Nouvelles locales. Nouvelles diverses. 5 S g-S 1 §2 a S H I Jâ Aux points. 3 i 3 Au blanc. Z Gaimant, A. L'Écho du Nord assure que M. le préfet du Nord et M. le sénateur mairede Lille, ainsi que plusieurs fonctionnaires et un grand nombre de maires du département ont égale ment invités par M. le Bourgmestre et qu'ils répondront cette gracieuse invitation. Fait Nancy le 27 Août 1877. U <D CO Uï r~~! xii Z fl O fi fi ca -s U 6< ta <v a Cu i-1* 02 s=l cS zn T3 0* rti tu X m a S Z c 2 1 fa tD '3 o c - 1 .S 2t I "3 c z S.EU I 3 a 53 z le fa S 8 8 A 8 On lit dans l'Italie Les menaces d'attentat la vie du roi des Belges, auxquelles a servi de prétexte la loi sur l'enseignement récemment promulguée, préoccupent vivement le Pape. Sa Sainteté craint que les catholiques fanati ques ne commettent quelque imprudence suscep- liple de compromettre les relations existantes, ou bien que des intéressés ne recourent des strata gèmes tendants amener une rupture. Pour éviter tout malentendu, le cardinal Nina vient de transmettre au nonce pontifical Bruxel les des instructions l'invitant prolester auprès du président du conseil contre ces agissements crimi nels, et lui exprimer les vifs regrets qu'en éprouve Léon X1IÎ. En même temps, le nonce devra adresser au Vatican un rapport détaillé sur l'état de choses, rechercher quels peuvent être les véritables au teurs de ces menaces et recommander l'épiscopat et au clergé le plus grand calme et le respect de la lui qui vient d'être mise en vigueur. Société de Gardes civiques d'Ypres. - 1' de la période d'été. 7 Juillet 1879. tir 1. Ligy, F. 6 2 5 4 G 2 25 2. Deweerdt, Ch. 5 3 4 5 2 4 23 3. Maillaert, G. 4 4 4 1 5 21 4. Lesaffre, A. 6 0 5 1 4 18 5. Vandermarlierc, L. 1 2 5 5 1 5 17 6. Ligy, A. 3 4 3 5 1 1 15 7. Vantholl, H. 1 5 3 0 2 14 8. Tyberghein, J. 3 1 0 4 0 2 10 1 Dumon, A. 2 Leclercq, G. ÉTAT-CI vu. b'Ypbgs, du 18 au 25 Juillet 1879. NAISSANCES: Sexe masculin, 7 id. féminin, 5 Total 12. Décès. Dewilde, Rosalie, sans profession, 36 ans, épouse de Charles Otton, rue de Menin. Slembrouck, Marie, 8 ans, St-Jacques extra-muros. Vandewynckel, Mé- lanie, sans profession, 66 ans, célibataire, rue de Lille. Vanwalleghem, Charles, journalier, 56 ans, céliba- laire, rue d'Elverdinghe. Debouck, Louis, conduc teur de lr classe des ponts et chaussées, 57 ans, veuf de Cathérine Van Praet, rue du Séminaire. Enfants au dessous de 7 ans: Sexe masculin, 2, Sexe féminin, 0, Total 2. a'61 il i On écrit de Vracene Le pays de Waas a été bien éprouvé. Nous avons eu une ien forte part de l'inondation qui a été générale. Les habi- ants ont été entièrement inondées, beaucoup de personnes nt été obligées de quitter leur maison. Les eaux nous arri- aient flots pour ce précipiter dans nos beaux poldres. Nous n'avions plus aucune communication avec Beveren, t-Nicolas et St-Gilles, la chaussée était sous eau presque jus- u'à Nieukerken. Aujourd'hui les communications sont réta— lies entre St-Nicolas et St-Gilles (Waas). Il n'est pas encore ossible d'aller Beveren en voilure; le courant a enlevé une rande parti du pavé et y a creusé un précipice. On est aujourd'hui complètement sauvé et les grandes in quiétudes de ruptuie de digues ont disparu. Le dévouement des ouvriers a été admirable, c'est force de bras et de travail de jour et de nuit qu'on est parvenu maintenir les digues. La plus grande partie du village de Vracene n'a rien eu a souffrir, l'agglomération se trouvant sur une hauteur. Une nuit cependant personne n'a été se coucher, on craignait pour ceux qui habitent dans les bas fonds. Malgré toutes les précautions que l'on a prises, les cultiva teurs sont ruinés, la plus grande partie des récolles est dé truite. La décroissance des eaux couti .ne partout dans d'excellen tes conditions. Ou écrit d'Anvers Un incendie d'une extrême violence s'est déclaré Uimanche dernier vers 10 heures du soir, dans un hangar servant de dépôt de marchandises de toute sorte au local de Wijn- gaardnatie, sise