DITTREKSEL. LIV R ES ùERARD - WATREMEZ, LES COUPONS OBLIGATIONS ESSAYEZ TOUT RE VALENT A ARABICA PHOTOGRAPHIE Bibliographie. Appétit, Digestion, Sommeil, Sauté et Energie tous C on M E R C E. Er volgt uit een arrest contradic- toirlijk uitgesproken door het Hof van beroep te Gent, 2e karaer, recht- doende in boetstratfelijke zaken, den 23 Maart 1881, het vonrtis in zaak vet'leend door de boetstraffelijke rechtbank te IJperen, den 25 No- veraber 1880 bekrachtigende, dat de genaarnde De Wilde, Julius, oud 40 jaren, commissionnarisgeboren te Hooglede, gedomicUieerd te Passchen- daele, wonende te Rousselaere, is ver- wezengeworden tôt eene gevanqzitting va,n eene maand en in de procès kos- ten, als overtuigd van enkele bank- breuk begaan te Hooglede, in 1879, om, met înzicht zijne bankbreuk uit te stellen, zich te hebben overgele- verd aan leeningen, in omloopbren- ging van wisselbrieven en andere verdtrflijke middelen om zich fondsen te verschaffen; de bekentenis der op schorsing zijner betaling niet gedaan te hebben in den bepaalden termijn. en zijnen inventaris voorschreven bij art. 9 van het handelswetboek niet te hebben opgemaakt. Met bevel dat het vouais bij uittreksels zal opgenomen worden in de te IJperen geilrukte nieuwsbladeren Le Pro grès en Le Journal d'Ypres. P. MORTELMAiNS. Caisse des Propriétaires l'échéance du 15 AVRIL 1881 la Banque A. VOiNCK-CLEMENT. rue de l'Etoile, Nu 4, Ypres. Conformément l'art. 509 de la loi du 18 Avril 1851, les créanciers admis au passif de la faillite du sieur Alphonse BIJBBE, ci-devant sellier Ypres, sont convoqués au Palais de Justice Ypres pour le 16 Avril 1881, neuf et demi heures du matin, pour entendre le rapport du Curateur -ur l'état de la masse, les formalités qui ont été remplies, les opérations qui tfnt eu lieu ainsi que sur le résultat probable de la liquidation. de i*rière ENVOI GRATIS ET A TOUT LE MONDE et gardez le meilleur! Coup de grisou Marcinelle. Lundi vers une heure du matin, une gerbe de feu immense s'élançait du puits d'extraction de la fosse n° (i, Murcinelle, et était suivie inslanlaiiémi nt d'une détonation formidable. l)rs détonations présipilérs suivirent la première et vinrent ébranler les bâtiments de la surface en même temps qu'elles entretenait lit le feu qui s'était déclaré daus la chaipeute du carré. Driix cents ouvriers environ travaillaient dans le puits n* 6 qui est partagé eu trois étages situés 510, 300 et 420 mè tres. C'est l'étage de 5(50 mètres que le coup de grisou s'était donné. Les ouvriers des deux autres étag. s fur eut rapidement remontés par le puits ii° 12. Mais le Sauvetage des ouvriers travaillant 500 mètres fut pénible. Cette catastrophe a beaucoup d'analogie avec celle de l'Agrappe, Fraïuerics toutes pioporlious gardées, bien eu tendu. Ici aussi ou a vu un ouvrier sauvé d'une façon qui tient du miracle. Ou croit savoir que le nombre des morts ne dépassera pas 12 ou 14. N uf cadavres ont été déjà remontés au jour: parmi eux se trouvent deux jrunes filles. Les ma,heur, uses victimes ne sont pas dégflgtirées elles n'ouï pas été atteintes par le feu, mais elles oui succombé l'asphyxie. Les cadavres ont été déposés dans une dépendance du char- bouuage, où 1. urs familles vi. uutDI les r. cotiuailre. Ils se produit là des scènes dou.oureusrs qu'il est impossi ble de déc ire. Aux abords, la foule est immense. Coup de grisou Warquignies. Lundi, dans la matinée, un accident analogue s'est produit Warqntguies, au charbonnage du Grand-Buisson Dix ouvriers bouilleurs y out trouvé la mort. C'est au puits u* 2 que le coup de grisou a iu lieu. Depuis qu. Ique temps, cause de la ciisr industrielle, on ne travaille pas le lundi, et l'on piofile de ce jour pour faire certains travaux qui préseuleul du danger. C'est ce qui avait lieu hier soir. Dix ouvriers se trouvaient dans la galerie, spécialement chargés de fai e sauter une mine. Au moment