grave, lui avait déj^oôlé bi< n de» larm-s, cl l'avait toujours inipèche. dr prendre pari n'iiu- porle quelle réjouissance. Le» différents Ira il e- Bv nia suivi» jusqu'alors l'a %ai> o| htm soulagée quelques fois, mai- u'avaient pu vaincre enlièie- uieul sou nul. Le Ur. Potrivn se fit alors raconter (nul l'histo rique dr sa maladie, rl par Us questions qu'il adressa ma f- itiui-, il clietcha étudier a fond la nature du tuai, sou origine el ses phases. Le Dr. Polririi nous décriait ainsi l< s symplô- de celle nialadt. un uial de léte opiniâtre se ré pétant suuvrut, se localisant d<- préférence sur le drrrièrr de la léte ou sur le front, de fréquents éblouis» meut, une grande pesanteur dans tous 1rs ni-mines connue s'ils étaient b'isés la bou che ordinairruii lit pâteusemauvais goût sur tout le malin la langue cl.argée de fié- qiiruls renvois acides salive abondante SrllIlHlrUl de bi lire dans l'estomac dollh IIIS el Ciamp s d'eslutllac accompagnées dr ciisrs ai guës, qui souvent Vous vil.è»rnl toute volonté et lova te eurrgir pendant plusieurs h lier» enfin une coosl potion opiniâtre allrriiant avec line diarrhée péiludique une envie souvent impé- rn tse d'ail. r selle sans pouvoir obtenir d'éva- CiiatioDs el désordres généraux dans le bas- «eutrrj il nous fit cu.up nuire combien tous ces maux Iroiiblrtil la iiutulioii générale, nipèch ni la circulation iiormale dil sang, rend, ni leca-ac- lèn aig'i et bieu souvint celui qui en sullffr. est fatigué dr vitre. (Jrs maux peuvent encore ru gi iidrrr une foule d'antres, comme p. ex. d>s maladies graves de la bile, du foie, des reins I de la ves>ie, qui t-Xigeiil uu traitement spécial, long et douteux. Nous écoulions avec un immense intérêt les explications du Dr. d'autant pins que la plus giaude partir des symptômes qu'il venait de meu- lluiiurr s'accui liaient pa faileiu lit avec l'état d' ma f. m me D pouili alors de lui donin r une Ordonnance que je devais prépairr moi-même dans ou pharuiacie, aussitôt ma reulrée la mai son. J'étais, je l'avoue, très-inlrigué en ma qualité de pharmacien, au sujet décrite ordonnance, car j'en avais déjà tant préparé pour ma fruiuir de puis quelques aimées el toujours sans succès. Pendant ce temps, le soir était venu et nous devions prendre co.,gé de nos hôlrs si nous Voulions encore pruGler dit dernier train qui dr- vait nuits rrcoiitiune dans nus péualrs, Schuff- bousr. Le Dr. Polririi ouvrit rapidement son secrétaire, me leoiliI une ordonnance t qu- Iqiles boolrillrs d'rXtiails dr piautrs qin je d. vais i lUjviuyr pour la préparation des punies. Confiant dans la Vieille «xpérirncr et le (aient bien connu du Dr. Polrien et désireux de revoir enGu ma friuutr eu bonne santé, ina première occupation, le lendemain malin, fut la prépara tion de ce» pilules, Conloriilemeiit aux prescup- tious du Dr. rl j - m'empressai de 1rs fane pren dre ma clièir Compagne. L'eIT 1 ne se fil pas attendre, car ail bout de qur.qu. s jours déjà la malade epiuuva uu meilleur aprlil, les selles d. - viureul légultèrrs, etles se seiilil beaucoup plus forte, la piessioo quelle ressentait au cr. ux de l'estomac di-parul, suit lut qui avait été jus qu'alors pâle rl jaunâtre Se Culoiailr fraîches Cou leurs, eu lui iilul tout l'orgaiilsine se rétablit bleu Vile et aprè- qil- Iqtle semaines ma femme pouvait se considérer connue ruiièrrmnl guérie. No tre joie fut UIKiIrnse, :nou rslline et ma leçon- naissance pour le latent el l'amaliiiilé dr mou pa in lirl ami ur coiiiillieul plus dr boittes, mais le Dr. Pol'iru, dan» sa simplicité et sa modestie, Ur Voulut mêiu accrpter aucune paiole de rem fei ntent le savant était IleilreiiX de faire le bleu en silence rl il se fait uu devoir d'assister chacun dr ses Semblables. Encouragé par son obligeance, je lui demandai l'auioMsalioo de préparer, d'ap.