Nouvelles diverses. L Echo du Luxembourg nous annonce que M. l'échevin Petit intente un procès la pieuse Voix du Luxembourg, déjà condamnée une vingtaine de fois pour injures et diffama tion. Mariages. calomnié, diiïamé, vilipendé Je prochain, échappe au châtiment. DENIER DES ÉCOLES. Listes précédentes, 18 544-95 Epée Royale. 17-42 Francs Arbalétriers, 7-30 Boerenhol, 7-12 VVitte Ivlakken, 24-05 Epéron d'Or, 12-52 Bergerie, 12-17 Café Suisse, 2-28 Sultan, 74-14 Aigle d'Or, 18-78 Saumon, 25-00 Petit Soleil, 4-05 St. Sébastien, 11-94 Tête d'Argent, 7-00 V range, 17-12 Cuirassier, 1-68 Fond de Boîte, 1-62 Vente d'une Flandre Libérale. 0-25 Produit d'une expertise, 3-00 Bal organisé par les pompiers, au Soleil, 2-42 Drij fijne partijen kruisjas afgeloerd bij de pompiers, 0-G0 De kunst op den sebuiftafel bij de pompiers, 1-04 Un dîner Facho-Pordelo, 1-30 Voor de sieiten ouden, in de Spoore, 0-10 Omdat M. L. S. ging vermeerdert zijn van jaargeld, en dat hij niet gekomen heeft. 0-25 Omdat de zeefdemaker ons zoo fijn niet meer zoude embeteeren, 0-25 Omdat Alexander den schreeuwer minder te zeggen heeft dan den soldaat. 0-15 Omdat dien zelfden philosophe ons niet kan verdragen. 0-15 Schuiftafel in de Monarque, 1-00 Les pompiers fêtant St.-Cécile: La traviata; Alice pour piano adieu Lisbonne den Nieuwen Hemel de Verkeerde Wereld Leopold II au pas Rappelle-toi le Rossignol l'Amour n'a pas de saison; le Chartreux; Grande Valse de salon pour piano de Ch. De wulf, exécutée par H. M., 9-50 Napoléon, au pas au pas au pas avec sa musique. Pompiers, 3 f. bis, 1-00 Yoor het nieuw uitgevonden muziek, 0-78 1», 811-02 Dépenses jusqu'à ce jour, 15,077-01 En caisse, fr. 3,739-41 Les membres du Corps des Sapeurs-Pompiers de notre ville étaient en fête Dimanche dernier 1 Décembre, l'occasion de la remise leur digne Commandant, M. Valcke-Hage, de son portrait peint l'huile par M. Th. Ceriez. Tous les locaux du rez-de-chaussée de l'Hôtel-de-Ville, décorés avec beaucoup de goût étaient affectés cette fête: la salle de répétition était transformée en une magnifique salle de bal le vestibule et les autres pièces étaient converties en salles de buffet et de jeu. Partout régnait l'animation la plus vive: tous les cœurs étaient joyeux, toutes les physionomies étaient em preintes d'une bonne et franche gai té. Vers 7 1/2 heures du soir, les danses et les jeux furent interrompus par l'entrée de MM. les Bourgmestre et Echevins, qu'accompagnait M. A. Van lenpeereboom, Ministre d'Etat, Major honoraire du Corps des Sapeurs- Pompiers. L'arrivée des Magistrats Communaux fut salué par de vives acclamations quant M. le Ministre, il reçut de la part de ses anciens et braves Pompiers, un accueil prouvant que le populaire souvenir de leur ancien Commandant n'est pas près de s'éteindre dans leurs cœurs. M. le Lieutenant Brunfaut prit ensuite la parole, et, en faisant tomber le voile qui recouvrait le portrait de M. Valcke, retraça la carrière, brillante déjà, de l'honorable Commandant il rappela les services rendus par lui au Corps des Sapeurs-Pompiers dont il a su maintenir l'ancienne réputation, et se concilier lui. même les plus vives sympathies, la plus cordiale estime. De formidables acclamations saluèrent les paroles de M. le Lieutenant Brunfaut; les cris répétés de: Vive le Commandant, retentirent longtemps. La distinction flatteuse dont il venait d'être l'objet, fournit M. Valcke l'occasion d'exprimer ses cama rades les sentiments aâectueux et dévoués dont il est animé pour eux; il parla d'une voix tremblante de douce émotion, mais en termes chaleureux et partis du cœur. Ses excellentes paroles électrisèrent les assistants qui l'acclamèrent de nouveau avec transport. Cette touchante cérémonie achevée, les danses furent reprises avec un nouvel entrain; les divers amusements et les jeux recommencèrent d'autre part. La fête se termina vers une heure du matin tout se passa dans le plus grand ordre et dans cet excellent esprit de cordiale entente,qui est de tradition au Corps des Sapeurs-Pompiers. Nous ne pouvons terminer ces lignes sans adresser nos vives félicitations l'artiste qui a réproduit les traits de M. Valcke. 