où celle-ci prit feu. un dégagement subit drgiisou se produisit, et les dix malin ureux charbonniers furent tués. 1.' IH u sst ration Européenne (10,50 fr. franco par an). Sommaire du N° 23. Gravures: luceudie d.s Magasins du Printemps Parts. Le Colonel Dvork. Isky, Chef de la Polie transpor tant le Cxar blessé au Palais d'Hiver. Après (Explosion de la s. coude Bombe. Texle: Nos Gravures. Chronique deçà delà. Com- meul ou devient Capitaliste. Le Saut de K.urt d'Altruahr. Légende des Bords de l'Ahr. Le Noir. Le Coup de Cra vache, ou Topee-b-Sluiâlre. Roman. On s'abonne au Bureau du Journal. ïmiE" r y y 'oBf sans puiges et sans frais, aux adultes et aux enfants, par la délicieuse fatiue de Santé, dite: l>u tiAltlt Y, de Loudre». Des usilliou» de Cures. Depuis 1840 elle guérit les mauvaises digestions (dysp.p- tles),gastrites, gastroeulérites, gaslralgn s, phihisir, cuiistipa- siotis, hémorroïdes, glaires, flatuusilés, ballonnements, palpi tations diarrhée, dysseuleiie, gonflement, élourdissements, bourdonnements daus les oreilles, acidité, pituite, maux de tête, mig.aiiie, suidiié nausées cl vuinisseineots après repas ou en grossesse; douleurs, aigreurs, congeslions, inflamma tions des iuleslius et de la vessie, crampes et spasmes, insom nies, fluxious de puil.ine, chaud et froid, toux, oppressions, asthme, bronchite, phihisir (consomption),dartres, éruplious, abcès, ulcéraliuns, mélancolie, nervosité,épuisement,dépéris sement, ihumalisme, goutte, fièvre, grippe, rhume, catarrhe, laiyugite,échaiiir<'meiil, hysterie, névralgie, épilepsie, paraly sie, les accidents du relourde l'âge, scurbul, chlorose, vice et pauvreté du sang, ainsi que toute irritation et odeur fiévreuse en se levant,ou après certains plats coiupromrttauls: oignons, ail., ou hoisvous alcooliques, même après le tabac; faiblesses, sueurs diurnes et nocturnes, hydropisie, les désordres de la gorge, de l'haleiue et de la voix. Egalement comme nourritu re des enfants dès leur naissance elle est préférable tout au- rr aliment. Evitez 1rs contrefaçons et exigez la marque de fa brique M Revaleula Arabica Du Barry Cure No. 67,514: Naples, Par suite d'une maladie du foie, j'étais tombée dans un état de marasme jui a duré sept ans. Il m'était impossible de lire ou d'écrire; j'avais des batte ments nerveux par tout le corps, la digeslion fort difficile, des insomnies persistantes, el j'étais rn proie une agitation nerveuse insupportable. Plusieurs médecins m'ayant prescrit des remèdes inutiles, en désespoir de cau>e j'ai voulu essayer de votre Farine de Santé. Depuis trois mois j'en fais ma nour riture habituelle. La R. valeuta est bien nommée, car béni soil le bon Dieu! elle m'a fait revivre; je puis maintenant m'occu- per, faire el recevoir des visites, enfin reprendre ma position sociale. Marquise de Bréhan.Naples, 17 Avril. Quatre fuis plus nourrissante que la viande, elle économise encore 50 fois son prix en médecines. En boîtes;]/* kil., 2 fr. 23; l/2 kil., 4fr. I kil., 7 fr.; C kil., 36 fr. 12 kil., 70 fr. Les Biscuits de Revalenta, en boites de 4, 7 et 16 francs. La Revalenta chocolatée. En boîtes de 12 tasses, 2 fr. 25 c. de 24 tasses, 4 fr. de 48 tasses 7 fr.de 120 tasses, 16 fr. de 576 lasses, 70 fr.; ou environ 12 c. la lasse. Envoi contre bon de poste. Les boites de 36 et 70 fr. franco. Dépôt chez MM. Frysou-Vanoutrive, rue de D.i- mude, et Veys, pharmacien, rue de Lille, 13, et partout chrz les bons pharmaciens et épiciers. Dépôt de Du BaRRY C*, Limited. Ag-nt Général pour la Belgique M' EuileTIMMERMANS, 6 et 8, rue Rouppe, Bruxelles. marché d'Yprea. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus te 9 Avril 1881. NATURE des GRAINS ET DENRÉES. quantités vendues kilogrammes Prix moyen par cent kilogr. poids de l'hecto litre. 