è» sou ordonnan ce, une p.iis grande q mutilé de pilules avec 1rs extraits q ir j'avais meure; je voulais les donner h pmsl ur* médrCltis d-- ma cuiuiaissaucr pour qu'ils puissent ru faire des <Xpéi|eucrs dans lein p aliqur el je croy il» ainsi rendre lin service iiti- porlaul nou-srun nient la med< ciue, mais en core tous ceux qui sonffr ni de ces maux. Av>c un rnipr.ssim.Bi au ue-sus de tout éloge, le D'. Putririi me dson Conseulrm.nl rl je oie fus uu d-voir d'affii iu* r que s Pilulrs du Dr. Pulrieii ont util, uu partout où 1rs inedtcius les ont pr. sc il. s, des louanges met lté. s par leui succès. Des essais continu. Is >t de nouvelles expérien ces pour peifi'CllonMrr «l améliorer de plus ru plu» Cr» pilules IBalOe.-èrrUl ajolil. I quelques lUCt de p.aulrs, qui ue croisa»i.l que sur 1rs bel.es montagnes de la Suisse et qui sont reconnues suiivrrainrs contre les maladies d'estomac et (tes organes digestifs. Devant donner un nom quelconque ces pilnl- s pour les distinguer de» autres, je les ai nommées Pilules suisses par reconnaissance et polir rendre honneur au pays où j'api»ri- connaître le Dr. Potrieu, qui y re pose maintenant dans la paix du tomb.au. C'est eu quelque soi le uu acte île vénération el de sou venir iiiveis l'inventeur de ces pilules, qui consi dérait el aimait la Susse comme sa seconde pa trie il s'y élail attaché avec tout l'amour dont était capable sa grande âme, il y avait trou>é la tranquillité, la paix, le bonheur et rnfiu le r. pu» éternel. Mes pilules siiissent peuvent être employées par le veillant ans-i bien que par l'enfant, elles ne Coiilieuueul aucune substance qui puisse nuire dr quelque manier, que ce soit tuais Irui composi tion, que peisuiiue ue peut imilrl,esl mon secret rl précisément dans c. Ile composition gil tout, la force cilrative de rues pilllli.s. Notre devoir le plus sacré r St en (ainrmelll de co.-S rver noire santé, d'éviter les maladies, et loi-que clles-ci jus accablent, de les cuinbaltrr par les moyens que la iialure a si richement nus notre disposition. Car le Créateur, dans sa boule t.. fi. lie, a pourvu Ion t dans le grand irgue de la nature avec tant de sagesse et de prévoyance, que ce serait pécher contre soi-même si on ur tuait pas parti de ces doits précieux, lorsque notre sauté rsl compromise. Tout homme de cœur, qui voit souffrir un de ses semblables s. nt eu lui l'obligation de l'assislei de ses conseils et de ses actes, de chercher lui r udie ses muix supportables, les al.ég-r ail lant que possib e el se basant sur son expe- rirucr, il un rrcomma.niera le moyen qui lui pa- ailra le plus utile pour se l'étal) i-, lui faire r couvre, la sauté et le rrnd.r ru un mot capable de repeindre ses occupations et d'être de nou veau la joie et la consolation de sa f-iinille. Combien de gens se plaigornl de ventosilés, de constipation, de maux de VrQlre, et d'autres de maux de reins, d'uppu ssious, d'un poids sur l'estomac ou la poitrine, de duiil. Ilrs dan» le bas- ventre, nausées, mauvais goût, vomisseui-lll-, abattement, dulliruis dans les ineinbr.s, maux de télé, vertige, points de côté, .le, tant de maux dont onp.ui f tellement guérir avec qiielqu.s c utiraes, eu pieuaul le maiio j un 2 4 pilu es des cé.èbres Pi.ules dépuralives suisses de hich. brandi. Le fils d'un de nos campagnards, appelé sou» les drapeaux p lui .lit le brrilue hiver de 1870, fut aileuil d'un violent r» froidisse.i.enl au bas «entre, ainsi que lanl d'aillrrs de ses braves camarades. Le niai Commença par line constipation opin.âir. craiiip.-s d'estuiuac, musé, s, maux de cœur el il p.ii de lellrs proportions par suite de maux dr relus, points île côté, vomissements et faiblesses généra..