G. Coussaert-Pauwels, ENCRE DU XIXe SIÈCLE Théâtre CAISSE GÉNÉRALE D'ENGRAIS CHIMIQUES^ assurances contre l'incendie. S E GRAND DÉPÔT Poire d'YpresGrand'Place. Aujourd'hui 13 Mars et jours suivants RUE JANSÉNIUS, N°6, AYPRES. PARFUMERIES. FABRIQUE ET MAGASINS Salon pour la coiffure et la coupe des cheveux Spécialrté de Postiches en tous genres Chignons, haute nouveauté Tours, Tresses, Perruques, Toupets, et tout ce que la mode a créé de plus nou veau. On utilise et transforme les tresses, Tours et Chignons dont on ne veut plus se servir. coiffure: de dames. Le tout des prix défiant toute con currence. QUELCONQUES. Engrais complets pour toutes les plantes, composés d'après les meilleurs procédés et for mules, garantis sur analyses faire aux stations agricoles de l'Etat. C. VERMEIJLEN et fils, MARCHANDS DE HOUBLONS N. B. Tout acheteur de 1000 kilos et plus a le droit de faire faire l'ana lyse aux frais des vendeurs. On demande des agents pour Ypres, Courtrai, Mouscron, Iseghem et Me- nin. S'adresser Louis Clerinx, agent principal Wervicq. reconnue la meilleure encres a écrire. Limpide, noire, inaltérable chez A. VAN EECKHOUT. rue de Dixmude, N° 39, Ypres. CD .2 fifi CJ O a a -b CD b ts 4 B a a a a CD b B a *5 E K a -b -b a b a -1 I z 2 45 b a a b O a b - Z •S ra" a o s o sa PS CJ TS c a a O Jl CJ a 21 «j c M u s T3 JD TS T3 S o g S 'S g 3 e a s 1 3 a Jt fa S g en ra ts e I I étant plus faible, dans l'ensemble qu'en Janvier et Février, les bourrasques qui, pendant ces deux mois, ont sévi ordi nairement sur l'Ecosse et sur la Norwège, se rapprocheront de nos latitudes par suite, le mois de Mars sera plus acci denté que les précédents sur la Fiance et sur les pays voisins. Dépression barométrique, avec coups de vent, pluie, goubi- lées ou neige, tantôt sur une latitude, tantôt sur une autre, suivant l'importance et le mode de déclinaison de la lune vers les 2, 4, 7,10, 12,15, 18, 21, 24. 26, 30. Gros temps probable vers ces dernières époques. Crue d'eau après. Coups de tonnerre épars vers les 5, 12, 18, 24. Quelques accalmies et éclaircies entre et durant les périodes critiques, principale ment sur les sud-ouest et le midi de la France. Abaissement de la tempé'ature avec rayonnement nocturne et neige sur les points culminants: première et troisième dizaines. Ne pas oublier que les perturbations emploient deux ou trois jours pour se propager par zones concentriques de l'est l'ouest de la France. Un meurtre, causé par un dépit amoureux, a été com mis Dimanche, 3 c', dans la soirée, au village de Hofstade, canton de Vilvorde. Voici dans quelles circonstances Une fillette de cette localité, âgée de 14 ans 2 mois, était déjà courtisée, paraît-il, par deux garçons, âgés l'un et l'au tre del8 ans. Le premier, nommé Stroobanls, semblait avoir été le préféré, mais depuis quelques temps, il avait paru ne plus s'occuper de la jeune fille, tandis que, de son côté, celle-ci avait témoigné plus d'égards pour le second de ses prétendants, nommé Pepermans. C'est ainsi que le dit Dimanche ils se rendirent ensemble Malines pour y assister aux divertissements du Carnaval. A leur retour, ils s'arrêtèrent dans une salle de danse où se trouvait Stroobants. Dès qu'il aperçut la jeune fulle, il l'en gagea danser avec lui. Non seulement elle y consentit, mais elle continua et, plusieurs reprises consécutives, figurer avec Stroobants dans les quadrilles, ne se souciant pas plus de Pepermans que si elle ne