D'ENGRAIS CHIMIQUES
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CHIEN DE CHASSE
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L'ÉCONOMIE FINANCIÈRE
D'ENGRAIS CHIMIQUES
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lemagne,dans lequel on trouve que la dernière guerre a
coûté la France: 14 milliards, 638 millions.
Sans compter les pertes générales faites par des particuliers
et celles résultant de la stagnation des affaires.
Boston a été bien près d'être le théâtre d'un accident
semblable erlui du Tay Bridge. Il n'a été évité que par le
sangfroid et la présence d'esprit d'un machiniste.
De très lionne heure, le malin du 11 janvier, un vaisseau
de fer, louedeinent chargé de charbon, s'approchait du pont
du chemin de fer. Le pilote fit le signal d'usage au machiniste
pour arrêter la machine, mais le fil de fer étant cassé, le ma
chiniste ne reçut pas le signal et le vaisseau alla hurler lepont
avec violence.
Les poutres furent endommagés, les verrous du pont cas
sés et la posi.ion des rails dérangée de près de deux pieds.
Personne ne se trouvait sur le pont ou aux environs, et le
train de voyageurs du «New-York au New-England Railway»
arrivait toute vapeur.
A une distance de la longueur de son train seulement, la
machiniste aperçoit le dérangent ni des rails. Prompt comme
la pensée, il applique son frein air comprimé d'une main,
tandis que de l'autre il renverse le mouvement de sa machi
ne.
Le train plein de voyageurs s'arrête 15 pieds du pont.
C'est grâce la présence d'esprit de ce machiniste, que les
voyageurs ont échappé une mort presque certaine.
Beaucoup de personnes se plaignent d'éprouver chaque
matin, au réveil, une grande gène dans les bronches, comme
de i'éloiiffVmrnt produit, dans l'arrière gorge, par desmuco
sités plus ou moins épaisses. On fait pour cracher de violents
efforts qui amènent souvent de la toux et quelquefois des nau
sées et ce n'es! qu'à grand peine, au bout d'une heure ou
deux de malaise, qu'uu parvient se débarrasser de tout ce
qui entravait la respiration. C'est rendre un véritable service
toutes les personnes atteintes de cette affection si péuible
que de leur en indiquer le remède il s'agit simplement du
goudron, si efficace dans toutes les affections des bronches.
Il suffit d'avaler chaque repas deux ou trois capsules de
goudron de Guyot pour obteuir rapidement un bien-être
que trop souvent oo avait cherché en vain dans un grand
nombre de médicaments plus ou moins compliqués et dispen
dieux. Huit ou neuf fois sur dix, ce malaise de chaque matin
disparaîtra complètement par l'usage un peu prolongé des
capsules de goudron.
Il convient de rappeler que chaque flacon de 2 fr. 50 c.,
contenant GO capsules, ce mode de traitement revient un
prix insignifiant: 10 15 ceRtimes par jour.
Ce produit, en raison de sa vente considérable, a suscité de
nombreuses imitations. M. Guyot ne peut garantir que les
flacons pui portent sa signature imprimée en trois couleurs.
Dépôt dans la plupart des pharmacies.
Onguent et Pilules Holloway. Bien des mala
dies du caractère les plus formidables t chroniques ont été
guéries par les remèdes d'Holloway. Des ulcérations qui se
montraient incurables par tout autre moyen connu, se sont
guéries promptement sous l'influence de crt excellent On
guent dépuratif et régénérateur. Les foulures et entorses, les
articulations gênees,les muscles contractés, et les goiifli-raents
des glandes peuvent être traités avec le plus sûr succès par
l'Onguent et les Pilules Holloway. Ni l'un ni l'autre de ces
médicaments n'ont rien de pernicieux dans leur composition.
I"US deux sont essentiellement dépuratifs et fortifiants de
leur nature. Le pouvoir combiné de ces sublimes remèdes les
rend capables de combattre le pins grand nonilre des affec
tions et de les guérir, ou au moins d'apporter du soulagement
une grande variété de maladies.
Le deuxième numéro de VIllustration nationale
vient de paraître. Il contient une vue de la gare de
Tournai, une gravure d'après le tableau de Piqué, re
présentant les membres du gouvernement provisoire
l'Hôtel-de-Ville, un portrait de Léopold I', du Musée
moderneadmirablement gravé par Pannemaeker,
d'après le tableau de De Winne, une vue du vieux
Bruxelles d'après un dessin de G. Puttaert.