-, que jeune soldat dut être Iraiispoité i Amliii.at.cr. La paix tenait enfin d'être si gnée. mais la joie du retour dans Ses f«y rs ne fut pas sans ainrrlnue pour notre j.nue soldat, car l'ancien m il r par il av.c une nouvelle inten sité. Ses procll s, qui avairiil entendu vanter les Célébrés l'ilules -U.ss>s de Rich. Brandi lui en firent prend, e et, merveille! la grande joie des si. us et de lotil le village, notre malade fut i il peu de temps rétabli, après l'usage de quelques boites s. ni. meui. Toute la cure n'avait c-.ùlé que quelques sous pui-que la buile de pilules lie coûte que 50 c. litlnis. il manquait jusqu'à ce jour un r- mèdr réelle- m nt poptllai.e, que riche ou pvuvre poisse em pli y r sans danger et sans crainte el sans qu'on ail besoin d app. Irr le s'ColIrs d'un médecin. Le p .ariiiacieu Bicli. Brandi Scli .ITIiouse en Suisse a cuinb e celle lacune ru inventant s-s Pilules suisses car, a II-si bleu dans nus contré, s que dans les pays lo.ulaii.s, même bien au d.-là des mers, .es poules suisses sont devenues nn véritable .uni de la famille, qui s', si toujours molili efficace, même dans le» cas gravi s. C'est jinurquoi les pi ntes suisses du pharmacien Ricli. Brandi ne de vraient manquer dans aucun lliei.age, dans aucu ne famille, prii.cipalem. ut dans les end.mis retirés, 1rs fermes isolées, les petits hameaux où l.-S s Coins de l'ai 1 lie peuvent obi- ilir qu'avec de grand, s p. rte» de temps et d'arg. nt. Dans ces cas, 1rs boit de famille contenant 40 pilule» el dont le pr.x est de 1 f r. 25 sont très r. coiuuiandable». Chacun sait avec qu Le rapi dité 1rs maladies péuè'irtil dans 1rs familles tl y appui lent aussitôt chagrins, soucis >1 larmes; et cependant av.c quelle facilité aii.ail-ou pu 1rs é'ilrr, si l'un avait eu temps s-.ils la main uu r»uièdr vie cui.fi vue, agissant d'une mimé" aussi fficace, aussi rapide >1 M p. u de frais que le pilule s suisses de Rich. Brandi. Mais, d. mandera-l-on, quoi donc sont bon nes Ces Pilules suisses? Les pilules suisses du Pharmacien Rich. Brandi réebauff. ut l'estomac, activent la ciiculalioii du sang il le parifi-ul, éloigmnt la bile, les mucosi tés cl les ac.il. s inutiles, provuqti. m une nouvelle force de digestion, et dans lis cas de manque d'appétit, ramènent le goût et donnent de nou veau l'envie de boire »l de manger. Due femme de 35 ans, mère de 4 enfants ro bustes. qui s'acquittait de srs devoirs de mère de famille avre une activité, une gaieté rl nn en train admirable, sans jamais avoir élé malade, fui loul-à-colip atteinte de violents vomissements (de la bile, accompagnée de matières aigres, acides et fétides), elle se plaignait en même temps de viol, lits llt-vllX de tête et de dollleurs dans te fuir rl la rate La couleur du visage, particulièrement 1- blanc des yeux, la laugu.-, les ouglrs prirent line teinte jaunâlie, l'appétit disparut, la pauvie frliuue inaig issail vue d'œil el malg-é tous les remèdes administrés, ne pouvait' ail. r selle qu'avec les plus grandes peines. Sou mari, au.si que toute la famille, éiàit dans e désrspo», car l'active ménagère la inerr dévoilée indiquait pailout, et la petite métairie ue .apportait pas assez polir qu'il soil p. rntis d'appe ler des bras éliang. rs pour fournir aux besoins intérieurs et aux travaux drs champs. Les p lllrs économies avaient déjà été absorbées par le méde cin, le pharmacien el les besoins journali. es. Par hasard, oii leur r. commanda |.s Pilules suisses, el av c Iles rentrèrent au logis la santé, le bonh-ur rl |i joie, car la brave métayère élail guérie après avoir piis .seulement quelques bulles de C'S pilu les, que sou mari avait ach. térs pour quelques centimes. De même, contre les éruptions, catanées, l>s impuretés du teint, la gale, la trigne, lis abcès, les plaies aux jambes, les panaris, tous les déran- gem -nts d humeurs et toute 1rs impuretés du sang, les Pilules suisses sont un rrtuede souverain, .l'une rapide efficacité. On les recommande de même contre les bémorrli.iïdes internes, maux de reins, douleurs ■le l'épine dorsale, maux de tête, veilig. s, iriilabi- lité et mauvaise huiu. ur continuelle. Pour les enfants et les adulbs qui souffrent des vers, les Pilules suis-rs ont toujours eu uu prompt succès il faut seul. Il», ni preudre mie légère collaliuii le soir rl le lendemain j.