L'histoire cléricale. Nouvelles locales. CONCERT DE CHARITÉ. Nouvelles diverses. Acla sanctorum. Appétit, Digestion, Sommeil, Santé et Energie tous freine" REVALENT A ARABICA parviendront qu'à jeter le comble... du ridicule sur le clergé et a lui aliéner de plus eu plus les sympathies dont seul il sera cause. Ce n'est pas chez nous qu'on parviendra modifier les esprits, et tous les insipides sermons ne changeront en rien l'union qui existe chez nous. Qu'on se tienne donc pour averti sur ce terrain comme sur tout autre notre enseignement tant pour filles que pour garçons marcheront également de concert, et les manœuvres les plus insidieuses seront infructueuses et ne feront pas faire une concession d'un pas au caractère ferme et inébranlable des Hessinois. L'enseignement fanatique et empreint d'un esprit chinois démodé partout ailleurs est mort-né Messines. Avis qui de droit. Messinois, amis lecteurs, l'occasion de la nouvelle année au commencement de l'année 1880 qui verra fêter dans toute la Belgique avec une explosion d'en thousiasme le 50°" anniversaire de notre indépendance nationale, l'heure où tant de millions d'hommes se lèveront pour acclamer notre liberté, levez-vous aussi, et plus unis que jamais et dans un élan unanime, en regardant de face vos détracteurs, criez Vive la Bel gique Vive la Liberté Il faut décléricaliser l'histoire, est une vérité qui est de plus en plus évidente. Il faut, en effet, la reslituer dans sa réalité, com- pulserà nouveau l'immensedossier de l'humanité.fal sifié par les prêtres, moinesyt leurs afïidés pendant le moyen-âge, en élaguer lespièces altérées el mettre en son plein jour le gouvernement de cette caste saccrdoiale qui, la chûte qe l'Empire romain, a régné sur l'Europe entière pendant tout le moyen- âge, la Renaissance et jusqu'à ta Révolution fran çaise. le gouvernement qu'ils cherche ressaisir au jourd'hui au moyen des classes ignorantes et super stitieuses qu'il trompe et égare. Il cbercheà fairecroire aux ignorants qu'autrefois, dans le bon vieux temps, commeel l'appelle, tout était pour le mieux, où tout le monie était heureux, satisfait et content. Hélas! il suffit de comprendre même les livres fal sifiés et tronqués par les moines et les jésuites, pour voir que le bon vieux temps était pour le pauvre peuple un temps d'affreuse misère et d'abaissement moral encore plus affreux. Non-seulement l'Eglise catholique, ses prêtres, moines et nonnes s'étaient approprié leur usage personnel toutes les fondations en faveur des pau vres, des hospices et des écoles; mais devenus pro priétaires, de cette façon, de plus de la moitié, quelquefois des trois quart du sol, ils prélevaient la dime sur le reste et refusaient de payer leur part d'impôts qui retombaient sur le peuple, qui. pres suré de toute part, restait toujours pauvre et mal heureux. On oublie trop eela aujourd'hui, dit La Vedette du Lirnbourg. mais le clergé ne l'oublie pas. lui, et c'est pour cela qu'il craint tant les écoles laïques où il n'a pastoul dire et où il ne peut pas enseigner l'histoire et la morale sa façon. -.mosemm" On nous écrit d'un village de l'arrondissement, dit te Journal- de Dînantque le curé ayant refusé l'absolution un père de famille qui envoyait ses enfants l'école communale, on a trouvé l'excom munié mort deux jours après dans sa grange. Le curé fait voir ses ouailles la doigt de Dieu dansce funeste événement et en profite pour ouvrir uue nouvelle campagne contre les écoles commu nales. Malheureusement, pour les intérêts de la vraie Foi, les paysans ne parlent du malheureux que pour accuser le curé d'être la principale cause de la mort d'un pauvre homme qui, catholique con vaincu et esprit des plus faibles, a été désespéré par un refus de sacrements qu'il considérait comme un verdict de damnation éternelle. Nous rappelons que le concert commence sept heu res précises les portes de la salle seront ouvertes six heures. Les bons seront remboursés les Jeudi 16 et Jeudi 22 courant, de 2 5 heures au local de la Société des Chœurs (Aigle d'Or). DENIER. DES ÉCOLES. Listes précédentes, 22,350-83 Geschenk aan den voorzitter der societeit billaard, Parnassus-Hof, 2-28 Le comble de l'amour pour la tenue officielle, c'est de dormir avec son képi, 0-25 Orndat hij zijn groot cravat aan had, 0-05 