l'avait jamais connu. Cependant ils étaient sortis ensemble et elle avait accepté comme gage de leur liaison, une bague de 3 francs qu'il lui avait achetée Malines. Se voyant évincé de la sorte, Pepermans réclama la resti tution de la bague l'inconstante fillette qui ne fit aucune dif ficulté s'exécuter. Puis il sortit de l'établissement, suivi bientôt après par le couple qui retournait au village. Au moment où la jeune fille et Stroobants passaient auprès dePepermans,celui-ci s'approcha d'eux, et, sans dire un mot, il porta son rival un violent coup de couteau dans la région du cœur. Slroobanl tomba pour ne plus se relever. La mort avait été instantanée. Le meurtrier prit la fuite tandis que la victime était trans portée chez ses parents, proches voisins de la famille de Pe permans. Le malheureux père du meurtrier i'étant enquis de ce qui s'était passé et voyant un rassr-mblrment devant sa demeure, alla la découverte de son fils pour le remettre lui-même entre les mains de l'autorité. Le garde-champêtre conduisit Pepermans Vilvorde le lendemain matin et le remit aux mains de la gendarmerie. Chemin faisant, un camarade du prisonnier lui demanda quand il espérait pouvoir revenir? A quoi il fut répondu en flamand: In den krieken tijd (Dans la saison des cerises.) Les magistrats instructeurs du parquet de Bruxelles, MM. Gilmont, substitut du procureur du Roi, Holvoet, juge d'in struction, accompagné de MM. Delecosse et Sema!, médecins- légistes, ont fait une descente sur les lieux du crime. L'au topsie du cadavre de la victime a été pratiquée Hofstade même. Le meurtrier vient d'être transporté Bruxelles et écroué sous mandat de dépôt. A.CASTI 10 Grandes Représentations seulement. terminées par une Pantomime Comique ou un Mimodrame. Les Dimanches et Jeudis 3 heures précises brillante représentation enfantine. Prix des Places Loges d'avant-scène, 2-50. Chaises réservées numérotées 2 fr. Premières banquettes, 1-50. - Secondes 1 fr. - Galerie et Amphithéâtre 50 c. Tfpres et Elverdinghe. DES 2ÏÏ -ï o es -M en -O) C 05 SB «A C es en s» S es o -a e s s •u "O c I—I en «j •o a B X B a B B B -B B 43 -o o o a o M S a m a H b O g 43 .3 "c o c O -a en C _T m 03 «r e© i> c «5 w en g •t*3 ji 3 :a? o- "T3 o x en -« *3 43 CG 43 43 43 3 -O o *- CH 43 -O CU X r. 03 en c rU -C S ss g g Cu e© c o J-V- 43 '5 M h U u 'U c -g c E X s -S O ^3 E '5 te - U ïO 5 c b J2 en s W l 2 E en O sa o sa -s -s Y O- o 43 C "X 43 as Q- O b 43 TS 143 b s x a CJ a S QC VI O x x CJ £-'en 43 O -S 43 *n> "O W S OJ a; o C CD S O c o c» a. Q. <u en 03 a- S QJ to C/2 u X o z GC C/) H u: en O) B a -n S xs t=3 w a s B U U <=b PC B E- x E-> B M g M S B S <=q 35 B a H s W t5 M Pl. c 3 -Q en o C 43 '03 X >-s 43 EC «n a .2 T3 O w 3 43 •>43 X C z O S3 H W D- m eo B z S 2 u «n 3 "ra o; c M ta S S B pq VB Q SS B g 5o -ï - en cr û- en 43 eu 43 C Q. C 3 O O 3 -J C 3 H c Cu O J2 B C 5 .S 'S a- u S to u a Q S u "U <u S X u u 5 -a S -S 3 V" - u u 9 n X a 3S - a 9 a "9 a M ti 9 a •n a a 9 e x a M fa tt 9 9 >a O JO -3 B O U 1 S z M U 9 R H B m s i O H 25 - Cd - U S a o g es ,p s- a Sd es a as a - S 2 a H H c a nJ a a a H a a O i-l E u M X 9 e 9 -i 9 a x >a fa b a fis x a fa 9 e b 9 X a 'S B< .o en s: c E S 55 E «C V s a- ÎC 's v£L s îT.® o •e *43 Q U j- a. -fa- ^05 O N *3 E E 43 3 W3 «.qj S. O «3 'Z: W 43 •- C en «O .5 E o 'eu en O -= x 43 -o x C a> 3 a 8 8 •e e a a e a a 8 8 8

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1878 | | pagina 3