11 ne s'est pas seulement borné faire un beau portrait, il a voulu en outre faire un beau tableau, et II y a parfaitement réussi, comme toujours. Société des Choeurs. Mercredi, 18 courant, soirée musicale offerte MM. les membres honoraires ainsi qu'à leurs familles, avec le concours de M. H. Gevaert, une ancienne et joyeuse connaissance du pu blic Yprois. Dimanche prochain, 8 Décembre 1878, l'occasion de la Fête de Slc Barbe, le Corps des Sapeurs-Pompiers de la ville d'Ypres, se rendra, onze heures et demie, l'Eglise de Saint Martin, et la Musique exécutera pendant le service divin, deux morceaux de son répertoire. Etat-Civil d'Vpues, du 29 Noo. au 6 Dec. 1878. NAISSANCES: Sexe masculin, 5 id. féminin, 3 Total 6. Versavel, Yédaste, cordonnier, etVersIyppe, Julienne, den tellière. De Pauw, Benoit, sergent au bataillon d'admi nistration, et Demunttr, Philomène, couturière.Viane, Auguste, journalier, et Lulan, Adeline, dentellière. Raes, Charles, boulanger, et Verhaeghe, Aimée, sans profession. Décès. Torrelle, Zulima, 27 ans, domestique, célibataire, rue de tille. Vervisch, Marie, 58 ans, boutiquier, veuve de Domicent, Jean Baptiste, rue Marché aux Vieux Habits. Wydein, Mélanie, 78 ans, dentellière, épouse de Machaire, Burggraeve, rue de Menin. Duprez, Eudoxie, 29 ans, dentellière, célibataire, rue Marché au Bois. Enfants au dessous de 7 ans Sexe masculin, 1, Sexe Féminin, 0, Total 1. fîtit Le bruit s'était répendu Anvers qu'un capitaine de navire avait été attaqué et dévalisé au Bassin. Voici ce qui est arrivé. Le capitaine W..., âgéde40ans, natif d'Angleterre, fut rencontré, samedi dernier, dans l'a près-midi, dans la rue de Londres, par le nommé K..., avec lequel il avait eu une querelle. A peine le dernier avait-il par lé, que W... tiia un revolver. Heureusement K... put écarter temps le bras du capitaine et appela au secours. Plusieurs ouvriers accoururent, et en un clin d'œil le capitaine fut ter rassé et désarmé. Le lendtinain, M. W... a déposé une plainte au bureau du commisaire de la section, il prétend avoir été attaqué et mal traité par plusieurs individus qui lui ont volé une somme de 500 fr. A la suite de cette plainte, la police a (arrêté trois in dividus, les nommés J-B-K..., voilier, Dominique Van G..., commissionnaire, et, J. J..., ouvrier. On n'a pas trouvé d'ar gent en possession de ces personnes. C'est Van G... qui avait désarmé le capitaine; il a remis le révolver au commissaire. Après interrogatoire, les trois prévenus, ont été remis en liberté. Jusqu'ici on ne sait pas ce que sont devenus les 500 fr. que le capitaine Vfprétend lui avoir été volés. M. W... reçu des contusions dans la rixe. Beaucoup de personnes se plaignent d'éprouver chaque matin, au réveil, une grande gène dans les bronches, comme de l'étouffement produit dans l'arrière-gorge, par des mucosi tés plus ou moins épaisses. On fait pour cracher de violents efforts qui amènent souvent de la toux et quelquefois des nau sées et ce n'est qu'à grand'peineau bout d'une heure ou deux de malaise, qu'on parvient se débarrasser de tout ce qui entravait la respiration. C'est rendre un véritable service toutes les personnes atteints de cette affection si pénible que de leur indiquer le remède; il s'agit simplement du goudron, efficace dans toutes les affections des bronches. Il suffit d'ava ler chaque repas deux ou trois capsules de goudron Guyot pour obtenir rapidement un bien-être que trop sou