HALLES DE TOTAGE T. LECLERCQ-RHÛDE, On demande iouer E. BODDAERT-VAN UXEM, Les 2 grandes conditions duBien-Ètre&de la Santé SAVON HUDSON PH ÉNICON VERBROEDFRINGSFEEST, Bibliographie. UN MAGASIN (au rez-de-chaussée), Changement de domicile. Md TAILLEUR, LE BOA AIR LA PROPRETE SPÉCIALITÉ Ch. Spilliaert-Bouchacrt, ENTREPRENEUR, PATISSIER, GRAND'PLACE, YPRES, a l'honneur d'annoncer au public, Îu'à dater de ce jour on peut,tous les limanches, se procurer des Glaces, 50 centimes le verre. actuellement rue des Bouchers, 45. Une fois employé, toujours employé. Préservatif sûr contre l'épidémie. A YPRES. GFJEENTE-KERMIS, GHELUVELT. BERICHT. ten 4 ure namiddag, ment Bruxelles chez le sculpteur S..., lequel fit en quinze jours de temps un saint-Joseph admirable, luisant comme une nouvrlle pièce d'un sou et dix fois plus gaillard coup sûr que l'ancien. Malgré cela, le nouveau saint n'obtint plus le même succès que son prédécesseur et, comme le curé faisait au charron lui-même la remarque qu'il ne le voyait plus guère prier le nouveau saint: Que voulez-vous, m'sieu le curé, lui répondit celui-ci ce n'est pas étonnant, je l'ai connu du temps qu'il était poirier dans mon jardin. Nouvelle tentative d'homicide, dimanche, Tournai, et dans des circonstances assez singulières. line batelière, stationnée l'écluse de Kain, revenait de Tournai, où elle s'était rendue pour approvisionnements. Il était environ 9 heures du soir et elle suivait le chemin de hàlage, lorsqu'elle fut accostée par un inconnu, proxi mité de l'abreuvoir. Cette homme paraissait avoir une vingtaine d'années il cheminait, portant d'une main ses souliers et de l'autre sa canne. Ouvrant conversation avec la batelière, il lui dit qu'il allait Pont-à-Chin et ferait volontiers la route avec elle le long de l'Escaut. La femme n'y objecta pas. Tout coup l'inconnu, sans ajoutix un mot et comme pris d'un accès de rage, tira de sa canne la lame d'acier qu'elle contenait et en porta plusieurs coups la batelière, qui tomba baignée dans son sang. Puis d'une course rapide il s'élança travers champs. De nombreux promeneurs circulaient encore cette heure sur le chemin de halage mais le fait s'est passé avec une telle rapidité que personne ne vit rien de cette scène. Du reste, la malheureuse victime de celte incompréhensible agression gisait là sur le sol, poussant des plaintes et récla mant les soins immédiats de ceux qui l'entouraient. Ils la transportèrent bord d'un bateau stationnant près d'un estaminet enseigné la Grenouille, où des soins lui fureot prodigués. Les blessures de la pauvre femme sont graves et fait suppo ser des lésions internes qui peuvent amener un dénoùment fatal. M. le docteur Masy lui a donné les premièrs soins. La victime est veuve et âgée de 57 ans. De son propre aveu, il n'y a eu de son agresseur ni tentatives de vol ni ten tatives de viol. A quoi attribuer ce crime? C'est la justice de le rechercher. (Vérité). Au Tiergarten de Pesth, un des gardiens de la fosse aux ours vient d'être dévoré par un ours brun après une horrible lutte. Depuis environ quinze ans, rapporte le Pester Journal, le gardien Stephan venait chaque matin, vers neuf heures, donner manger cet ours. A cette heure se réunissaient ordinairement devant la fosse quelques curieux qu'intéressait le spectacle du carnassier dévorant avec avidité les morceaux de viande qu'on lui tendait. Mardi, matin, 11 Juillet, l'ours allait recevoir une grande portoin de bœuf frais. Le gardien