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Nouvelles diverses.
RE VALENT A ARABICA
in het Belle Gorfshuis.
FONDS PUBLICS
ACHAT ET VENTE
chez A. Devarvir,
Appétit, Digestion, Sommeil,
Santé et Energie tous 'ZéS""™
OP VRIJDAG 2" DECEMBER 1881,
ten 4 urc namiddag.
1° Van de levering voor 1882 van
16,000 kilograminen Vleesch.
2500 tôt 3000 kilogr. Rijst.
1200 kilogr. Zout.
500 kilogr. Gist.
600 kilogr. Koolzaad-olie.
1700 kilogr. Bruine Zeep.'
150 kilogr. Keersen.
200,000 kilogr. Stovekolen.
100 Doodkisten,
en 2° van den afkoop van omtrent
1500 kilog. Gruis.
150 hectoliters Bakkerskolen.
BURGERLIJKE GODSHUIZEN
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Zware Eiken, Iepen, Popelieren,
ABEELEN EN ESSCHEN
ter hofstede van sr Ernest Paret,
OPDONDERDAG 22 DECEMBER 1881,
ten 12 ure 's middags, door het arabt
Jvan den Notaris T 1 T E C A, te Boe-
singhe.
VERKOOPING
Op VRIJDAG, 9- DECEMBER1
1881ten 4 ure namiddag, zal het
Bestuur der Burgerlijke Godshuizen,
te Yperen,in zijne Vergaderingszaal
Openbaarlijk Verkoopen, in ééne zit-
ting, en in een of drie koopen. Een
Huis met erve, cour en geneven, ge-
legen in de Paddepoelstraat. getee-i
kend n8 25 en 27, gediend hebbende
Yoor linnen wasscherij laatst ge-
bruikt door Cecilia Marquette weduwe
Allaer.
De kooper zal de helft van den
koopprijs in zijne handen mogen b©4
houden voor den termijn van 15
jjaren, aan 4 's jaars.
De voorwaarden berusten bij den
Notaris TITECA, te Yperen, en in het
kantoor der BURGERLIJKE GODS
HUIZEN.
lin MAGASIN (au rez-de-chaussée),
87, HUE DE LILLE, YPRES.
M. le Bourgmestre répond que les entrepreneurs de
la canalisation restent en défaut de remettre la voirie
en bon état, malgré les nombreux avertissements qui
leur ont été adressés, mais que des mesures seront
prises pour donner satisfaction aux plaintes fondées qui
s'élèvent de toutes parts contre le mauvais état de la
voirie.
Au chapitre Instruction publique, M. le Président
fait remarquer que des changements ont été apportés
au libellé ordinaire du projet de budget. Précédemment
les chiffres y mentionnés comprenaient d'une part plu
sieurs postes qui n'avaient pas de rapport direct avec
l'Instruction, et de l'autre d'autres postes qui ne repré
sentaient pas des dépenses effectives de la caisse com
munale par exemple, le revenu des fondations, dona
tions, etc. A la suite de l'abus constaté qu'ont fait les
adversaires de l'Administration communale de cette
situation pour tronquer les chiffres des dépenses et
présenter celles-ci comme s'élevant une somme
exagérée, le Collège a estimé qu'il y avait lieu de
déjouer ces manœuvres en présentant ses chiffres sous
la rubrique Instruction publique, de manière
rendre impossible toute confusion et spécialement
faire voir, au premier coup d'œil, le montant de la part
d'intervention de la ville.
Fonds commun. M.le Président fait remarquer que
le Collège ne propose aucun subside pour le Bureau de
Bienfaisance. Il estime que le Bureau Charitable possè
de, en comparaison avec d'autres villes, des ressources
suffisantes et que dans tous les cas, les allocations de
secours doivent être strictement limitées ces ressour
ces. Il y a, sous ce rapport, des réformes accomplir
de manière supprimer graduellement et successive
ment, les secours permanents et en arriver remplacer
ceux-ci par des secours temporaires et strictement
limités aux besoins du moment.