au canal des Vieux Lions, 24. Le garçon d'écurie de service s'empressa de donner l'alarme aux voisins qui, étaient déjà au lit. Les pompiers, immédiatement avertis, se sont rendus avec leur célérité ordinaire sur les lieux du sinistre, mais déjà le hangar, qui contenait 500 sacs de sucre, 500 caisses de lard américain, 50 boucauts de tabacs, 500 balles de lin, une partie de caisses de vin et d'autres marchandises, appartenant différents négociants, ainsi que des outils de corporation, ne formait plus qu'un immense brasier qui menaçait de prendre des proportions désastreuses cause de sa proximité de différeuls magasins. C'est ainsi que le magasin de MM. D'hooghe et Baele, négociants en denrées, rue Belliard, a été fortement entamé par suite de cet incendie. ils ont eu environ 70 sacs de café détruits par le feu. La maison de M. Désiré Mathys, négociant, le local de la corporation Molenberg, la maison de M. Allemand, fabri cant de sacs ont été également entamées la corniche. Le danger était grand aussi tous les efforts de nos braves pompiers ont eu pour but a circonscrire le foyer de l'incendie ils y sont parvenus vers une I 1/2 secondés puissamment avec le secours de la troupe de ligne, les pontonniers, les ar tilleurs et la gendarmerie. Les dégâts en marchandises avariées sont très considérables t couvertes par les sociétés Helvetia et la C° Général- de Bruxelles.On assure d'autre part, que la compagnie anglaise Norwich Union avait assuré pour 240,000 fr. les magasins de la Wyngaardnatie. L'écurie, où se trouvait une 50 de chevaux, a été préser vée et les animaux ont été conduit en lieu sùr la forge a été également préservée. Les pompiers arrivés avec tout leur matériel, comme nous le disions plus haut, ont attaqué l'élément destructeur du côté de la rue Belliard et ducanal des Vieux Lions. La garnison s'est admirablement conduite dans cette cir- constance difficile et a droit tous nos éloges. On lit dans Y Echo du Parlement La descente que le parquet de Bruges a faite ces jours dernier au kursaal d'Ostende a été, nous dit-on, marquée par un incident que l'on nous rapporte en ces termes. A peine M. le procureur du Roi avait-il décliné sa qualité et fait connaî tre l'objet de sa visite qu'un des principaux employés de l'éta blissement fît entendre d'énergique protestations. Mais. M. le procureur du Roi disait-il, vous ne savez donc pas que nous sommes ici constitués en société particu lière; c'est inscrit sur la porte du salon. On n'est admis jouer que pour autant qu'on soit membre de la Société et ce qui se passe ici est aussi licite que ce qui se passe dans les cercles de Bruxelles, où il est de notoriété que l'on joue tous les jeux qui sont'installés au Kursaal. Ta, ta, ta,aurait fait le magistrat en montrantun monsieur, fort bien mis d'ailleurs, installé la table de baccarat. Cessez vos beau discours, Monsieur est mon brigadier de gendarme rie; il a eu l'obligeance de se mettre en bourgeois et de me précéder voici une demi-heure qu'il est attablé. Est-il, lui aussi, de la Société A Ouralsk, en Ruseie, les malheureuses victimes des incendies qui ont ruiné cette ville, ont encore eu souffrir dernièrement de l'inclémence du temps. Le thermomètre y est descendu zéro et au-dessous, l'eau gelait dans les cours et les citernes. Qu'on joigne ces phénomènes un vent qo soufflait en tempête, et l'oo jugera des souffrances indicibles qui étaient le partage de ces infortunés réduits camper en plein air en dehors de la ville. La récolte est très mauvaise et la mortalité est grande. A l'occasion de la fêle qui doit être donnée, le 24 août prochain, Tournai, M. le Général Lefebvre, commandant le Ier corps d'année Lille, sera chargé d'aller salurr le roi et la reine des Belges, qui assisteront cette fêle. Uu grand nombre d'officiers français se rendront du reste, dans cette ville la uiêini' date, le Bourgmestre ayant mis leur disposi tion des inviialions pour le grand hal organisé par la