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On vit MM. Micolowski el Marevolli entrer l'aurore,
bras dessus bras dessous, dans un petit bois, d'où l'un deux
ressortit se trainantjusqu'à son logement mortellement atteint;
l'autre était resté sur place.
Tous deux ont succombé *a leurs blessures, après quelques
heures d'une tragique agonie.
Un terrible malheur est arrivé di vant la côte de Heysl
dans la nuit du mercredi 29 décembre dernier. Une brigade
d'ouvriers sous la direction du surveillant F. Serlet, était oc
cupée "a restaurer une partie des jetées, au moyen des pon
tons en usage cet effet; le surveillant se trouvait seul dans
une petite barquette fixée au puuiou. quand tout coup celle-
ci se détache et est emportée au large par le vent qui soufflait
de terre.
Perdant sans doute sa présence d'esprit, le malheureux Ser
let essaie en vain de ramer vers le rivage au lieu de jeter l'an
cre qu'il avait bord; en quelques minutes le canot est em
porté loin d£la côte et les cris déchirants de la victime finis
sent bientôt par se perdre dans t'espace.
Trois chaloupes de pêche sont parties le soir même mais
elles sont rentrées le lendemain sans avoir rien découvert.
Jusqu'à présent ou n'a plus rien appris sur le sort de ce
malheureux, mais il n'y a pas de doute que Serlet aura été
englouti par les flots, car la mer qui était relativement calme
au moment où la barquette a été enlrainée au (arjje,est deve
nue très-mauvaise daos la nuit.
Nous apprenons au dernier moment que son cadavre a été
jeté la côte près de Weslcappelle.
Le surveillant Serlet était généralement estimé Blanken-
berghe et Heysl; il laisse une veuve avec six eufauts en bas
âge.
Il ya six ans environ,une demoiselle Chopin, déjà sexa
génaire, se présentait chez un de s>-s neveux, demeurant rue
de Penthièvre, Paris, et le priait de vouloir bien la recueillir
sous son toit hospitalier.
J'ai éprouvé des malheurs, dit-elle, qui m'ont enlevé
toute ma fortune. De tout que je possédais, il ne me reste
plus qu'une rente de trois cents francs, que je vous abandou
ue.
Le neveu, qui avait de l'affection pour sa tante, consentit
la recevoir, et celle-ci fit aussitôt transporter sou mobilier
dans la chambre qui lui était destinée.
Pendant tout le temps qu'elle y demeura, on ne lui vit ja
mais d'argent entre les mains, elle ne fit aucune dépeuse, et
ce fut toujours en vain que les pauvres s'adressèrent elle.
Mais la demoiselle Chopin fut atteinte, il y a quelques
mois, d'une affection dont elle est morte ces jours derniers.
Après sa mort, les scellés furent apposés son domicile, et
avant-hier les héritiers se réunirent pour procéder l'inven
taire des effets laissés par la défunte, effets dont la valeur pa
raissait devoir être peu considérable.
En ouvrant un petit coffret bijoux il n'yenavait qu'en
doublé oo découvrit un petit papier. C'était un testament
olographe par lequel la vieille fille instituait le neveu qui l'a
vait recueillie pour son seul et unique héritier.
L'assistance eut peine contenir un sourire ironique.
Qu'on juge cependant de la surprise générale, lorsqu'on dé
couvrit dans un coin, cachée sous uo tas de chiffons, une
lourde malle d'ass z forte volume et soigneusement fermée.
La clef ne se trouvant pas, le couvercle fut brisé, el alors
apparut la vue des spectateurs ébahis une immense quantité
de pièces d'or, d'argent et de billets de banque. Vérification
faite, la malle contenait 125,000 francs.
Comme il importait de savoir d'où provenait cet argent,
on expédia une dépêche dans la commune autrefois habitée
par la demoiselle Chopin, et l'on apprit que la vieille
fille avait simulé des pertes pour réaliser sa forluoe et qu'a
lors se disant ruinée, elle était aliée en compagnie de son
trésor chercher un asile dans la maison de sou neve», den
tiste fort aimé dans son quartier.
La favorite de l'empereur du Maroc vient de mourir
l'âge de trente-quatre ans.
Il y avait vingt ans qu'elle habitait le harem avec de litre
de première sultane.
On l'a enterrée en grande pompe dans nu kiuique situé au
milieu des jardins impériaux; c'était là sa résident** de prédi
lection.
Elle a été ensevelie vêtue de ses plus précieux autours; s. s
robes, ses vêtements, oui été déchirés pour qu'ils, ue pusse); t
servir personne; ses meubles ont été détruit-, in porte de
ses appartement condamnée.
L'Empereur est en proie la plus grande douleur mais
cette affliction ne peut durer: Il a encore cent quatre-vingt-
dix-neuf femmes prêtes le consoler
Le département de la guerre a fait publier tout récem
ment, dans le dernier numéro du Journal militaire offi
ciella loi du 19 mat 1880 apportant drsmodificalions celle
du 3 juin 1870, modifiée déjà par la loi du 18 s>ptembre 1843.
