SANTÉ A TOUS
REVALENTÀ ARABICA.
Actes officiels.
VILLE «'YPRES.
L'I.MOt COMMERCIALE «'YPRES
L'AdDiinisiration Communale pré
vient les habitants que le rôle pour
l'exercice 1882, pour le recouvrement
de la Taxe Communale sur les Che
vaux, est provisoirement déposé au
Secrétariat l'inspection des contri
buables.
Ceux qui se croiraient lésés sont
admis faire valoir leurs réclama
tions devant le Conseil Communal,
en déans la quinzaine.
Fait Ypres, le 29 Avril 1882.
est bien certain que la justice n'a pas besoin d'être sollicité
pour accomplir son devoir jusqu'au bout.
l'instruction de l'affaire est d'ailleurs en pleine activité,
non seulement en Belgique, mais encore h l'étranger!
l'avis suivant, communiqué au journaux parisiens en
fait foi
Un somme de 1,700,000 Francs, formée de différentes
valeurs, a été détournée par un nommé Léon Bernard, âgé
de trente-six ans, au préjudice de la caisse diocésaine de
Tournai (Belgique).
Je suis chargé par M. Blancard des Salines, juge
d'instruction au tribunal de la Seine, de rechercher si, de
puis le 5 juin 1881, l'inculpé ne vous a pas expédié ou
fait envoyer de New-York, de Québec, de Montréal (Cana
da), de Chicago ou de tout autre endroit, des valeurs
quelconques pour être vendues, ou une somme" d'argent k
titre de dépôt.
J'ai l'honneur de vous prier de vouloir bien me faire
(connaître aussitôt que possible la nature de ces valeurs, si
elles ont été vendues, quelle époque, k qui, quel a été le
produit de la vente et ce qu'est devenu ce produit.
Quant aux sommes qui vous auraient été remises en dé
pôt, k quel chiffre s'élèvent-elles Les ayez-vous encore ou
qui les avez-vous livrées?
Agréez, etc. Clément,
Commissaire de police aux
délégations judiciaires.
Cet avis a été transmis k tous .les agents de change,
banquiers, changeurs, etc., de Paris.
Parmi les documents saisis dans les bagages de l'avocat
Goodhue, se trouvent deux brochures intitulées Docu
ments relatifs l'histoire religieuse du diocèse de
Tournai pendant les années 1879, 1880 et 1881, par
le chanoine Bernard. Ce s brochures ont été éditées k New-
York.
Quelques-unes de ces brochures portent des dédicaces.
A qui s'adressent-elles That is (lie question Nous
pourrions ffeut-être y répondre.
Nous apprenons qu'un officier de la police judiciaire est
parti pour l'Amérique du Nord, k la recherche de Bernard.
Les nouvelles d'Ostende annoncent que les tempêtes
qui ont sévi ces dernière jours ont causé des malheure fort
graves. Des toitures entières ont été enlevées et jetées k de
grandes distances; des maisons en construction ont été to
talement démoulies; des arbres ont été déracinés par suite
de l'ouragan.
Une chaloupe de pèche dé Trouville a remorqué un ba
teau de crevettes d'Adinkerke avec deux hommes. -
Le bateau de pêche Hector, patron David, est supposé
perdu corps et bien. Ce naufrage fait seize orphelins.
La même tempête a également sévi k Anvers. On n'a
heureusement aucun malheur k déplorer. Les navires ont
fort bien tenu tant en rade que dans le port.
A plusieurs époques de l'année, mais surtout vers le
printemps, beaucoup de personnes souffrent de malaises et
d'embarras d'estomac, qui, sans altérer la santé, inquiètent
et, tourmentent. Le remède est connu, c'est la purgation.
