ENGRAIS CHIMIQUES IEN DE CHÂSSE Encre Belge perfectionnée, Henri Van Elslande, d'Instruments Aratoires, D'ENGRAIS CHIMIQUES Breuken. Nouvelles diverses. VERMELLEN et fils, A VENDRE Système Georges Ville BANQUE ET RECOUVREMENTS. ÉCHANGE DE COUPONS. A. DECHIÈVRE ACCORDEURdePIANOS Me ARSÈNE VAIN EECKE, i TRÈS-BEAUX CHEVAUX, et 17 hect. de Récoltes. DEMANDE D'AGENTS. Nous lisons dans La Flandre Libérale: ociété royale des chœurs. Dimanche dernier, comité de la société royale des Chœurs avait convié membres de ce cercle un magnifique concert, nné avec le concours de la société Philharmonique Poperinghe. QUELCONQUES. Engrais complets ur toutes les plantes, composés près les meilleurs procédés et for- dés, garantis sur analyses faire stations agricoles de 1 Etat. MARCHANDS de HOUBLONS N. B. Tout acheteur de 1000 kilos plus a le droit de faire faire l'ana- e aux frais des vendeurs. magnifique chien d'arrêt braque isé première force unicolore, ar- nt et rapportant très bien âgé 3 s et demi, prix 150 francs. S'adresser Henri Hochedez Garde euve-Eglise. (sous le contrôle des stations agricoles de l'Etat.) titres et composition garantis F. Courtois et Fan Roy (MÉDAILLE D'ARGENT l'Exposi tion Universelle de Paris, la plus haute récompense donnée aux engrais chimiques Agent Principal pour l'arrondissement d'Ypres, ACHAT ET VENTE DE FONDS PUBLICS, YPRES. Professeur de Musique NOTAIRE A WERVICQ. LE VENDREDI 22 AOUT, 1 heu re, en la ferme et sur les terres occu pées par M. Façon, WERVICQ, section du Blokstraet. VENTE Bossaert, Echevin; M. Alph. Varidenpeereboom, inistred'Etat; M. le Chevalier Hynderick, Conseiller la Cour de Cassation; M. Ferd. Merghelynck, Com- issaire d'Arrondissement M. Iweins, Procureur du ai des Conseillers Communaux, ainsi que des Offi- ers de l'armée, de la Garde Civique et du Corps des ipeurs-Pompiers. Après un morceau d'harmonie, exécuté par l'excel- nte musique des Pompiers, M. Justice, Régent l'E- le Moyenne, a prononcé un discours, très-sympathi- iement écouté. l'orateur a traité de l'éducation au point de vue phy- jue, intellectuel et moral; il a particulièrement insisté r la nécessité du développement harmonique des di- rses facultés de l'âme, et il a terminé par des paroles 3s-patriotiques, en engageant les éducateurs ins- rer leurs élèves, un vif amour de la Patrie et du Roi De chaleureuses et unanimes acclamations ont ac- eilli le discours de l'honorable professeur. La distribution des récompenses a commencé ensuite, tte intéressante fête de la jeunesse s'est terminée vers eures. POPERINGHE. ès longtemps avant le commencement du concert vaste jardin était envahi par la foule, désireuse d'en- dre le corps de musique de Poperinghe, qui s'est uis une si brillante réputation sous l'intelligente ection de son chef M. Van Elslande. Un autre attrait cette fête consistait dans l'audition du chœur de -a les Esprits de la nuitque la société des Chœurs ntait pour la première fois. âtons-nous de déclarer que les nombreux auditeurs nt pas été trompés dans leur attente. La musique de peringhe peut rivaliver avec les meilleures sociétés armonie du pays. Il est vraiment remarquable que ns une localité de l'importance de Poperinghe il soit ssible de réunir les éléments assez nombreux et assez ercés pour parvenir former un corps de musique l'importance de celui qui vient de se faire entendre and. Nos lecteurs comprendront qu'il nous est impossible ntrer dans tous les détails de cette remarquable ;.cution. L'ovation qui a été faite, nous ne dirons pas es amateurs, mais ces artistes, a dû leur prouver mbien le public appréciait la façon brillante dont était erprété chacun des morceaux, portés au programme, -si est-ce au milieu d'un tonnerre d'applaudisse- nts que M. E. Delecroix, président de la société aie des Chœurs, a remis ces Messieurs une mé- ille d'or en commémoration de la fête musicale du 10 t. Le diplôme de membre d'honneur a été également offert M. Van Merris, ancien représentant libéral d'Ypres, qui préside avec tant de distinction et de dévouement la société Philharmonique de Poperinghe. Ajoutons pour finir que les membres du comité des Chœurs se sont mis la disposition de ces Messieurs de Poperinghe auxquels ils ont fait les honneurs de la ville en leur faisant visiter nos écoles, le Casino, le jardin Zoologique, l'hôtel-de-ville, les ruines de St- Bavon, l'orphelinat, le jardin d'hiver de M. le bourg mestre, plusieurs de nos grands établissements indus triels, etc. Après la visite de l'orphelinat, M.Van Merris a fait don d'une somme de cent francs en faveur des pupilles de cet établissement modèle. Après s'être fait entendre une dernière fois au jardin Zoologique, les membres de la Société Philharmonique de Poperinghe sont partis lundi soir, enchantés de l'accueil