-tin 2 "U 3 pilules selon le tempérament et la force du ma lade. Pour les enfants, I ou 2 pilules suffisent. Une charmante petite fille d>' 3 ans, la favorite de ses par. uts rl de toute la famille, fraîche et joyeuse, perdit subileinenl ses bellrs Coliletl'S, Coilim uça languir et ne trouva plus de plaisii aux jeux favoris dont elle avait toujours élé Ije bout»— eu-train-. L'enfanta.ail faim, mais lur-qu'on tll donnaiI manger, elle ép-oil«alt uu degoùl insurmontable. Une démangeaison continuelle l'anus, nue diarrhée iiileNllitiente, suivi d'une longue constipation, maux lie cœur, vomisS.— mrnls, aballirnit considérablement la pan ee petite, et ces symplôin s vie maladie, sa mauvaise hiuu ur, ses larrn. s même furent pri- tort pour de la mauvaise volonté et de la méchanceté. Une voisine conseilla la mère de lui donner une Pi.itle suisse du pharmacien Rich. Brandi, il juge2 de U surpris.- générale lorsque, 3 heines après, la p.tile rendit line quantité d'ascarides ou vers intestinaux la cause sa mila-lir fut alors r.connue. La petite fi.le fut vile rétablie ,'t «Ile est de nouveau line charmante enfant, gair, florissante el choyée de tout le monde. Non moins fficaces contre la mélancolie, l'Ity- pocbuiiili lr et les maladies analogues, des qu'elles ont poil, cause Un dérang, ment dai.s l< s fonctions intestinales,l< s Pilules suisses du pbarmaciei.Ricb. Brandi évacuent doucement l'in I- si ut malade et fout disparaître lr mal radicalement. Les Pilules suisses se disliiigei.t facilement des autres par leur emballage. Ou h s Vend en boîte» mélalliques portant »ue le couvert une étiquette ruilge au milieu de laquelle se trouve l'.lilll.ém national suisse bien connu: une croix blanche sur fond rouge «t le fac-similé de la signalllre. On r.commande (le faire attention Ce que la boîte pu te celle étiquette rouge, qui est la mar que de fabrique légal, nient dépo-ér. En outre chaque hoile est entourée d'une bande de papier su. laquelle est indiqué le monde d'. lliploi. Les bulles son) de 2 grandeurs dlffé- veuhs: la grande b»îlr, qui coufi'rut lin-tix aux familles, ovi pour lui usage prolongé, mais »iji- iiiiii aux personnes qui demeurent la campagne dans des endroits retirés, contient 40 pilules el Coûte 1 fr. 25., la petite boiic contient 15 pilules et coûte 50 centimes, elle se piêle particulière- oirut pour faire un essai. Le public est prié, pour éviter toute erreur, de demander exactement dans les phaimacirs "1rs Pilules suisses du pliaimacirii Rich. Brandi, el d. faire >lt»lilioii ce qu.- la boite de métal porte l'étiquette rouge, la c>oix fédéialr suisse et soit fermer au m..y< u d'une halille sur laquelle lr mode d'emploi i si imprimé en caractères rouges,) On peut se les procurer d'ans toutes les pliai macies, u grande boite coulv liant 40 pilules a I fr 25,ou eu petites boiies de 15 pilules, dont I. pux a élé fixé 50 centimes s>iiienieut, afin de les it-iidtc accessibles tnémes aux bourses les plus modestes. Le dépô' générai des Pilulrs suisses pour toute la Province rst A Ypres chez Mr G. Vry.t, Pharmacien, ruede Lit e, n* 13. A Poperinghecli.z M. Vaudrn- berghe, Phaimacieu. A M'iiiu: cli.z M. Jules Sloen, Pharmacien. A Courlrai: