PAARDEN Thé purgatif Reumaux, TOESLAG ASSURANCES SUR LA VIE. 10 HECTAREN VLAS 2 PAARDEN OPENBARE VERKOOPING EAUX ALIMENTAIRES Actes officiels. FONDS PUBLICS Lettres Médicales. Openbare verkooping VAN De Ontvanger der Domeinen te IJpre, zal den ZATERDAG 18n JUNI 4881. om 11 ure voormiddag, op de GROOTE MARKT te IJpre, over- gaan tôt de openbare verkooping van voortskomende van het 4e Regiment Lanciers. Komptant geld, met 10 verhoog. 1® van het GRAS 2° van de NAMAAT 3° Eene groote partij Eiken Perse», S'adresser M. Jules ONRAET, agent principal de la Compagnie d'assurances contre l'incendie Les Propriétaires Réunis 2, rue de la Prison, Ypres, où on peut obtenir gratuitement les prospectus et ren seignements. ACHAT ET VENTE chez A. Devarver, 87, RUE DE LILLE, YPRES. 4o 2000 SLLITEA Busschen, Knippelbondels, enz., enz. rafraîchissant, vulnéraire, dépuratif et fortifiant, recommandé contre les douleurs de F estomac, préparé avec les plus grands soins par M. Isaïe REUMAUX, Médecin de la Faculté de Paris, ex-Chirurgien Militaire et Médecin de Colonisation en Algérie, honoré de Médailles et récompenses Nationales. Dépôt chez M. Isaïe REUMAUX, Médecin Staple (près d'Hazebrouck, et dans toutes les bonnes pharmacies. GEMEENTE EESSEN. arrondissement dixmude. Dinsdag 21n Jtuii 1881, om 2 ure namiddag, OPENBARE VERKOOPlAu van groeiende te EESSEN, bij den steen- weg vanDixmude op Rousselaere en de Woumenstraat verdeeld in par- tien geschikt voor aile liefhebbers. Ieder kooper zal verplicht zijn eenen goeden en welbekenden meclekooper te stellen. De verkooping zal geschieden op gewoone voorwaarden en is betaal baar, binnen de zes maanden, ten kantore van Emile VAN DROMME. te EESSEN. Mter ARSÈNE VAN EECKE, om 5 uren, ter herberg De Nieuvoe Leute, te COMEN, (Cruiseecke). 1° Een HUIZEKEN met 7 aren 70 centiaren Grond en Land, te COMEN (Cruiseecke). Gebruikt door de weduwe en kin- deren van Isidore Carrein. 2° 71 aren 69 centiaren ZAAI- LAND, gelegen te GHELUWE, nabij den steenweg naar Kruiseecke, langs de herberg De Nachtegaal. Gebruikt door Joannes Verhaeghe, aan 100 fr.'s jaars, zonder pachtrecht. MAATSCHAPPIJ TEGEN BRAND - LA FONCIÈRE - J'ai l'honneur d'informer le public, que tous les achats au comptant, faits dans ma maison, seront rem boursés en coupons commerciaux. J. IIEVUIOV-RUÏLLE. En vente au Bureau de cette feuille RÈGLEMENT sur le SERVICE DE LA DISTRIBUTION des échappé, lorsqu'enfin ils le trouvèrent blotti, tout no, entre le matelas et la paillasse de son lit. Il s'était coiffé d'un bon net de sa femme. On le garrola, on l'habilla tant bien que mal il se laisse faire. Dans la prison de Quesnoy, où il fut transporté aussitôt, il se montra plus rebelle. Il parlait de se suicider il disait qu'il voyait un vaisseau prêt h l'emporter en Neuvelle-Calédooie; il ajoutait; Je ne suis pas digne de vivre; il faut que je meure Et il faisait mine de se briser la tête contre les murs. Un gendarme fut placé côté de lui dans son cachot pour le maintenir. Harschène est un homme de 47 ans. Pendant 10 ans il a travaillé chez M. Destouches, cultivateur Quesnoy-sur-Deûle. Il est marié au mois de Septembre der nier avec Rosalie Demeulenaer, veuve ayant deux enfants. Depuis quelques mois, il donnait des signes de folie; mais on assure dans le pays que celte folie est simulée. Le jalousie, dit-on, a été le principal mobile de ce crime. La femme de l'assassin est âgée de 50 ans. Elle s'est mariée en secondes noces avec Harschène. Elle avait eu ses deux filles de son premier mari. Voici le récit qu'elle fait Depuis deux mois, mon mari était devenu brutal. Par moments, il était d'une douceur ex trême, mais il avait d'autres moments où il était très-terrible. Un jour, il a eu peur d'un taureau. C'est cette époque- 15 que ses accès commencèrent 5 le prendre. Il a aussi conçu une