Les promesses du premier numéro ont été tenues et
dépassées par le second.
Les illustrations françaises et anglaises, qui ont une
si juste renommée, trouvent dans notre nouvelle Illus.
tration nationale une rivale sérieuse.
On avait cru, jusqu'à présent, qu'on ne pouvait faire
des journaux illustrés qu'à Paris Londres et
Leipzick.
L'insuccès des tentatives précédentes semblait du
reste confirmer cette opinion.
M. Ad. Mertens, l'éditeur, a su choisir une pléiade
de littérateurs, de dessinateurs, de graveurs belges, et
avec leur concours, il est parvenu du premier coup la
perfection.
Que VIllustration nationale se maintienne la même
hauteur et son succès est assuré.
sans purges et sans frais, aux adultes et aux enfants, par la
délicieuse farine de Santé, dite:
Du BARRI de Londres. Des millions de Cnres.
Depuis 1846 elle guérit les mauvaises digestions (dyspep
sies) gastrites, gaslroenlériles, gastralgies, constipations, hé
morroïdes, glaires, flatuosités, ballonnements, palpitations,
diarrhée, dyssenlerie, gonflement, étourdissements, bourdon
nements dans les oreilles, acidité, pituite, maux de tête, mi
graine, surdité nausées rt vomissements après repas ou en
grossesse; douleurs, aigreurs,congestions, inflamraationsdes
intestins et de la vessie, crampes et spasmes, insomnies, flu
xions de poihiae, chaud et froiil, toux, oppressions, asthme,
bronchite, phthisie (consomption), dartres, éruptions, abcès,
ulcérations, mélancolie, nervosité, épuisement,dépérissement,
rhumatisme, goutte, fièvre, grippe, rhume, catarrhe, laryn
gite, échauffement, hystérie, névralgie, épilepsie, paralysie,
h s accidents du retour de l'âge, scorbut, chlorose, vice et
pnuvrrié Un sang, ainsi que toute irritation rt odeur fiévreuse
en se lev.ini,ou après certains plats compromettants: oignons,
a l., ou boissons alcooliques, même après le tabac; faiblesses,
sueurs diurnes et nocturnes, hydropisie, les désordres de la
gorge, de l'haleine et de la voix. Egalement comme nourritu
re des enfants dès leur naissance elle est préférable tout au
tre aliment. Evitez les contrefaçons et exigez la marque de fa
brique (lRevalenla Arabica Du Barry
Parmi les cures, celles de Madame la Duchesse de Castle-
stuart, le duc de Pluskow, Madame la marquise de Bréhan,
Lord Stuart de Decies, pair d'Angleterre. M. le docteur pro
fesseur Wurzer, etc., etc.
Cure N° 76,4-48 Depuis cinq ans, je souffrais de maux
dans le côté droit du creux de l'estomac, de mauvaises diges
tions, etc. Je n'hésite pas vous certifier que votre Revaleuta
m'a sauvé la vie.Ernest Gatté, musicien au 63" de ligne,
Verdun. N° 49,811: Mme Marie Joly, de cinquante ans
deconstipation, indigestion nervosité, insomnies asthme, toux,
flatus, spasmes et nausées.
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16 francs. La Revalenta chocolatée. En boîtes de 12
tasses, 2 fr. 25 c. de 24 tasses, 4 fr. de 48 tasses 7 fr.de
120 tasses, 16 fr. de 576 lasses, 70 fr. ou environ 2 c. la
tasse. Envoi contre bon de poste. Les boîtes de 36 et 70 fr.
franco. Dépôt chrz MM. Frysou-Vanoutrive, rue de Dix-
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les bons pharmaciens et épiciers. Du Barry Co.
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fourrages et autres produits agricoles, vendus le
7 Janvier 1880.
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Prix moyen
PAR
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POIDS Hen
DE
l'hecto
litre.
17,400
31 75
80
2,400
23 50
73
1,100
21 50
44
2,100
25 00
80
Féveroles
2,300
28 50
80
Pommes de terre
3,000
13 00
Beurre
350
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changements survenus b la cote de la Bourse de Bruxelles r.. 1879
et résultant A. Des arrangements conclus en 1879. B. De l'intro
duction de nouvelles valeurs; 6* Le revenu des actions belges et
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bre des titres et les derniers cours cotés 7* I-a liste e®iu-
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