Omdat hij zijne kaart zoo niet meer zou smijten, 0-05 Tusschen tien oogen in de Zon, 0-20 Une séance de noctambulisme, 2-55 Recette des journaux. Juin et Juillet, 100-00 Vente des livres de M. Al p. Vandenpeere- boom,au bénéfice du Denier des Ecoles Laïques d'Ypres, 38"-50 Boite du Saumon, 23-50 de la Vrange, 12-74 Omdat hij vergeten had de bus te ledigen, 0-26 Onze maar een cent te verteeren hebben, hebben wij liever dat ze naar de kleine winkel- tjes gaan, dan naqr onzen grooten winkel, 0-25 Onze maar en gaan om een cent te vertee ren, ze zeggen: Je moe niet altijd komen, wij hebben te veel werk voor zoo een kleln gewin, 0-25 Boîte du Parnassus-Hof, 1-26 ««,881-97 Dépenses jusqu'à ce jour, 21,539-16 En vaisse l,3 l«-8l ÉTAT-CIVIL D'YPRES, du 19 au 26 Dec. 1879. NAISSANCES: Sexe masculin, a; id. féminin, 4; Total, 9. Décès. Wylanl, Lauréat, sans profession, 77 ans, époux de Co lette Verbeke, rue de Dixmude. Debreu, Clémence, sans profession, 50 ans, épouse de Charles Bruynsteen, rue de M'nin.Degels, Liévin, architecte pensionné de la ville d'Ypres, 83 ans, veuf de Marie Drm y, rue au Beurre.Ca sier, Thérèse, dentellière, 76 ans, épouse de François, rue de Menin,Heddehauvv, Auguste, peintre, 49 ans, céliba taire, nouveau marché au Bois. Gnudemé, Louis, sans profession, 81 ans, veuf de Catherine Note, rue de Mriiin. Calwaert, Cathérine, sans profession, 62 ans, épouse de Jo seph Nollrt, marché au Bétail. MINISTÈRE DE LA JUSTICE. Ordre «le Léopold. \oiniii;itions. LÉOPOLD II, Roi des Belges, A tous présents et venir, Salut. Voulant, par un témoignage public de Notre bienveil lance, reconnaître les services rendus par M. Van Alleynnes, conseiller la cour d'appel séant Gand, ancien commis greffier au tribunal de première instance d'Ypres, ancien juge de paix des cantons de Passchen- daele et de Haringhe, ancien juge aux tribunaux de première instance d'Audenarde et de Bruges Sur la proposition de Notre Ministre de la justice, Nous avons arrêté et arrêtons Art. 1". M. Van Alleynnes (Gustave-Jules-Louis) est nommé chevalier de l'Ordre de Léopold. Il portera la décoration civile. Art. 2.11 prendra rang dans l'Ordre dater de ce jour. Art. 3. Notre Ministre des affaires étrangères, ayant l'administration de l'Ordre, est chargé de l'exécution du présent arrêté. Donné Laeken, le 20 décembre 1879. LÉOPOLD. Par le Roi Le Ministre de la justice, Jci.es Bara, L'Economie Financièreparaissant le Dimanche avec 16 pages. Prime gratuite (voir détails aux annonces). - Pour 1880, caractère renouvelé, format agrandi. lin affreux accident est arrivé samedi, 27 déc., vers midi, ou Grand-Trait de A grappe, Frameries: Le nom mé Henri Léonard, ouvrier, âgé de 23 ans, en voulant monter sur un wagon en marche, afin de serrrr le frein, est tombé suus 1rs roues el a été cou;;é en deux. Ce malheureux était le seul soutien de sa mère veuve. Il vient d'y avoir dans la Grandr-Bretagne une affreuse catastrophe dont l'Agence Haras transmette récit dans les termes suivants Dundee, 28 décembre. Une tempête épouvantable a détruit une partie du pont du chemin de fer dans la journée d'hier. Le soir, 7 h. 1/4, quand le train d e passagers d'E dimbourg Dundee a passé le fleuve, il s'y est précipité. Ou craint que tous les passagers ne soient noyés un vapeur a été envoyé sur le lieu du sinistre, mais il n'est pas encore revenu.» Cette catastrophe dépasse en horreur tous ce que nous avons eu jusqu'ici. Depuis quelque temps, nous avons cru devoir appeler l'at tention des malades sur les remarquables propriétés des cap sules de goudron de Guyot dans les cas de rbume, bron chite, catarrhe, phthisie, ou autres affections des bronches et des poumons. Une chose nous a frappé, c'est que la plupart des personnes venant notre pharmacie, pour nous demander ce produit, n'ont pas retenu le nom du médicament et le dé signent sous le nom de pilules, globules el même pastilles. Lorsqu'on s'adresse diiectement notre maison, il nous est fa cile de rectifier la mémoire de l'acheteur, mais il peut n'en pas être ainsi lorsqu'on se présente dans une autre pharmacie, et cela peut p 'êter dt fâcheuses confusions. Nous prions donc les acheteurs de vouloir bien remarquer el se rappelai le nom du médicament Capsules de Gou dron de GuyOl. De plus, pour éviter toute erreur, on vou dra