entra dans la fosse et s'avança vers l'animal qui s'approcha comme d'habitude, tout joyeux, pour apaiser sa faim. Stephan le caressa plusieurs fois en lui pessant douce ment la main sur le dos; mais en se retirant il eut la mal adresse de marcher sur la patte de la bête féroce. Un rugissement épouvantable fit trembler les airs, et l'ours s'élança avre fureur et en frémissant des dents sur l'homme qui n'eut pas le temps de fuir. En un instant, le malheureux fut couché sur le sol et saisi par l'ours avec une telle violence, qu'il ne put d'abord faire un mouvement. Cependant il parvint dégager ses mains, et alors s'engagea entre l'homme et la bête un combat désespéré qui glaça d'effroi les gardiens et la foule. Les vêlements du gardien pendaient autour de son corps en lambraux sanglants; une énorme blessure laissait voir sa poitrine entrouverte, tout le côté gauche était déchiqueté; le bras droit et le pied droit étaient également dans un état horrible. Les appels, les cris de désespoir de l'infortuné se mêlaient aux grondements sinistres de l'ours, dont la furie allait toujours en augmen tant. Avec des fourches, des haches, des barres de fer et des piques on arriva son secours mais il fallut des elfots surhumains pour retirer le malheureux des pattes de la bête féroce qui lui broyait les os. Ce n'était plus qu'une masse presque informe, et il ne tarda pas rendre le dernier soupir. La chaleur qui nous accable appelait le rapprochements historiques savoir que nos pères ont éprouvé souvent la même sonfiTrance est une légère consolation. Le National relève l'histoire des étés brûlants. Le plus terrible fut celui de 1793. Jamais peut-être la chaleur n'atteignit chez nous une in tensité semblable. Le printemps avait été froid, et on avait été forcé, en juin, de faire du feu dans les appartements. Dès Je 4 juillet, l'air commença s'échauffer, et, le 8, le termo- tre marquait 38 degrés l'ombre. Cette chaleur si forte,dit un contemporain, succédant un froid continu et aune sécheresse prolongée, produisit des effets désastreux. Dans les jardins et dans les champs, les lé gumes furent grillés; les fruits séchaient sur les arbres; les meubles et les boiseries craquaient le meubles se déjetaient la viande fraîche se corompait immédiatement la volaille et les bestiaux paraissaient accablés. Ce n'est que le 17 juillet qu'un orage violent, accompagné de grêle, mil fin ces cha leurs excessives. L'été de 1822 fût également ardent. En Alsace et Lorraine les champs furent désolés par les mulots et les campagnols. Cette année fut tellement précoce que le 28 juio on vendait de farine nouvelle. Puis vient l'été de 1852, où le choléra fil, rien qu'à Paris, 18,400 victimes. L'été de 1811, dit de la comète fut excellent pour les vignes. Le plus sec de tous les étés fut celui de 1845, où il ne tomba que 65e d'eau, c'est-à-dire 107' de moins que durant les étés moyens. Le National termine ce ta bleau commémoratif par une anecdote qui se recommande aux innombrables victimes de la chaleur: Philarèle Chasles avait, dit-on, trouvé uo moyen qui n'est pas la portée de toutes les imaginations. Quand le chaud de l'été lui devenait trop pénible, le charmant écrivain lisait le récit du passage de la Bérésina et il ne lardait pas se sen tir envahi par le froid. Un articule! du Journal de Oand, annonçait que les officiers de l'infanterie et du génie allaient être prochaine ment gratifiés du sabre fourreau d'acier. On nous assure que