que notre population leur a fait et conservant le meilleur souvenir du brillant succès qu'ils ont obtenu parmi nous. Le H courant, le train de voyageurs venant de Cour- trai s'est, en entrant en gare Menin, 8 heures du malin, engagé sur la voie d'évitement et y est allé tamponner un wagon de cendres qu'il a entièrement détruit. Le machiniste qui s'était aperçu de cette fausse manœuvre, reversa la vapeur, mais il était trop tard pour éviter le choc et le train ne s'ar rêta qu'à la faveur des débris dudit wagon qui encombraient la voie et qui firent dérailler la machine. Le vicaire de La Fère. La Petite République nous raconte la monstrueuse histoire que voici Après l'abbé Baujard, vicaire du Gros-Caillou après mon- signor Maret^curé du Vésinet après l'abbé Bordas, vicaire d'Usson-du-Poitou, et tant d'autres prêtres que la justice a condamnés ou que des procureurs atteints de scrupules reli gieux ont laissé échapper, voici l'abbé Marbrier, vicaire de la paroisse de La Fère, arrêté Vendredi sous l'accusation d'atten tat la pudeur. Le Courrier de l'Aisne nous apporte des détails révoltants': Ce" prêtre, dit notre confrère, est un fort bel homme, bien fait de sa personne et d'allure décidée. Il avait La Fère une réputation: de galanterie, justifiée, parait-il, par certains faits dont nous n'avons pas nous occuper. Il y a quelques jours, une petite fille de huit ans et demi, qui avait été envoyée, souffrante depuis plusieurs semaines, chez une de ses parentes Paris, devint assezsérieusement malade. Un médecin, appelé, découvrit la source de l'indis position et conclut que la pauvre petite avait été l'objet de violences criminelles, sans aucun doute plusieurs fois répé tées. L'enfant fut interrogée. Elle avoua que les faits dont elle avait eu souffrir s'étaient passés dans le confessionnal de la chapelle de l'hôpital et que c'était le vicaire qui l'avait souillée. Le parquet de Paris fut immédiatement prévenu, et un médecin légiste mandé en toute hâte, visita l'enfant. Le par quet de Laon fut aussitôt avisé et se mit en devoir d'agir. h A quatre heures du matin, le vicaire était arrêté et le* scellés étaient mis sur les pièces de son domicile. A quatre heures de l'après-midi, l'enfant souillée ai rivait de Paris et était entendue par le procureur de la république. On dit, mais nous ne saurions l'affirmer, que deux autres enfants du même âge, qu'on suppose avoir été également victimes de violences analogues, ont été interrogé, s. La petite fille, amenée son tour dans la chapelle, a persisté énergiquement dans ses dépositions, invoquant la sainte Vierge, devant l'autel de laquelle a été commis le crime, et accusant sans hésitation le prêtre, avec lequel elle était confrontée dans le sanctuaire. Ajoutons que l'honorable docteur Geoffroy s'est livré un examen médical qui a de tous points confirmé l'expertise de ses confrères de Paris. L'attentat est flagrant. Le vicaire a été conduit le chapelle, théâtre de ses exploits une foule compacte l'attendait, émue, iudignée, et quand cet abominable personuage a paru, des huées furieuses ont éclaté de toutes parts. L'interrogatoire a été fort long huit heures et demie du soir, il durait encore. On assure que le vicaire aurait, pendant plusieurs mois, abusé, comme nous l'avoos dit, de la pauvre petite fille de huit ans, qui la maladie a arraché un aveu tardif. La mère de l'accusé est venue pour le voir, mais on ne lui a pas permis de communiquer avec son fils. Le parti clérical est consterné, d'autant plus que les faits se sont passés dans l'établissement des sœurs, qui luttent si ardemment contre la municipalité. L'indignation est portée son plus haut degré. L'abbé Marbrier a été conduit Laon dans la nuit et écroué la prison. Un de nos lecteurs de La Fère nous envoie les renseigne ments complémentaires qui suivent L'enfant, interrogée, a répondu qu'elle avait obéi au vicaire, qui, lorsqu'elle criait, lui objectait qu'il faut souffrir pour mériter le ciel! J'appelle votre attention sur ce fait, que le crime a été commis dans le confessionnal de la chapelle de l'hôpital, où les bonnes sœurs sont maitresses souveraines et où elles tien nent un externat, malgré la volonté du conseil municipal, qui leur a opposé une école laïque. marché d'If près. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 16 Août 1879. NATURE des GRAINS ET DENRÉES. quantités vendues kilogrammes Prix moyen par cent kilogr. poids meu de l'hecto litre. 12,800 fr. 33 12 80 800 20 50 73 000 00 500 24 00 80 Féveroles 400 26 80 Pommes de terre 2,000 14 50 Beurre m 280 FABRIQUE ET MAGASINS i ïpres et Elverdlnghe. FABRIQUE matières organiques pour la composition des engrais Bruxelles. 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Le Progrès (1841-1914) | 1879 | | pagina 3