Hise-à-Prix MEUBLES MEUBLES Bestiaux, BÉCOLTES. BESTIAUX, Instruments aratoires, objets Mobiliers et Récolt T. LECLERCQ-RHODE, ASSURANCES SUR LA VIE. Nouvelles locales. Nouvelles diverses. FONDS PUBLICS tenez-le pour certain, ce départ n'est plus un projet vague, c'est une décision prise déjà en principe, et dont la réalisation ne sera subor- donnée qu'à la marche ultérieure des événe- menls. H suffirait de quelque manifestation populaire pour obliger Léon Xlll faire ses malles, telles sont les prévisions de la presse pontificale; mais on peut s'étonner que, celte conviction acquise, la cour du Vatican ne fasse rien pour empêcher les éventualités qu'elle redoute, de se produire. C'est ainsi que l'on prépare Rome d'un cœur léger les cérémonies de canonisation de Saint-Labre. 11 est certain, dit le Journal de Gandque l'on ne peut imaginer un plus audacieux défi la raison et la conscience que cette glorification du célèbre verminiculteur. Une cérémonie sur la voie publique en l'honneur de Saint-Labre serait inévitablement dans n'im porte quelle grande ville du continent, le signal de contre-manifestations parfaitement justifiées. Il est impossible que la population de Rome, si légitime ment surexcitée par le souvenir des exactions et des cruautés papistes,tende patiemment la joue ce camouflet. La canonisation de Labre, le comble du catholi cisme, pourrait bien faire déborder la coupe et devenir cet événement prévu par le Monde comme le signal d'un exode pontifical définitif. Le Monde parle, il est vrai, de mines que les nihilistes-garibaldiens auraient Musées sous le Vatican, mais tous nous dit que ce n'est pas de cette façon-là que la papauté sautera. lampes imexplosibles «UjUOU LIÉT AR sont aujourd'hui en usage et pas une seule n'a occasionné le moindre accident. Van heden af zal men den Donder- dag Wafels bakken bij L. Dumortier- Dewette, in het Groot Hoekje. de Mtre Arsène'Y AN EECkE, NOTAIRE, A WERVICQ. Le VENDREDI 23 SEPTEMBRE 1881, 3 heures, au Café de la Gare, Plac0 de la Station, WERVICQ, des tliens ci-après désignés, situées WE/RVICQ, section de l'Amérique 1j Une jolie petite FERME et 2 het'ares, 36 ares, 30 centiares de FoJpls-Bâti, Verger et Labour, son D, nosm)3 97 inclus du cadastre. 1 hectare, 03 ares, 98 cen times de LABOUR et FONDS EMPHYTEOTIQUE, s0" D, nos 20a, 20b, 20c, 21, 88 et 89a du cadastre. Occupés par Dheygers-Vervaecke, et Charles Wellecan. 3° Une MAISON avec ses Dé pendances et 75 ares 50 centiares de Fonds-Bâti et Labour, section D, nos 243a et 243b du cadastre. Occupés par David Sénéchal et D'heygers- Vervaecke. Entrée en jouissance immédiate. Le MARDI, 27 SEPTEMBRE, 1 heure, la ferme occupée par M. Frédéric Leroux, Wervicq, (Basse- Flandre), VENTE DE ET RÉCOLTES. Le MERCREDI, 28 SEPTEM BRE, 1 heure, la petite ferme occupée par la veuve Roosebeke-Die- ryck,h Hollebeke, le long du chemin dit Klytgatstraet de Le MARDI, 4 OCTOBRE, 1 heure, la ferme de MM. Delannov, frères et sœur, Houthem, sur la Place, vente de PATISSIER, GRAND'PLACE, YPRES, a l'honneur d'annoncer au public, qu'à dater de ce jour on peut,tous les Dimanches, se procurer des Glaces, 50 centimes le verre. ACHAT ET TENTE chez A. Devarver, 87, RUE DE LILLE, YPRES. S'adresser M. Jules ONRAET, agent principal de la Compagnie d'assurances contre l'incendie Les Propriétaires Réunis 2, r a de la Prison, Ypres, où on peut obtenir gratuitement les prospectus et ren seignements. En cas de beau temps, la Musique du Corps des Sa peurs-Pompiers se fera entendre sur la Grand'Place, Jeudi, 15 Septembre, 7 l/2 heures du soir. Le 9 courant, un incendie a réduit en cendres une vieille ferme abandonnée, ainsi que les récoltes que la grange contenait, et qui appartenaient diverses personnes de Pro- ven. La ferme e-st la propriété de M. le cuté Ruyssen, de Bruges. La cause du sinistré est inconnue. Pertes pour le propriétaire 1,000 fr., pour les récoltes 375 fr. Rien n'était assuré Elle s'impose toute personne soucieuse de sa vie. On la trouve chez les principaux lampistes. Exiger la marque LIETAR. On lit dans la Chronique On a beaucoup remarqué, pendant les grandes manoeu vres qui viennent d'avoir lieu dans les provinces de Namur et de Luxembourg, la crânerie et l'assiduité arec lesquelles m.Olin, représentant de Nivelles, a suivi toutes les opérations. A cheval avec l'état-major, il a bravement affronté la fatigue d'abord, les éléments conjurés ensuiteCette démonstra tion militariste n'est pas un vain jeu le bruit courait, il y a quelques jours, Marche, que M. Olin vise le portefeuille de ministre de la guerre. L'Economie Financière paraissant le Dimanche avec 16 pages. Prime gratuite (voir détails aux annonces). On mande de Liège, Lundi 12 Les eaux de nos rivières, qui avaient crû Samedi d'une fa çon fort iaquiétante, ont commencé baisser hier matin. Les prés de Droixhe et les champs-des-Manœuvres, qui étaient sous l'eau, sont maintenant dégagés. Il est heureux que la pluie ait enfin cesse. A l'écluse