Ch. z MM. Bo-sa-rt et Van d- r E-p, Pharmaciens, ainsi que dans toutes les bonnes Pharmacies de toute la Province, Qiirlqu'exct lien tes que soirnlles Pilules suisses, d'après ta fui mule du Dr, Potrvin. elbs ne soul Cependant pas une puiacée universelle el je suis loin de prétendre qu'elles guérissent tous les maux mais elles ont été - mpioyées avec le meil leur succès dans 1rs cas de maladie qui ont pour principe une digestion déf>Cllleùsr, nu mauvais estomac et les conséquences qui en résullènl. telles que ilefatil de nutiltiou, accumulation d'acides dans l'e-lomac, aigreurs, engorge meut, constipa tion, poids sur l'estomac, douleurs gast.iqnes, plélliuie, liaiispori du sang la têtmaux di lêle, impuretés <lu sang, maladies du foie et dt la bile, liemuirhoïdes, scrofules ch.Z lis enfant etc. par conséquent dans chaque casoù lls'agil dt piocurri des évacualiuiis, de purifi r le sang e de- doiiurr line nouvelle vie et de nouvelles forcri l'appareil digestif. Le Dr. Polr.i... en uiéde cil. conseil 11clux eteXpéi intenté, a choisi lesdiffé rentes snbstai.Ces qui r. nlr. nl dans la cuinpositioi il. s Pilulrs suisses a>ec line sagesse el uur clair Voyaiic- digues de cet humilie de bien, «l de milliers de personnes, qui on fait usage de piiii les silissrs, après avoir iss-yé bon d'antre moy iis,peuveuUéiiioigner du bon résultai qvi rit eu o> 1 ol'leiiU el ç.- n'est que par la recuiiiman dation de l'un l'autre qn\ ne- sont parvenues la renommée et l'extenllon qu'elles ont de Uns jolies. Je n'ai pas besoin d>- recommander mu Pilules au public, car leur réputation rst Iril! Hirill. lire i> c»muiaudaliun chacun p. ut eu fairi l aissai avec une IIle buile dr oOcrul. jai seu lement voulu rac.inier eu quelques mots I origim d>s Pilules suisses qui jouissent maintenant dam le monde etilier d'une lavoir sans partage. Jl voix aussi faire remarqu- r au public qu'il y a dr quantités d'aillrrs pilules qui soul r.coimnaudée aux malades comme I'. xalii's ou dépil-alifv, ssii qu'on sache quelles inaiièies elles coiiliriiiii ut c elles peuvent eXeicer sur tout l oigauisine. Pour obtenir une selle légère elagréable.i faut pi. ndie le malin j-lln, selon les besoins, I pilules pour les enfants une pilule suffit (Ja illet la pnule sur la langue et ou l'avale an movitl de quriqn-s go.gées d'eau. Pendant qu'on ru Dl usage, u faut éviter les m- Is gras el aigirs, oui u u.* I-s boissons spirilueusis une nourriture ifl gère est r» commandée. Bieu que chaque pharmacien connaisse el vrmlH mes pilules, il peut se faire c« pendant qu'il n'rl ail phs toujours tu réserve-; dans ce cas, on tB devrait pas accepter d'autre pilule inconnue rfl place des bonnes Pilules siliss s, Biais si ceia dnfl rail trop longtemps avant que de uoiivralix elB mis parvieuiiru!la pharmacie, j - prierais lepB blic de s'adresser par lettre Une des pliariiiacirfl ci-dessus dé-ignées, qui en sont toujours ricM ment pourvues. On peut envoyer le nionlanl'® -nil.- par poste ou se faire expédier les ni.'ulefl contre remboursement. Puissent ces qu- Iqitrs pages contribuer p'® pager davantage le souvrtiir de feil le Dr. Polrirol qui s'est acquis par ses jiilul- s Suisses un nu»111! un-ut éleru. I d'estime et deieconiiaissai.ee L'*1» gaui.-ine de notre pauvre machine humaine exposé tant d'accidents et d'infi. mttés que no* devons accilrilliravec jol> cli-.qiienouveau nn.yB qui a été employé av. c succès dans les cas de m udie désignés plus haut Puissent les P.b'' sill-seul trouver partout Un accueil favorable elles s. ront, dans chaqil famille où ces ma la1'" régnent uu nnssagrr de bonheur, de sauté joie Auge Van Eecbliout, rue de Dixmuiic 39, Ypres.

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Le Progrès (1841-1914) | 1881 | | pagina 4