Fête communale. M. le Bourgmestre prévient le
Conseil qu'une partie de la somme de 6,000 fr. proposée
devra servir combler le déficit du crédit prévu au
budget de 1881Il importe de se renfermer strictement
dans les limites du budget et il faudra de toute néces
sité restreindre ces dépenses qui tendent augmenter
chaque année.
M. de Stuers demande s'il n'y aura pas de fêtes spé
ciales l'occasion de l'inauguration des Peintures mu
rales de M. Pauwels.
M. le Président répond que pour le moment il n'y a
pas songer organiser des fêtes qui occasionneraient
une dépense fort considérable.
Construction de trottoirs. Un crédit, de 1,500 fr.
est proposé pour cet objet. Il s'agit du trottoir le long
de la route d'Ypres Zonnebeke, depuis la ville jusqu'à
la Fotyze. La Province ayant refusé d'intervenir dans
les frais de cette construction, bien qu'il s'agisse d'une
route Provinciale, la ville, eu égard aux avantages con
sidérables que la construction de ce trottoir présente
rait pour les habitants de la ville et des hameaux voi
sins, en a pris les frais sa charge exclusive. La
Province a refusé même de se charger de l'entretien.
Art. 112. Restauration de la toiture des Halles.
Crédit 1,000 fr. M le Chev. Hynderick préconise, pour
cet objet, le système de l'adjudication publique.
La discussion des articles est terminée.
M. le Président met aux voix l'ensemble du budget
qui est adopté l'unanimité.
En recettes la somme de fr. 357,504-99
En dépenses la somme de fr333,828-14
Excédant fr. 23,676-85
La séance est levée 6 h. 30 m.
Le parquet d'ïpres a fait procéder l'arrestation du
nommé Arnaud Degraeve, domestique, qui a pénétré par es
calade dans la maison de Louis Faes, boutiquier Oosltlele-
ren, où il était en service. Ses maîtres étaient absents. Degrae
ve a fracturé un tiroir et enlevé une somme de 4 5 fr.
Le 21 dilo, oo a retiré des eaux d'un fessé Crombeke,
le cadavre du uoinmé Charles Cornette, 36 ans, fermier en
cette commune. Ce malheureux atteint du mal caduc, est tom
bé accidentellement dans ce fossés et s'y est noyé.
Grèce M. le minister de l'intérieur, le numismatique
vient d'obtenir un magnifique local la Bibliothèque royale.
Désormais, nos anciennes monnaies et nos splendides médailles
d'art s'étaleront aux yeux des visiteurs dans un local spéciale
ment approprié cette destination.
Echo du Parlement.)
De l'abus des périphrases.
Totor sept ans, et pour célébrer l'apparition de sa pre
mière dent toute neuve, on a donné un grand dîner.
Le repas, dont le jeune homme est le héros, se prolonge
outre mesure, et Totor annonée, bruyamment et sans amba
ges, qu'il a besoin d'aller s'asseoir sur ua meuble tout intime.
Papa lui fait observer qu'on ne dit pas des mots pareiL, et
qu'il faut dire: Papa, je voudrais sortir.
Totor, qui a très bonne mémoire,fait son profit de l'observa
tion, et quelque temps après, en semblable occasion:
Papa, je crois que je suis sorti dans mon pantalon.
Un vol audacieux a été commis la semaine dernière dans
le bureau de poste auxiliaire de Hatton Garden Londres.
Vers cinq heures, le gaz fut éteint tout d'un coup. Quand il
fut rallumé, on s'aperçut que deux sacs de dépêches avaient
disparu. L'un d'eux coutenait des lettres ordinaires; l'autre
des lettres recommandées qu'on allait expédier par le courrier
du soir.
Le voleur avait réussi s'échapper.
Dans le sacs des lettres recommandées se trouvaient plu
sieurs paquets renfermant pour deux millions de diamants
destination d u continent.
Aucune arrestation n'a eucore été opérée.