Malheureusement pour se purger, il faut avaler une méde
cine plus ou moins agréable et perdre une journée. La
Poudre de Rogé permet k chacun de préparer facilement
une boisson purgative, agréable et qui, sans occasionner ni
soif ni colliques rend aux organes de la digestion leur ac
tivité et leur énergie, sans empêcher de vaquer k ses affai
res. La Poudre de Rogé renferme tous les éléments, l'eau
excepté, de la célèbre iîmonade dont' la composition a été
approuvée par l'Académie de Médecine de Paris. De nom
breuses observations ont démontré qu'elle agit sûrement, et
sans provoquer de vomissemements. Pour les personnes
délicates et les enfants, un seul flacon suffit k préparer
plusieurs verres d'une limonade purgative et rafraîchis
sante.
Les journaux de Paris parlent d'une étrange dispari
tion, celle de M. Soutzouki, secrétaire de la légation du
Japon k Paris. Le service de la sûreté venait de lancer des
agents k sa recherche.
La dernière fois que M. Soutzouki a été vu c'était di
manche dernier' Il dîna ce soir-là avec son collègue et
compatriote, M. Tani. Il se comporta comme son ordi
naire, causa avec une entière liberté d'esprit des affaires de
la légation, avec enjouement des mille potins du jour, des
articles de journaux, etc.
Après le dîner, il reçut la visite d'un ancien huissier de
la légation, un nommé Louis, qui est aujourd'hui au ser
vice d'un général de division, M. Zouzouk après s'être
entretenu en particulier pendant quelques minutes avec cet
homme, il lui fit servir un verre de kirsch par son domes
tique, Auguste. Ensuite. Il sortit depuis ce moment, huit
heures du soir, personne ne Ta plus revu.
Les amis de M. Soutzouki parlent d'une certaine liaison
que leur compatriote avait, avec une dame qui avait con
servé des relations dans une monde très interlope et (as
sit il pour fréquenter encore de nombreux amis. Ils suppo
sent que M. Soutzouki a pu être attiré par les amis de celte
dame, dans quelque guet-apens où Ton se serait saisi de sa
personne pour faire du chantage.
M. iSoutzo ïki aurait résisté et on l'aurait tué.
D'autres versions veulent que le disparu se soit suicidé
dans un moment de défaillance mentale. Il avait, dit-on,
subi des pertes considérables la Bourse. Lé krach, d'après
ceux qui l'approchaient de très près, aurai emporté une
grande partie de sa fortune. Ces pertes avaient affecté son
esprit jusqu'à l'égarer. Il semblait, depuis deux mois, être
atteint de la'folie des richesses. Ses projets étaient en com
plète disproportions avec ses moyens. Parfois, il voulait
acheter un hôtel aux Champs-Elysées; une autre fois, il
conseillait k son valet de chambre, Auguste, de se marier,
lui promettant de le doter richement. Ces fantaisies invo
lontaires accusent une rupture de l'équilibre de ses fa
cultés.
Il n'est donc pas invraisemblable que M. Soutzouki se
soit tué dans un subit accès de désespoir.
Il était attaché depuis dix ans la légation japonaise, et
habitait avenue d'Eylau, avec trois de ses collègues et com
patriotes, MM. Karoakami, Maïda, Tani. Il prenait chaque
jour ses repas en compagnie de ces trois messieurs.
M. Soutzouki était très connu et passait pour un très ai
mable homme. Sa disparition inquiète vivement les nom
breux amis qu'il a k Paris.
D'après le Voltaire M. Soutzouki serait parti pur
Saigon.
Dix-huit congréganistes qui se sont présentés aux
examens k Moulins pour obtenir le diplôme d'instituteur
ont tous échoué. L'un deux, dans une dictée de deux pages
a fait 43 fautes d'ortographe.