biru se souvenir que notre signature GUYOT est imprimée en trois couleurs sur l'étiquette de chaque flacon. On a souvent parlé des drames réels qui ont lieu dans les coulissrs des théâtras pendant que le public rit et s'amuse dans la salle. En voici un particulièrement émouvant, qui s'est dénoué par la mort d'un pauvre artiste. La scène est modeste, c'est celle du théâtre des Batiguolles, Parts, où Hoche se jouait samedi (20 déc.) pour la première fois. Un vit il artiste, nommé Lucas, y remplissait le rôle de Lucas Vilain, un usurier. Affaibli par une grave maladie, n'avait pourtant point Voulu rendre «on rôle, malgré les avis de sou entourage il tenait h ne pas manquer la première Aussitôt qu'il fut entré eu scène, ses foiccs l'abandonnèrent, el, se soutenant chaque chaise, il bégayait plutôt qu'il oe jouait son rôle de vieil avare, suffoqué par l'annonce d'une émeute qui lui prenait son argent. Le public applaudit ou trance les terreurs comiques de sou acteur favori. Se raidissant sous ers applaudissement, le malheureux, l'acte suivant, devant, au bruit du canon de la Bastille, tomber dans les bras d'un des personnages, en voyant ses trésors deveuir la proie des émeutiers. L'infortuné Lucas y tomba en effet, mais pour ne plus se relever... Cinq minutes après., il était mort Et le public riait toujours Est-il situation plus palpitante et plus lamentable la fois que celle de ce malheureux mourant sur la scène au bruit des bravos Onguent et Pilules Holleway. La Meilleure Route Pour atteindre un but, il y a toujours une mar che suivre préférable tout autre. Celle assertion s'applique avre une force extraordinaire aux remèdes Hollowav car, ils font disparaître la maladie, en chassant les matières nuisibles du corps, rn réparant les oiganisations brisérs ou injuriées et enéqiiilihranl les foncliousorgaiiiques. C'est là, la seule mé thode sûre et pralique de combattre les maladies, et d'assurer une santé solide. Avec le sang pur, une bonne digestion, des nerfs vigoureux, el une action régulière des organes de la vie en général, il n'y a guère de maladies possibles. Les qualités balsamiques et adoucissantes de l'Orgurnt Hollowav, le rendent inestimable chez les enfants pour guérir les coupures, les plaies: pour calmer les inflammations, réduire les tumrurs, e^ assainir la peau. La Cour d'appel de Gand a confirmé un jugi tuent du tri bunal corrictionnel de Trrmonde. condamnant le sieur De- spliegelaere, vicaire Kupelmonde, 100 fr. d'amendeet sub- sidiairenient I mois d'emprisonnement, du chef d'outrages envers l'instituteur communal dansl'exercice de ses fonctions. sans purges el sans frais, aux adultes et aux enfants, par la délicieuse farine de Sauté, dite: Du BARRY, de Loudre». De» millions de Eure». Depuis 1846 elle guérit les mauvaises digestions (dyspep sies) gastrites, gastroeiitérites, gastralgies, constipations, hé morroïdes, glaires, flaluosités, ballonnements, palpitations, diarrhée, dyssenterie, gonflement, étourdissrinents, bourdon nements dans les oreilles, acidité, pituite, maux de tête, mi graine, surdité nausées el vomissements après repas ou en grossesse; douleurs, aigreurs,congestions, inflammations des intestins et de la vessie, crampes et spasmes, insomnies, flu xions de poitrine, chaud et froid, toux, oppressions, asthme, bronchite, phthisie (consomption), dartres, éruptions, abcès, ulcérations, mélancolie,nervosité, épuisement,dépérissement, rhumatisme, goutte, fièvre, grippe, rhume, catarrhe, laryn gite, échaufferaent, hyslerie, névralgie, épilrpsir, paralysie, les accidents'dn retour de l'âge, scorbut, chlorose, vice et pauvreté du sang, ainsi que toute irritation et odeur fiévreuse en se levant,ou après certains plats compromettants: oignons, ail., ou boissons alcooliques, même après le tabac; faiblesses, sueurs diurnes et nocturnes, hydropisie, les désordres de la gorge, de l'haleine et de la voix. Egalement comme nourritu re des enfants dès leur naissance elle est préférable tout au tre aliment. Evitez 1rs contrefaçons et exigez la marque defa- brique tl Revaleuta Arabica Du Barry Parmi les cures, celles de Madame la Duchesse de Castle- stuart, le duc de Pluskow, Madame la marquise de Bréhao,

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Le Progrès (1841-1914) | 1880 | | pagina 2