horrible frayeur des gendarmes. Une autre fois, je le sur pris 5 boire du pétrole. Il fut très malade. Enfin, la nuit dernière, il s'est levé vers deux heures et il est allé se mettre genoux devant le crucifix. Là il s'est mis faire des gestes, les dents lui claquaient. Je lui ai demandé ce qu'il avait; il m'a dit As-tu bien dormi? Je lui ài répondu Oui. Tu es contente Oui. Alors, a-t-il dit, il faut que je meure, mais d'abord je vais te manger. Aussitôt il s'est jeté sur moi, je suis tombée de mon lit et j'ai pu me traioer jusque dans le cabaret, où j'ai été déli vrée par un voisin. La pauvre femme a le nez moitié coupé, la joue et un doigt rongés. Elle est gràvement malade. On craint qu'elle ne succombe. Harschène porte les traces de son horrible lutte avec sa fem me. Son visage est tout déchiré. Il va être envoyé pendant un mois Armentières où il sera visité par des médecins spécia listes. Le Petit Nord ajoute les nouveaux détails suivants ceux qu'il a donné l'autre jour sur le crime horrible de Quesnoy-sur-Deule On se souvient peut-être qu'en faisant le récit complet du drame de Quesnoy-sur-Deule, nous avons dit que derrière la folie d'Harschène, il fallait peut-être chercher une autre explication ses forfaits. Notre enquête nous avait permis de mettre en avant le mobile de la jalousie. Nous avons aujour d'hui de sérieuses raisons pour croire que oous étious bien in formés. Les nouveaux renseignements qui nous parviennent de Quesnoy-sur-Deule persistent, en effet, établir, au moins dans uoe certaine mesure, la culpabilité d'Harschène, c'est-à- dire sa préméditation raisonnée. Il y a plus. Les médecins aliénistes qui l'ont déjà examiné ne se sont pas prononcés ca tégoriquement. Le sujet, doué d'une grande puissance de dissimulation, mérite qu'on l'observe longtemps et de très près. Le dernier mot n'est donc pas dit sur la question pri mordiale de cette affaire, et l'on ne peut pas savoir encore si celle-ci aura son dénoùment l'hôpital des fous ou la Cour d'Assises. Voici des circonstances qui tendraient justifier la jalousie d'Harschène dégénérée en rage furieuse. La femme a toujours été, paraît-il, de mœurs légères la petite Marie serait née pendant le veuvage de sa mère; dans le ménage, où ne régnaient ni l'ordre ni l'économie, il y avait aussi de mauvais exemples, si bien que la fille aînée aurait déjà, dit-on, fait parler d'elle. Autant de détails qui ont leur gravité. Il est vrai que Harschène ne paraît pas, beaucoup près, plus recommandable sous le rapport des mœurs. Mais il sem blait surveiller âprement sa femme, et souvent on le vit lui faire des scènes dans lesquelles il s'abandonnait tous ses in stincts de brute violente. Attendons. Le PETIT RENTIER est envoyé 52 Dimanches consécu tifs avec supplément et prime pour un franc. (Voir aux an nonces). II. Constipation. La constipation consiste dans la rétention des matières que le corps doit rejeter et elle a principalement pour cause une certaine paresse ou atonie des organes du bas-ventre qui retentissent les mouvements des intestins et ne donnent plus aux muscles orbiculaires la force nécessaire pour effectuer l'évacuation. Lorsque la nourriture absorbée séjourne trop longtemps dans les intestins, elle y provoque uoe pression désagréable, des gaz et des veolosités une tension pénible s'empare de tout le corps, surtout chez les personnes grasses, (cela se remarque aussi chez les femmes enceintes ou récem ment accouchées). Le malade se pleint de maux de tête, de douleurs dans la poitrine, le dos, le bas-ventre, l'estomac et les intestins, d'éblouissements, congestions, hémorrhoïdes, hypochondrie, hystérie, lassitude générale et manque d'appe- tit on considère ces maux comme indépendants,tandis qu'ils ne sont que secondaires et occasionnés uniquement par la constipation. La meilleure