munici- paliié, et l'autorité militaire ayant résolu de leur permettre d'y assister en uniforme. L'ex-impératrice Eugénie a écrit la reine Victoria pour la supplier de ne pas laisser appliquer la peine pronon cée contre le lieutenantjCarey. Le 20 Juillet, I I heures du soir, l'ouragan a failli causer un grand sinistre sur la plage de bains de Blaukeu- berghe. Un cutter étranger, ayant voulu entrer dans le port de refuge, a manqué le chanal et fait côte eu face de l'Hôtel du Phare. Le cutter, monté par le patron, un matelot et un mousse, embarquait des vagues énormes et courait les plus grands dangers. Le nommé Louis Hillevaert, connu Blan- kenberghe sous le sobriquet de Moustache, passait en ce moment vis-à-vis de l'Hôtel de l'Océan. Il entend des cris de détresse revient sur ses pas, constate, malgré l'obscurité, la position désespérée du cutter, et, bien qu'il fût seul, que la mer fut horriblement tourmentée, il n'hésite pas ce jeter la nage pour courir au secours de l'équipage. Trois fois il est rejeté la côte, trois fois il se re jette l'eau. Enfin il parvient au cutter, il y prend le mousse âgée de 15 ans, et le porte sur la plage il retourne ensuite bord et sauve le matelot, qui ne savait pas nager, et revient une troisième fois au cutter, pour aider le patron sauver l'embarcation. Toute cette scène se passait sans témoins, dans l'obscurité de la nuit et au milieu d'une tempête effroyable. C'est là un de ces actes de courage qui honore l'humanité et qui ne doit pas rester sans récompense. Le bureau central de statistique d'Italie vient de publier des chiffres très-intéressants sur les sommes qu'absorbe an nuellement le service des pensions. Il existe deux catégories de pensions les pensions ordinaires et les pensions extraor dinaires. Parmi les premières, se trouvent celles qu'on paye aux mille de Marsala, et tous ceux qui, des titres divers, ont obtenu des récompences pour avoir souffert des domma ges pendant la révolution. Parmi les pensions extraordinaires, il faut ranger celle de 200,000 fr. qu'on paye au duc Charles de Bourbon celle de 155,000 francs que touche la veuve du prince de Salernes, et celles de 50,000 lires allouée, par le parlement au général Garibaldi. Le total des pensions s'est élevé, en 1877, G1,270,300-68. Le comble de l'indiscrétion Demander un générale marié quelle heure il fera bat tre la générale. Le Petit Parisien reproduit un certificat délivré par une sœur de l'école Saint-Charles, Nancy, et dont l'original est entre les mains de M. Dtivaux, député de Meurlhe el-Mo- selle Je serlifie que La nomme Victorine Gigonx fréquentait ma Classe pendant 7 ans et qu'elle reçue les instruction Pri maire et Elémentaire. S M. Adèle. Ecole Saint Charle. Recommandé aux partisans de l'enseignement congréga- niste. C3 H 05 w a H t t/3 M U> C# 25 O O w C* M J <D g"S<8_^ o 5Q CÔ s I 2 g S "S .5 P<£ <u 09 <V {g 43 fv 05 S 5 bJD_2 2 s la J2 w <^"2 X ce 4) O O H H O.®3 0 prp a c3 O 33 S a j ce Q v 85 S u S M o 53 52 s .X «3 O.S 1— -O g J3 "S-S'® O+o m eS-P - CQ S WM 09 f3 3 eS '8 "S II <32> 3 gq S—I S=5 m s ©t •S e «C V" S g €5 *55 7 S 2 45 ce v V O K. 05 -§ g'3 .2 a -+-a S SI S M 3 3 "Sj 3 Q* S-o S n S o.S 5C O Z M a fi fi O o CQ a- S S k, w o r Q fU r - S 5'M O o u M 11 w Pû M w 0 a as uu rj t— CÎ3 *v H u Eâ T_ s h o W R N 3 W 02 S Oh S p X Ci N ex* g S 00 >■0 S? ex» S - -t co s CM r? «et, '■S .to s 5 •2 I s CJ Q x u A 4) 8 8 O ai I "3 ja o Z -3 ■S 4> -T3 M V S 0 c D S a u 1 s I |u l l€ 1 ^£"5 'S ■- l ls 1.: MU* 3 a w 2 s ,S SQ 3 W S I s" 8 8 x x *8 fa 8 r *4) O) C w 5 -3 o o i)-- .i wî 2 t. -o - E 3 -c - C3 Sta 1 n O Ifl o I I I Q-p CD to ZZ Jr_ o e» S S J2 3 c_ I -«-w 45 fa. 1 s - 1 3 .T< cr w - W -s C -^r O Q, .2 Z, ra J2 33 S h â-al I s e Ml 00 90 00 h -M S O s - - - <4> S c «0 i. S S e <u s C O o g, 5 E. 8 •£T o "«o ta a ta w - c 5 to 6 et O g S -s -g r- S S sa p. -< s Q

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Le Progrès (1841-1914) | 1879 | | pagina 3