d'Avrov, la cote indiquait hier soir, 4 heures, 6lra20; ce matin S heures, elle est descendue 60nl75. C'est, depuis avant-hier, une baisse de 90 centimètres. A Verviers, les eaux de la Vesdre avaient considérablement baissé Samedi et toute inondation avait cessé. La vallée de l'Ourthe a dû être particulièrement éprouvée, 'a en juger par les débris de toutes sortes que l'on voyait en traînés: foin, paille, troncs d'arbres, planches, fagots, etc. La campagne d'Aogleur était avant-hier complètement re couverte parles eaux. Les récolles des pommes de terre sont perdues. C'est navranlt A Spa, la crue du VVayal a causé de grands dégâts aux propriétés riveraines. Depuis des aunées, ou n'avait plus vu semblable crue Spa. Au boulevard des Anglais, les magnifi- ques propriétés de 11M. Xbafflaire.Duvivier-Sterpin et Lieute nant ont été complètement ravagées par les eaux. Terres par terres, fleurs, arbustes, tout a été arraché et entraîné par le courant. Les prés de Qualre-Heures formaient un vaste lac et sur tout le parcours des voûtes, en ville, les caves ont été inon dées. Le PETIT RENTIER est envoyé 52 Dimanches consécu tifs, avec supplément, pour un frauc. (Yoir annonces). Encore les tentures artistiques. M. Leiorey a exposé dernièrement devant la Société d'Encouragement les procédés qu'il emploie pour établir les tapisseries peintes sur éloffrs applicables la décoration des appartements. Le lissage et l'apprêt des tissus, opérés par les procédés ordinaires de l'industrie, ne doivent donner lieu aucune observation. Les couleurs employées sont celles que l'expérience de l'art du teinturier a fait connaître comme les plus solides et résistant le mieux, soit l'air et la lumière, soit au lavage et au nettoyage que doivent subir les étoffes. Comme l'opération de coloration doit se fairr pour ainsi dire du coup, les cou leurs employées portent avec elles chacune leur mordant particulier. La méthode spéciale de peinture doit tenir compte des observations suivantes Le dessin repassé finement au crayon Conté, et brossé avec soin, est peint comme on le ferait l'aquarelle, en réservant jusqu'au dernier moment les parties claires ou les lumières, et eu ayant soin de laisser sécher le premier ton posé, avaut d'eu juxtaposer un autre, lorsqu'on voudra avoir des tons bien tianches. Il faut agir, au contraire, pendant que le ton est mouillé pour les tons que l'on voudra fondre ensemble glacer en dernier lieu les parties claires; eniever certains effets lumineux biusques avec le grattoir, soit au moment où la couleur, mêlée de gomme, commence prendre, où encore dans les parties fortement gommées, lorsqu'elles sont com plètement sèches; pour obleuir de giandes intensités, les tons seront doublés en les passant également l'envers du tissu. Pour obtenir les clairs transparents et bien francs, passer le ton très léger des deux côtés. Le fixage est opéré par les procédés ordinaires de vapori- sage. Le tissu peint est suspendu dans une cave humide pen dant le temps nécessaire pour que les peintures reprennent une certaine moiteur. Le tissu est ensuite accroché dans la cage d'une cuve vaporisage, en formant une spirale parallèlement une toile, ou doublure, qui a pour objet d'éviter que les couleurs, en se liquéfiant, ne déposent l'envers du tissu des taches qui troubleraient l'harmonie des tons de la peinture. Le tissu ainsj placé et renfermé dans la cuve, de façon assurer la répartion complète de la vapeur, doit y séjourner pendant un temps plus ou moios long, suivant la nature des tissus et de la peinture. Les matières colorantesde la peinture sont aimi liquéfiées nouveau, mises en contact plus intime avec le tissu, it avec l'aide de la température élevée et humide qui les pénètre, elles sont absorbées et fixées sur les fibres. Ce résul tat obtenu, il suffit de laisser refroidir et sécher bs peintures qui restent inaltérables. Les tissus sont repris, exposés l'air, puis soumis un lavage énergique, qui les dégage des parties superflues de couleurs, gommes, etc., qui n'ont pas été fixées ils passent ensuite par une essoreuse et sont séchés aussi promptemeut que possible. Les pièces mises en cet état sont soumises la révision de l'artiste peintre^qui, généralement les fait tendre nouveau sur châssis pour faire les retouches, les rehauls opérés géné- lalement la main et l'achèvement définitif. Après chaque relouche de l'artiste, il est nécessaire de faire subir nouveau aux tissus les différentes opérations précédemment décrites. Enfin, les pièces terminées sont tendues régulièrement, reçoivent l'envers, un aprêl léger l'amidon, la fécule et la gomme adraganle, additionnés d'un peu d'alcool. Elles sont alors en état d'être données en livraison et présentent uue solidité aussi assurée que celle des anciennes tapisseries. WIBmfTOE Paiement de Coupons Belges et étrangers. Renseignements surtous les tirages. 11

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Le Progrès (1841-1914) | 1881 | | pagina 3