MEUBELEN. COLLEGE COMMUNAL MEUBLES Instruments Aratoires, Henri Van Elslande, LIVRES ENCRE DU XIXe SIÈCLE Encre Belge perfectionnée, ALAM,VRUCHTEN, lîmelkkoeien, 4 veerzen en S kalvers. BANQUE ET RECOUVREMENTS. ÉCHANGE DE COUPONS. A. DECHIÈVRE Aotaris VAN EECKE, D'OSTENDE. Me ARSÈNE VA A EECKE, VENTE Bestiaux et Récoltes. ACCORDEE llde PI A NOS GRAND DÉPÔT Mter Arsène VAN EECKE, om 8 1/2 uren, ter hofstede van M. den Burgemeester D E P U Y D T le Hollebeke. VERKOOPING ACHAT ET VENTE DE FONDS PUBLICS, YPRES. KANTOO R Den VRIJDAG, 26" SEPTEMBER 1879, om 1 uur, ten sterfhuize der weduwe Garain, te Hollebeke, Cours préparatoires, humanités, cours professionnels et scientifiques. Pensionnat dirigé par le préfet des études. Prix de la pension 550 fr. fi. OC C! ^1 -T O 3 Z II 3 3 "3 s- Ziz o W isO H- j JO yZ ZJZ G> mmmm zn ea g g g.. "5 5- LE MARDI, 30 SEPTEMBRE, 8 heures, la ferme occupée par M. Lepoutre-Haesebrouck, àWERVICQ, (Basse-Flandre), Professeur de Musique Assortiment entièrement nouveau de Prières de luxe et ordinaires. Spécialité d'Images pour Sauvernir, chez Ange Van Eeckhoiit, rue de Dixmude, Y'pres. reconnue la meilleure Limpide, noire, inaltérable chez A. VAN EECKHOUT. rue de Dixmude, N- 39, Ypres. C *mr-j t.« fin du mois d'août, c'est lui qui abaissa Dînant le drapeau hollandais et planta le drapeau national la maison de ville. Il vint ensuite Bruxelles où il se trouvait le 2 septembre avec ses deux frères. Le 12 septembre 1850, il entra dans l'armée avec le grade de sous-lieutenant et fut désigné pour les cuirassiers. Il a fait les campagnes de 1850, 1831,1832 et 1859. Il servit aux cuirassiers comme sous-lieutenant aux guides comme capitaine en second, capitaine commandant et major; il est retourné aux cuirassiers comme lieutenant-colonel et commandait le 1" régiment de cuirassiers en 1863, lorsque ce régiment, par suite de la réorganisation de la cavalerie, devint le 5e lanciers. C'est comme commandant du 3" lanciers qu'il fut nommé général-major en 1868. Dans ce grade, il commanda successivement la province de Luxembourg et la 2e brigade de la 2e division de cavalerie. En 1875, il fut nommé lieutenant-général et conserva le commandement de la 2* division de cavalerie jusqu'au 26 sep tembre 1877, jour où il obtint sa pension de retraite. Le lieutenant général Maréchal est grand officier de l'ordre de Léopold, décoré de la croix commémorative. Le voilà arrivé l'impôt sur les cilibataires. Le conseil général français du Rhône a adopté une délibé ration d'après laquelle il sera pourvu aux frais d'entretien des enfants abandonnés au moyen d'un prélèvement du quart du traitement ou de la pension de tout employé ou pensionnaire célibataire, résidant dans le département du Rbône, depuis le plus modeste employé jusqu'au plus haut fonctionnaire, qu'il appartienne ou qu'il ait appartenu, soit l'armée, soit l'égli se, soit la magistrature, soit une administration publique quelconque. De telle façon que désormais chacun des habitants de Lyon trop prudent de prendre femme sera condamné élever les enfants de son voisin. Le dompteur de serpents Karoly vient de mourir Madrid d'une mort affreuse un serpent boa qu'il avait enroulé autour de son corps l'a broyé dans ses anneaux puissants; cela n'a pas duré plus d'une minute. Ce serpent est resté plus d'une heure enroulé autour du cadavre, personne n'osant approcher. Enlln, une jatte de lait fut mise dans sa cage et il finit par y rentrer le plus tranquillement du monde. Milice nationale. Le 1" octobre prochain, les mi liciens de la levée de 1871 auront accompli les huit années de service exigées par l'art. 2 de la loi du 3 juin 1870, mo difiée par celle du 18 septembre 1873, mais, en conformité du même article, leur décompte ne sera établie qu'en 1881. Les miliciens de cette levée pourront être nommés un em ploi civil et obtenir des passe-ports pour l'étranger sans au torisation spéciale du déparlement de la guerre. Toutefois, pour qn'ils soient mis l'abri de tout désagrément, en cas de rappel de leur classe sous les armes, ils devront avoir soin d'indiquer au bourgmestre de leur commune le lieu où ils comptent se rendre. Le ministre de la guerre prie les gouverneurs civils de province de donner avis de la délivrance des passe-ports aux chefs de corps auxquels ils appartiennent. On nous annonce la fondation d'un nouveau cercle, destiné venir en aide au Denier des Ecoles. Il prend pour titre Le Progrès et a choisi pour local le Grand Café