un républicain convaincu. Il laisse une fortune évaluée 60 millions, dont une partie, dit-on, reviendra par testament M. Gambetta, le défunt n'ayant pas d'héritiers directs. Onguent d'Holloway. Diarrhée et Affections des Intestins. Dans tous les cas de dyssenterie et diarrhée lorsque l'Onguent d'Holloway a été bien frotté sur l'abdomen deux ou trois fois par jour, on a obtenu un soulagement sensible et en persévérant dans ce traitement salutaire avec application de cataplasmes de son chaud, on a toujours opéré la guérison. Du lait et des substances farineuses composeront seuls la nourriture du patient pendant tout la durée du traitement, en ayantsoin d'éviter qu'il neprenne aucun aliment solide, ni fruits ni légumes, jusqu'à ce que les symptômes les plus douloureux aient cédé l'action persistance de cet Onguent bienfaisant et réparateur. marché d'Ypres. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 27 Octobre 1877. NATURE DES GRAINS ET DENRÉES. QUANTITÉS VENDUES KILOGRAMMES Prix moyen PAR CENT KILOGR. POIDS M" DE l'hecto litre. 54,600 fr. 56 50 80 4,400 23 50 73 600 22 50 44 400 25 00 80 Féveroles 1,200 25 25 80 Pommes de terre 10,000 9 00 Beurre 300 POPER1NGHE, 26 Oct. Froment, 1 hect., fr. 26-81 Seigle, 17-25; Avoine, fr. 11-25 Pommes de terre, les I00k.,fr. 10Beurre le k", 3-80.—Houblon, les 50 kilos 5657 c o m ka '3 s S 2 -S ■p o <d« PT3 S "S a5 tn <U CD -r- 5 o ■M S es g 2 S H w Q O D w ci u G w 7" O) &D h bo s-» S s 2 V p «s g go c3 O o a a <v <v O) 'o o (D <D a î- io G* •V H CD g s 5s p P3 B W I o. C «1 O» o o U as .2 -O .2 U o •rt .Ctf ■s o p o P-i-cri -va g Q) -va 2 g ps ©5 8 "S M o o c3 U m Gf* oQ -Q f- «S -O M S a o -a G o '35 "a 50 03 'S-S s l u -v-= S O S s e s- s V© s Q F 1? 3 O L CQ *0) ©Z3 S S 8 - 3 psfc G 00 -J O so -oi O os-ëpq o CU-T3 S S - 8 s s M P I M tfl G) I 0) c3 CQ G O c$ o «2 es "rj p se O ci - a g 2 P-®S m «s 'G - JTTP - ca X •r- U\j r r+ UJ, S^l'O'CÔ Pi 3 o o Q} S-g $3 -g - "S Sn3 Pi T W M L. f T ■o "VZ2 CD 2 t.

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Le Progrès (1841-1914) | 1877 | | pagina 3