vent on avait cherché en vain dans un grand nombre de mé dicaments plus ou moins compliqués et dispendieux. Huit ou neuf fois sur dix, ce malaise de chaque matin disparaîtra com plètement pai l'usage un peu prolongédescapsulesde goudron. Il convient de rappeler que chaque flacon de 2 fr. 50, con tenant 60 capsules, ce mode de traitement revient un prix insignifiant 10 15 centimes par jour. Ce produit, en raison de sa vente considérable, a suscité de nombreuses imitations. M. Guyot ne peut garantir que les fla cons qui portent sa signature imprimée en trois couleurs. Dépôt dans la plupart des pharmacies. Un membre de la municipalité est allé lundi signifier au directeur de l'école des frères de place Henri IV, Meaun, l'arrêté de M. le préfet, qui nomma un instituteur laïque sa place, dater du 1er Janvier 1879. Le directeur de l'école des frères a répondu qu'il ne s'en irait pas. On voit que le mol d'ordre est le même partout et que la résistance est organisée. Il faudra pourtant bien qu'en dépit des protestations la loi soit exécutée. HERNIES. Guérison radicale sans aucun médicament. Le sr L. Vojave de Bruxelles sera un jour seulement le 12 Décembre Ypres l'Hôtel de la Tête d'Or, avec un assortiment de bandages avec pelote-plastique moulée en caoutchouc naturel. Cette pelote a été mo delée dans les hôpitaux sur les différents dégrés de Hernies, afin d'avoir exactement la grandeur de l'an neau, par ce système plus d accidents redouter. Approuvée par les sommités médicales pour son effica cité. Consultations de 11 2 heures. On a raconté avec des détails inexacts, dit le Temps, spécialement en ce qui touche la question des lingots d'argent confiés M. Delebecque par MM. de Rothschild, l'affaire du directeur de la Monnaie de Bordeaux. MM. de Rothschild, avaient envoyé des lingots la Mon naie de Bordeaux, comme chaque particulier a le droit de le faire d'après la loi, pour faire transformer.ces lingots en espè ces. Le directeur, M. Delebecque, avait, comme d'usage, remis en échance de ces lingots des bons de monnaie qui venaient échéanre le 1er décembre courant. Il a quelques jours M. De lebecque prévenait MM. de Rothschild qu'il ne pouvait pas livrer les espèces cette date par suite d'embarras personnels; en même temps, le Trésor apprenait que des lingots, déposés la Monnaie de Bordeaux, avaient subi des altérations. Un inspecteur des finances, aussitôt envoyé par le Trésor, con stata que des lingots d'argent avaient été remplacés par des lingots de cuivre. Sur le rapport de cet agent, M. le ministre donna l'ordre de procéder l'arrestation de M. Delebecque. Voilà, en résu mé, la vérité sur celle affaire criminelle, où le mot litige a été prononcé tort. - La Gazette Nationale du 30 Novembre annonce que la police a arrêté, ces jours derniers, Berlin, une bande de huit Russes qui n'avaient d'autre occupation que de mettre en circulation d' faux billets de banques russes. On a trouvé dans leurs poches et confisqué un grand nombre de faux billets de roubles. Pilules Holloivay. Le Grand Secret. Avec la température variable de ce pays, il est essentiel pour se pré server en bonne santé que le sang soil purifié de temps autre et que les matières nuisibles soient expulsées du corps. Pour cela, le public peut être son propre médecin et nn prix insi gnifiant. Des instructions pour leur emploi sont fournies avec les Pilules et la moindre attention, peu de restrictions près, entretient la'santé quelles que soient les circonstances et les épreuves. Ces Pilules sont altéralives, toniques et àpérilives_ La Médecine Holloway doit être sous la main, afin qu'elle soit administrée, aussitôt que le premier symptôme avertit de l'ap proche d'une ma'adie.

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Le Progrès (1841-1914) | 1878 | | pagina 2