preuve en est que, dès qu'il y a évacuation, tous ces maux disparaissent. Cbez beaucoup de patients, la constipation, qui n était d'abord qu'accidentelle et passagère, devient un mal chronique par l'usage de purga tifs trop énergiques qui ont ramolli le* tuniques intestinales et les ont jetées dans l'alouie beaucoup même ne peuvent obtenir de selles que par l'emploi journalier et souvent répété de remèdes drastiques et violents. Il y en a bien peu qui se rendent compte du tort immense qu'ils se font par cet abus et quelles suites fâcheuses peuvent en être la conséquence Combien de graves maladies aurairot été évitées si l'on avait employé temps un remède conve nable Pour vaiocre rapidement et avec succès de maladies de ce genre et rétablir les fonctions intestinales, qu'on ne se serve que des remèdes qui agissent directement et doucement sur les muqueuses gastriques et intestinales et ramèneot la liberté du ventre par leur action émolliente Il est vrai de dire qu'ils sont rares les remèdes qui réunissent tous ces avantages, et cependant nous pouvons recommander comme tel les Pilules suisses, ioveotées dernièrement par le pharmacien R. Brandt Schaffhouse c'est un précieux remède domestique qui ne devrait manquer dans aucune famille. Ce remède éprouvé a déjà trouvé sa place parmi nous et nous apprenons avec plai sir que MM. les Pharmaciens Veys, rue de Lille, Vpres, et Vandeuberghe, Poprringbe, en oot la représentation. Les véritables Pilules suisses du Pharmacien Rich. Brandt, ne se trouvent qu'en boîtes métalliques contenant 40 pilules 1 fr. 25 la boîte, et en boites plus petites, pour essai, conte nant la pilules 50 cent, dans toutes les bonnes Pharmacies du royaume belge chaque boîte est munie d'une étiquette rouge portant la croix suisse et la signature du pharmacien Brandt. Administration des Contributions directes, douanes et accises. Par arrêtés royaux du 4 Juin, sont nommés receveurs des contributions di rectes et des accises Yves-Gomezée, M. Dambre, actuellement receveur des contributions directes, doua nes et accises de 7* classe Comines (village) domi nes, M. Schils, actuellement receveur des mêmes impôts Santvliet. Institution royale de NIessines. Un arrêté royal du 8 Juin, autorise l'admission l'institution royale de Messines de quarante-quatre filles de mili taires morts ou devenus invalides au service de l'Etat. Croix commémorâtive de 1830. Par arrêtés royaux la croix commémorative de 1830 a été décernée MM. le baron Adolphe De Vrière, ministre d'Etat, Julien, propriétaire, Recoulès, industriel, Bruges, et Delforge, Ch., employé de douanes War- nêton. groeiende op omtrent 4 hectaren, verdeeld in acht koopen, en gelegen binnen het Lust- hof van M. Henri CARTON, (bij de Potyze) groeiende in 8 voormelde partijen, en ver deeld in twee loten. kunnende dienen voor Boon-, Hoppe- en Tabakpersen. Paiementde Coupons Belges et étrangers, Renseignements surtous les tirages. Dpze verkooping zal plaats hebben door het ambt van den Notaris T1TECA, van IJper, den Donderdag 23 Juui 1881, om zes ure 's avonds juist. De bespreken naar gewoonte. KANTOOR NOTA RIS, TE WERV1CK. DONDERDAG 23 JUNI 1881, VAN: waarbarging fr. 60,000,000 vraagt bekwame agenten, zich te bevragen aan H. JONES, te Antwerpen. III? Il T\| I Guérison radicale en trois Il Util il ILo. mojs <je tempS f ij^ooO certificats. Les cas 1rs plus difficiles sont traiiés arec succès. Maladies des femmes, de mairicrs, etc., sont guéries sans pessaire. Soulagement im médiat. Une dame diplômé est attachée réta blissement. J. WAERSEGERS, bandagiste des hôpitaux et de l'armée, commandeur et chevalier de plusieurs ordres, pour services rendus l'humanité, ô'i, place Verte, Anvers. jm. va PRIX s 5 CENTIMES.

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Le Progrès (1841-1914) | 1881 | | pagina 3