POÊLES,CALORIFÈRES ENCRE DU XIXe SIÈCLE Encre Belge perfectionnée, CAISSE DES PROPRIÉTAIRES. PRIX DES CHARBONS D'ENGRAIS CHIMIQUES MOBILIER. MAISON et Foyers ordinaires et de luxe GRAND DÉPÔT Le Lundi, 28 Octobre 1878, ANVERS. Agent Ypres, M. A. VONCK-CLÉMENT, Banquier, rue de lEtoile N° 4. La caisse des propriétaires émet des obliga tions aux conditions suivantes: Obligations 5 ans, intérêt 4 1/2 10 »4 3/4 primes, 41/2 équivalant 5 avec la prime de rembourse ment. Pour obtenir les titres ou avoir des rensei gnements s'adresser M. A. VONCK-CLÉMENT, Les obligations de la Caisse des propriétai res ont un double gage, les hypothèques qui garantissent les prêts et le capital de la So ciété. L'UNION COMMERCIALE D'YPRES. CHARBONS POUR SECHER LE HOUBLON. Ie classe 31 fr. les 1000 kilos)les deux 2e id. 26 fr. id CHARBONS FRENES pour poêles, etc. Caillettes, Ie classe, 26 fr. les 1000 Gaillettins, 23 fr. kilos. CHARBONS DE MONS, qualité extra. 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Il n'y a plus, ajoute-t-il, de fête possible en Belgique saus que notre souverain soit acclamé. Dès que dix Belges sont rassemblés, ils éprouvent le besoin d'ac clamer le Roi ils sentent que dire vive le Roi c'est crier vive la Belgique! M. le gouverneur remercie ensuite du toast qu'on lui a porté et de la magnifique réception qu'on lui a faite. Ces témoignages de confiance, les difficiles fonctions dont il est charge, lui imposent, dit-il, beaucoup de devoirs j'aurai la force de les remplir, dit M. Heyvaert, parce que je sens que je suis en communauté d'idées avec la plus grande partie de la Flandre, avec Ypres, qui malgré ses revers, est toujours restée, la grande ville. Chez moi, dit-il en terminant, vous trouverez tou jours le désir d'être bienveillant envers tous; je vous ai fait aujourd'hui une trop courte visite, mais vous m'avez si bien reçu que je sentirai souvent le désir de me retrouver parmi vous. De longs applaudissements suivent ces paroles, puis, l'heure du départ étant arrivée, M. le gouverneur quitte cette réunion acclamé par tous les assistants. Le trajet des Halles la gare se fait au milieu d'une foule énorme qui, malgré la pluie survenue vers midi, a tenu dire au revoir au gouverneur dont la voiture ne peut avancer que lentement au milieu de cette afflu- ence. Les rues sont bordées de porteurs de lanternes véni tiennes, des feux de bengale éclairent les monuments, les fusées, les pétards éclatent de toutes parts et font chorus avec les cris, les applaudissements de la foule. Les vieux monuments de l'antique cité ont dû croire qu'Ypres avait retrouvé sa splendeur et sa nombreuse population d'autrefois. Il était 6 heures 1/2 quand le train, emportant M. le gouverneur, a quitté la gare. Tous ceux qui ont assisté ces fêtes en conserveront le meilleur souvenir; la journée a été bonne pour le parti libéral et pour le digne gouverneur qui, par son affabilité, le charme [de ses manières et de sa parole, s'est fait des amis personnels de ceux qui avant sa visite Ypres n'étaient que ses amis politiques. Pour compléter le compte-rendu de l'Ab^o.nous ajouterons qu'après la réception aux Halles et le défilé du cortège, M. le Gouverneur s'est rendu chez M.Carton, commissaire intérimaire de l'arron dissement, où l'attendait un excellent déjeuner, auquel étaient invité les principales autorités ci viles et militaires et un grand nombre de notabili tés de la ville. Nous voyons avec plaisir que l'opinion publique se réveille dans presque toutes les communes partout on se prépare la lutte et là même, où le succès est incertain, nos amis ont raison d'engager la lutte. 11 faut créer un parti libéral dans toutes les communes. En attendant, nous apprenons qu'une jeune garde s'est constituée Wervicq et que son premier acte a été de se mettre en relations avec l'association libérale du chef-lieu. Nous ne pouvons que féliciter nos amis de Wervicq et nous esperons qu'ils trouveront bientôt des imitateurs. 18 Octobre 1878. Monsieur l'Editeur, Lorsque j'assistais, ce matin, aux funérailles du brave et digne curé de l'Eglise de St-Joseph, je pensais l'article que j'ai lu, hier au soir, dans votre estimable journal. Je suis encore sous l'impression du spectacle émouvant de toute une paroisse rendant les derniers devoirs son pasteur bien-aimé. L'église était trop petite pour nous contenir tous; l'offrande a duré trois quarts d'heure. Or, savez-vous ce que c'est que cette paroisse de St-Joseph? C'est celte fameuse (ie section qui n'est, dit-on, habitée que par des gueux, ce qui veut dire par des électeurs qui, dans Anvers, donnent la majorité aux Libéraux. N'est-ce pas, Monsieur l'Editeur, que les libéiaux en veulent bien la Religion et ses Ministres? El bien, qu'on nous donne encore, si c'est possibleun curé comme Monsieur Van den Bosch, un bon curéle curé de Lamartineun curé qui se contente d'enseigner l'Evan gile, sans s'occuper di s affaires politiques; et je puis vous garantir que l'Eglise de Sl-Josipli continuera être trop, petite, le Dimanche. De plus, je vous donne la certitude que ce curé sera honoré parmi nous cl recevra un jour, 1rs hon neurs suprêmes qui ont été donnés, aujourd'hui, M. Van den Bosch. Si vous pouvez faire plaisir 'a MM. les rédacteurs du Journal d'Ypres eu leur communiquant ce qui précède, je vous autorise *a le faire. Votre abonné. Seul agent, de la Société Ypres. PRIS DANS LES MAGASINS DE situés la station du chemin de fer. sortes sont \detrès bon- I ne qualité. CHEZ Remise aux poëliera. Spécialité d'ustensiles de cuisine. Apres et Elverdinghe. N. B. 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Le Progrès (1841-1914) | 1878 | | pagina 4