12,500 27 25 80 1,200 23 37 73 01 >0 00 00 00 Pois 1,100 22 50 80 Féveroles 1,300 24 00 80 Pommes de terre 8,000 5 5U Beurre 535 00 N" 9845. Four ttbxluiilfitl uiltreksrl den lieer Procureur Generaul a/i/etererd, loi intumliiny. voor den oppergrefpier DR LA sont payable» SANS Fit US, Le Curateur, Fcrd. VANI DAELE, Avb Assortiment entièrement nouveau de de luxe et ordinaires. Spécialité dImages pour Souvernir, ch>z Auge Van Ecckhont, rue de Dixmude, Ypres. le l'indication d'une formule infaillible pour guérir, en secret et peu de frais, les écou lements récents ou invétérés. Ecrire EY.vllN, Vienne, (Isère), France. rue de Boesinghe, 11, Ypres- Il y a q«i> lqilrs années déjà, que pour des mo tifs de saoté, je vins (n'établir Scli'ffliuiis. ru Suisse, où j'achetai la Pharmacie du u Ptlloo d Or. Parmi les clients qui fréquentaient chaque joui ma Pharmacie, je reniai quai particulière*!'ni llu Vieux .Monsieur aux manières distinguées, dont la physionomie dénotait d'une manière évidiiitr l'origine française, et qui gagna (oui d'abord ma sympathie. Peu peu uous fimes plus ample coo- uaissrnce el j'appris alors qu'il etail médecin français: il s'appelait Mr. le Dr. Poliirn et de- no lirait riun loin de Schaffhouse. L'amabilité de ce Dr. Polrien avait quelque chose de supé rieurement enchaînant, surtout pour moi qui nouvelle!!!' rit arroé dans la ville, étais encore privé de la bonne suciélé c'était un vrai plabir de passeï quelques heures dans la compagnie de cet hotnme d'elile. J'appris qu'il était déjà dans sa 62° année; il habitait non loin de Scllaff- llollse, avtc la famille d<- sa fille unique, une char mail le villa, sous le toit hospitalier de laquelle il m'iuvita plusieurs reprises. Je ne tardai pas répondre l'aimable invila- lion de mou nouvel ami, et ou beau jour d'été, je me décidai lui faire visite avec ma femme. Aprèi avoir voyagé quelques minutes en chemin de fer, nous descendîmes une petite slaiion, et mi quarl-d'h-ure aprè-, nous fûmes devant la maison du Dr. Polrien une minialure de maison de campagne bâtie dans le siyle des chalris suis ses auc (oui le confort imaginable et entourée d'un giand jardin d'une magnifique végétation. Noire arrivée avait été remaïquér, car le domes tique nous ouvrait déjà la g illr avant que nous ayons eu le temps de sonner el nous conduisait vers la vérandah siluée denière la maison. Là était assis le D'. Polrien au milieu de sa famille, s s côtés si s pelils-fils plus loin sa fille portant sou ouiiveaii-né rt en face de son gendre; un ta bleau de famille plein d'union, de paix et d'a mour. Mon vieil ami parut enchanlé de notre visite il nous souhaita la bienvenue avec celle franchise loiilr cordiale pailient.ère aux vieillards, qui ne >uus laissent jamais étrangers même avec des per sonnes inconnues. Ou s'iinpressa de nous offrir d< s r< fiaîcheni'nls et une riche collation, mais malhiureusi nient mou épouse ne put goûter aucun des mets qu'un nous servit, si appétissants qu'ils fussent, car elle se trouvait épui-ée par la grande chaleur de ce jour, il par la marche la- qii'lle elle n'éiait plus habitué' je la laissai donc faire les honneurs de la conservation avec la fa mille Polrien, pendant que de mon côlé, je fai sais honneur la cuisine de mon amphylrioo. Le Dr. Polrien s'exprimait avec élégance, 00 l'écoulail avre plaisir; il nous raconta qu'il venait précisément de lire ses petits enfants quelque! passages de ses Mémoires, qui contenaient une foule d'aventures tant gaies que séritu-'S. Mais si agréable et intéressante que fût la cunver* salion du D. Polrien, je voyais avec inquiétude que l'état de ma femme ne s'améliorait point, et avec la no illeure volonté du monde, elle ne put goûter aucun m<ls; sou étal finit par inquiéter e D>. Poli ien lui-même, qui l'examina a.ors plua atlrntivemi ut. Il est vrai que ma f< mme souffrait depuis plu sieurs années d'une maladie qui, sans être très*

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Le Progrès (1841-1914) | 1881 | | pagina 3