jusqu'à présent, il n'est pas question de cette nouvelle arme et que les avantages nombreux du fourreau de cuir sont au jourd'hui reconnus par tous les officiers. Terrible accident de chemin de ter. Le 13 Juillet, 52 versles de Rostow-sur-le-Doo, a eu lieu, télé- graphie-l-on aux journaux de Lemberg, un terrible accident de chemin de fer. Le train-poste de la ligne WladiLawkas- Rostovv a déraillé. Vingt-deux wagons ont été broyés, seize voyageurs tués et trente blessés. Le bureau météorologique du New-York Hérald, annonce Une dépression, qui probablement développera une dan gereuse éuergie, traverse au nord du 40". Elle arrivera sur les côtes nord de la Grande-Bretagne et de la Norvège entre le 18 et le 20. Plui». Du sud tournant au nord-Ouest, venta ou bourrasques, éclairs. BIBLIOTHÈQUE GILON. Un e nos meilleurs auteurs, M. Emile Leclercq, vient de publier dans la Bibliothèque Gilon, trois excellentes nou velles intitulées. Le fils delà voisine, Céleste et Evelina qu'il a réunies sous le titre de Fleurs de jeunesse. Ce nouveau recueil fera très bonne figure dans la collection Gilon, dont le succès s'accentue de jour en jour. Illustration Belge. Sommaire du numéro 32. 17 Juillet 1881. TexteArticle de modes ou peu s'en faut, Eugène Lan- doy. Nos Gravures. Juillet, poésie de Georges Roden- bach: Liège: Léon Dommartin Sa Hautesse le Prince Saïd- Bargash, sultan de Zanzibar, A. Bey. Conte sans titre, Camille de Roddaz. Le Caire et les bords du Nil, panora ma d'Emile Waulers, C. de R. Les mariages de Phélomè- ne, Henri Gréville. Mémento bibliographique, Léon Degeorge. De tout uo peu. Bulletin fioancier. Gravures Une heureuse famille. Juillet, (composi tion de A. Reins, gravure de Kellenbach et Ost. Vues de Liège. Place du grand marché Fontaine de la Vierge, place St-Paul; pont du Val-Benoit vue de la Meuse; île du Com merce (Dessin de Bulens, gravure de Lebrun et Liedel). Une enfant. Un duo comique. Se Hautesse le Prince Saïd-Bargasch, sultan de Zanzibar. (Dessin de C. Renard, tiré de l'album de Ad. Burdo). Le Musée du Jeune Age (4-25 frs. franco par an). Sommaire du N°. 12. GravuresLa Sentinelle endormie. Deux Voisins. L'Heure du Coucher. Problème moral. Texte La Sentinelle endormie. Deux Voisins. L'Heure du Coucher. La première Pipe. La Guerre par mi les Plantes. Robert-l'Epiègles. L'Escabeau hanté. Contentement passe Richesse. Pensée.Inconvénient de vivre d'Espérances. Vertus, Savoir, Talent, Tiois Ques tions.Fleurs-Montres et Baromètres. Ignorant comme un Ane. On s'abonne au Bureau du Journal. En préférence près la Gare. (HAUTE NOUVEAUTÉ ANGLAISE) ei-devaiit rue des Fripiers, 22, OBTENUE AVEC FACILITÉ ET ÉCONOMIE PAR LE qui lave le linge la perfection, lui donne une blancheur éblouissante sans l'attaquer jamais, nettoye merveilleusement les boise ries, parquets, vaisselle, argenterie. Avoir soin d'exiger le nom de Hudson, car il existe dans le commerce des contre façons sans valeur dont il faut se défier. OBTENU PARTOUT ET FACILEMENT PAR LE poudre désinfectante base d'acide phéni- que, d'un emploi agréable, sans danger et infaillible. Détruit coup sûr les mauvaises odeurs, miasmes, germes de maladies. S'emploie dans les appartements, chambres de malades, écuries, étables, chenils, basse- cours, bouches d'égouts, fosses d'aisance, En boîtes fer blanc de 3/4 kil., 75 c. Se vend en paquets de 100 gr., 15 c. 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Le Progrès (1841-1914) | 1881 | | pagina 3