Le dernier alinéa de l'art. 64 de cette loi est modifiée
comme suit
Les sommes ainsi versées sont restituées aux miliciens
que le sort n'aura pas désignés pour le service. Et le pre-
-vnier alinéa de l'art. 82, ainsi Au moment de leur remise,
l'autorité militaire fait examiner par des ntédreins de l'aimée
les miliciens et les remplaçants daos les trente jours suivants;
elle renvoie au conseil de révision ceux qui paraissent impro
pres au service, et, en outre, s'il s'agit de remplaçants, crux
qu'elle considère comme ne remplissant pas l'une drs autres
conditions requises.
L'art. 100 est modifiée de la manière suivante
Un arrêté royal détermine les conditions d'admission des
volontaires et les avantages qui peuvent leur être aecordés. Le
premier engagement doit soumettre le volontaire qui s'enrôle
avaul l'opération du tirage au sort, aux mêmes obligations
que le service de la milice.
Le mineur d'âge, n'appartient pas encore l'armée, doit
justifier préalablem' ni du consentement de son frère ou de sa
mère veuve, ou, s'il est orphelin, de son tuteur. Ce dernier
devra être autorisé par délibération du conseil de famille.
Les volontaires de toutes les catégories, de même que des
miliciens, acquièrent la qualité de militaires par le fait de* leur
incorporation el de la lecture qui leur est donnée des lois
militaires.
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BIBLIOTHEQUE GILON
Edgar La Selve donne aujourd'hui dans celte collection la
traduction de deux contres de Mistress Hall, qui jouit d'une
grande célébrité en Angleterre. Rien ne presse et
C'est assez tôt, luttent avec succès contre la détestable
habitude qu'ont les hommes de remettre au lendemain ce qui
doit êtrefait le jour même.Que de malheurs on s'éviterait sion
était plus actif, si on songeait que le temps perdu ne revient
pas el qu'il est souvent trop lard pour aviser quand on a
laissé passer le moment favorable. Les petites nouvelles de
Mistress Hall sont bien réussies et elles seront lues avec plaisir
par les petits et par les grands lecteurs de la collection Giloo.
L'Illustration Européenne (10,50 fr. franco par an
Sommaire du N° 8
Gravures: Le Cardinal Jacobini. Rêves de Jeunesse,
d'après M. Alfred de Gurzon. Le Tremblement de terre
d'Agrara. Le Time-Ball ou Boule de Temps.
Texte: Nos gravures. Le Meurtre de Denis Coppée,
Poète Hutois. Connaissances Usuelles de la Srmaine.
Littérature allemande. La Noël dans la Forêt. A propos
de l'Agitation anlisémitique en Allemagoe. Bonheur el
Malheur. Les Défauts mutuels. Ce que me dit moa
piano. Le Coup de Cravache, ou Tropee-le-Mulâtre.
Roman.
Sommaire du N°. 9.
Gravures Dans l'Attente des Étreintes! Est-elled'Accord?
D'après M. Paul Thumann. Une Rue Porapeï.— Bateaui
vapeur pour les Rivières de l'Amérique du Sud.
Texte Nos Gravures. Chronique de ça delà. Ce
que me dit mon Piano. Causerie. Lt Barh'*, au Point de
vue physiognomontque et physiologique. De la Durée de
la Vie, chez l'Homme et chez la Femme. Le Conp de Cra
vache, ou Tropee-le-Mu!âtre. Roman. Rébus N". 2.
Le Musée «lu Jeune Age (4-25 frs. franco par an).
Sommaire du N" 23.
Gravures: Attrape. Revanche. A deux Sous
Tout deux Sous! Le daugereux Poursuivant.
TexteAttrape et Revanche.Les Étrennes deux
Sous. Soyons poits envers les Domestiques. Yaki-le-Ter»
rible. Biographie nationale. Le Forgeron-Peintre. Les
petits Patineurs. Réparation d'Honneur.
On s'abonne au Bureau du Journal.
Illustration Belge.
Somma ire.
Texte Causerie politique, Eugène Landoy. Nos gra
vures. Histoire de Monsieur Lou, etc., Camillede Roddaz.
Etranger, Unus et Aller.La bonne année. 1881. Ed
mond Callirr. Revue des Théâtres, Léon Degeorge.
L'automate joueur d'échecs, A. P. Aventures prodigieuses
de Tartarin de Tarascon, Alphonse Daudet. De tout un peu.—
Sport.
Gravures: La semaine fleuri. Place de l'Hôtel-de—Ville
Bruxelles. Histoire de Monsieur Lou, (dessins de M. C.
de Roddaz).L'Illustration Belge: portraits des rédacteurs.
Punch en l'honneur de la uouvelle année. Petite mère
chérie. Le bec fin phragraite, (les oiseaux dans la nature.)
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