de l'Opéra. L'intention de ce jeune groupe de dévoués est de ve- uir principalement en aide aux écoles de province, subsidiées par la fédération du Denier des Ecoles, par suite de la fonda tion des établissements d'instruction catholique: auront, plus que jamais, besoin d'appui. Nos meileurs souhaits accompagneront les efforts de ce nouveau cercle, dont le président d'honneur est M. 0. Scail- quin, membre de la Chambre des représentants. On écrit de Charleroi Un accident terrible est arrivé, notre usine gaz. Le chef-compteur, nommé Joseph Gdlain, que tout le monde connaît, s'étant trop approché d'uu concasseur au chai bon, fut pris tout-à-coup entre les engrenages, qui le broyèrent lentement. Déjà le malheureux avait toute la partie inférieure du corps jusqu'à la ceinture, engagée dans l'horrible machine, quand un surveillant accouru aux cris terribles qu'il poussait, parvint le saisir par les bras. Quand la machine arrêtée, on retira le patient, ce n'était plus qu'un tronçon affreusement mutilé. Gillaio ne tarda pas rendre le dernier soupir, il avait plus de 50 ans. Le général Ant. Guzman Blanco, président des Etats- Unis du Vénézuela, et sa suite, sont arrivés Bruxelles, lundi, 2 h. la de l'après-midi, venant de Paris. Un bataillon de grenadiers, avec le drapeau du régiment, précédé de la musique des guides, sous les ordres du major Renson, a rendu, la gare du Midi, les honneurs militaires dus un chef d'Etat. Le président était en tenue de générai en chef. Mardi, deux heures et demie, le président des Etats-Unis de Vénézuela a été reçu en audience officielle par S. M. le Roi. Immédiatement après, il s'est rendu au Congrès des Aménica- nistes. L'année 1880 verra se produire un fait qui n'arrive que trois fois par siècle. Le mois de février aura cinq dimanches. En effet, 1880 étant une année bissextile, le mois de février aura 29 jours et, étant donné que le 1" février 1880 sera un dimanche, il est facile de se rendre compte que le 29 février sera également un dimanche. Ce fait ne se présentera plus qu'en 1929, 1948 et 1976. On écrit de Lille que le 16, midi, le train express venant de Paris a pris en écharpe un train de marchandises la courbe de Fives, un peu avant d'arriver Lillf VAN NOTARIS, TE WERVICK. Den llaandag 39 September 1879, VAN MEUBELEI 39 RUE DES CHIENS 39, VAN DEN te Wervîck. bij de Plaats. "VERKOOPING VAN Quatorze voyageurs ont été blessés et contusionnés, trois seulement avec assez de gravité: M. Guiberl, filateur Amiens, a le nez brisé; M. Lavenston, négociant de Lille, a les dents cassées, et M. Rocher, employé des postes, a reçu un coup violent dans la poitrine. A une heure, un train de secours ammait les blessés Lille et on déblayait la voie. Samedi a eu lieu dans la Tamise lelano ment de I Orient le plus grand navire de la marine marchande anglaise. Par ses dimensions l'Orient rappelle le fameux Great Eastern mais sa construction est beaucoup plus parfaite. C'est un navire de 3,400 tonnes, avant un déplacement de 9,510 ton nes et capable d'embarquer 530 passagers, outre 1,300 sol dats, et 500 ou 400 chevaux, au besoin. La longueur totale de l'Orient est de 140 mètres, sa largeur de 11 mètres et sa profondeur de l lm50 cent, environ. Les machines ont une force de 1,000 chevaux. On peut juger de leur puissance par le fait que pendant le voyage d'essai qui a eu lieu samedi, l'Orient est arrivé fournir 17 nœuds, soit un peu plus de 8 lieues l'heure.'Ce tour de force est presque sans précédent dans les annales de la navigation. On lit dans un journal qu'un curieux procès va être jugé Bruxelles. Le général-major Courtin, s'étant vu infli ger quinze jours d'ariêts par le lieutenant-général Kes.sels, réclame la convocation d'une cour militaire extraordinaire. Le général-major de Quebedo, chef d'état-major du comte de Flandre, interviendra dans le procès comme témoin. Le conflit entre ces deux officiers généraux remonte l'époque des grandes manœuvres de cavalerie qui ont été faites cette année au camp de Beverloo, sous le commande ment de M. Courtin. H-H- w rs te o W oc "ÎRO Ol -I O 00 S? a. E_ a. Cî CD S M O O o -a j* jfi tfi j— ■M O'KC le 0 05 0 V t zr. O - C~z O 00 00 Ci o o CM Ci z;z ci a. zr. e— x* ZI cslçc* -igW a I v 3C w? - x et cr 3 5 5T m ag P3 5? H O G O 3 fi. a» o .2» r« r- Ol 5. t» w u ço. 3T o s s a. 3 S S-2.2.1 2 2 o 3 y- g C M s y CD 3 O ST 3 -.a a-S ST w 2. 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Le Progrès (1841-1914) | 1879 | | pagina 3