Un crime a été commis dimanche Leupeghem; près
d'Audenarde. Voici les détails donnés par la Flandre libé
rale
u Vers 6 heures 15 du matin, le garde-barrère Vermeulen,
en se rendant son poste a Audenarde, entendait des cris
désespérés qui venaient du côté de l'Ëscaul. Il se dirigera vers
cet rsl endroit et apperçut au milieu du fleuve une femme
entralnee par le courant. Elle était bout de forces et allait
infailliblement périr, quand Vermeulen parvint la ramener
au bord.
u Après quelques soins énergiques, elle reprit ses sens rl
raconta que, se trouvant seule la maison, un vagabond était
entré et lui avait demandé la charité. Il se dirigea du côié de
la niche du chien, qu'il parvint enfermer dans une écurie
attenante. Il rentra alors dans la maison et enleva une bourse
contenant 150 fr. En ce moment la femme, qui avait continué
vaquer aux soins du ménage, s'aperçut de la présence du
voleur et cria au secours; une lutte s'engagea; le vagabond
parvient terrasser la malheureuse, la traîuer par le cheveux
jusqu'à l'Escaut et la précipiter dans le fleuve.
Le parquet d'Audenarde a fait une descente sur les lieux.
La gendarmerie de Renaix a amené la prison d'Aude
narde le nommé Leblanc, auteur présumé du crime; il répond
entièrement au signalement donné par la victime. Leblanc
de déplorables antécédeuts.
sans purges et sans frais, aux adultes et aux enfants, par la
délicieuse farine de Santé, dite:
Ois RARitV, de Londrea. DeM million* de Cures.
Depuis 184!) elle guérit les mauvaises digestions (dyspep
sies), gaslnies, gaslroeiiiérilcs, gastralgies, phthisie, constipa
tions, hém.irroïdes, glaires, flatuosilés, ballonnements, palpi
tations diari fiée, dyssenlerie, gonflement, élourdissements,
bourdonnements dans les oreilles, acidité, pituite, maux de
tète, migraine, surdité nausées et vomissements après repas
ou en grossesse; douleurs, aigreurs,congestions, inflamma
tions des intestins et de la vessie, crampes et spasmes, insom
nies, fluxions de poitrine, chaud et froid, toux, oppressions,
asthme, bronchite, phthisie (consomption),dartres, éruptions,
abcès, ulcéraiions, mélancolie, nervosité,épuisement,dépéris
sement, rhumatisme, goutte, fièvre, grippe, rhume, catarrhe,
laryngite,échauffemerit, hystérie, névralgie, épilepsie, paraly
sie, les accidents du retour de l'Age, scorbut, chlorose, vice et
pauvreté du sang, ainsi que toute irritation et odeur fiévreuse
en se levant^du après certains plats compromettants: oignons,
ail., ou boissons alcooliques, même après le tabac; faiblesses,
sueurs diurnes et nocturnes, bydropisie, les désordres de la
gorge, de l'haleine et de la voix. Egalement comme nourritu
re des enfants dès leur naissance elle est préférable tout au-
re aliment. Evitez les contrefaçons et exigez la marque de fa
brique Revalenta Arabica Du Barry
Monsieur.Dieu soit béni! votre Revalenta m'a |sauvé la
vie. Mon tempéramment, naturellement faible, était ruiné par
suite d'une horrible dyspepsie de huit ans, traitée sans résul
tat favorable par les médecins, qui déclaraient que je n'avais
plus que quelques mois vivre; quandl'éminente vertu devo-
tre Revalenta m'a rendu la santé. A. Bruneliêbe. curé.
Cure No 45.270.
Phthisie. Roberts d'une comsomption pulmonaire arec
toux, vomissements, constipation et surdité de 25 années.
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2 fr. 25l/2 kil., 4fr.; i kil., 7 fr.; 6 kil., 36 fr. 12 kil.,
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tasses, 2 fr. 25 c. de 24 lasses, 4 fr. de 48 tasses 7 fr.de
420 tasses, 16 fr. de 576 tasses, 70 fr. ou environ 4 2 c. la
tasse. Envoi contre bon de poste. Les boîtes de 36 et 7(1 fr.
franco. Dépôt chez MM. Frysou-Vanoutrive, rue de D.x-
mude, et Veys, pharmacien, rue de Lille, 13, et partout chez
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41,400
4,400
600
200
500
7,000
30 50
23 42
24 00
26 00
25 00
6 00
300 00
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