Tritnina cic (trcmiècc instance. Par arrê
té royal du 30 avril, M. Decra, candidat notaire et can
didat huissier Poperinghe, est nommé huissier près
le tribunal de première instance séant Furnes, en
remplacement de son père, décédé.
rendue sans méde
cine, sans purges
et sans frais, par la délicieuse farine de santé Du
Barrv de Londres, dite
Trente-cinq ans d'un invariable succès, en
géurissant les dysppsies, mauvaises digestions,
gastrites, gastralgies, glaires, vents, aigreurs,
acidités, palpitations, pituites, nausées, ren
vois, vomissements, constipation, diarrhée, dys-
senterie, coliques, phthisie, toux, asthme,
étouffements, étourdissements, oppression, con
gestion, névrose, insomnies, mélancolie, diabète,
faiblesse, épuissement, anémie, chlorose, tous
désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix,
des bronches, vessie, foie, reins, intestins,
membrane muqueuse, cerveau et sang, ainsi
que toute irritations et toute odeur fiévreuse en
se levant, ou après certains plats compromet
tants, oignons, ail, etc., ou boissons alcooli
ques, même après le tabac. C'est en outre la
nourriture par excellence qui seule réussit a
éviter tous les accidents de l'enfance. 90,000
cures, y compris celles de Mme la duchesse de
Castlestuart, le duc de Pluqkow, Mmc la mar
quise de Bréhan, lord Stuart de Decies, pair
d'Angleterre, M. le docteur-professeur Wurzer,
etc., etc.
N° 63,476 M. le curé Comparet, de 18 ans
de dyspepsie, de gastralgie, de souffrance de
l'estomac, des nerfs, faiblesses et sueurs noc
turnes.
Cure n° 99,623. Avignon, 18 Avril 1876
La Revalenta Du Barry m'a guérie, k l'âge
de 61 ans, d'épouvantables souffrances de
vingt ans. J'avais des oppressions des plus ter
ribles, k ne plus pouvoir faire aucun mouve
ment, ni m'habiller, ni désabiller avec des
maux d'estomac jour et nuit et des insomnies
horribles. Contre toutes ces angoisses, tous les
remèdes avaient échoué la Revalenta m'en a
sauvé complètement. Borrél, née Carbon-
netty, rue du Balai, 11.
Cure n° 98,614 Depuis des années, je souf
frais de manque d'appétit, mauvaise digestion,
affections du cœur, des reins, delà vessie, irri
tation nerveuse et mélancolie tous ces maux
ont disparu sous l'heureuse influence de votre
divine Revalenta. Léon Pèyciet, instituteur
Eynanças (Haute-Vienne).
N° 49,812Mn,e Marie Jolie, de cinquante Agent général pour la Belgique: M. Emile
ans de constipation, indigestion, nervosité, in- TIMMERMANS, rueRouppe, 6 et 8, Bruxelles.
,""v ,lQ,ne Dépôt Ypres, chez FRYSOUYVANOUTRIVE,
sonmies, asthme, toux, tlatus, spasmes et nau
sées. N° 46,270 M. Robert, d'une consomp
tion pulmonaire, avec toux, vomissements,
constipation et surdité de 23années. Numéro
49,322 M. Baldwin, de l'épuisement le plus
complet, paralysie de la vessie et des membres,
par suite d'excès de jeunsse.
Curen"83,424. Bruxelles,le23Juin 1874.
Mon plus jeune garçon, abandonné k l'âge de
cinq mois par les médecins, ne voulait prendre
ni ne digérait aucune nourriture, et se trouvait,
par conséquent, dans un état de faiblesse qui
mettait son existence en danger; c'est alors que
je lui fis prendre la Revalenta, qu'il mangea
avec appétit, et il a continué pendant plusieurs
moisk s'en nourrir exclusivement. Aujourd'hui
de 11 ans, il est très-bien portant.
Deswert, au Conservatoire, rue Vonck, 61.
M. le docteur F.-W. Beneke, professeur de
médecine lUniversité, fait le rapport suivant
la clinique de Berlin, le 8 Avril 1872:
Je n'oublierai jamais que je dois la pré
servation de la vie d'un de mes enfants la'
Revalenta.
L'enfant, dans son quatrième mois, souf
frait, sans cause apparente, d'une atrophie com
plète, avec vomissements continuels qui résis-
taient k la diète la plus soignée, deux nour-j*
rices et k tous les traitements de l'art médical. I
La Revalenta a immédiatement arrêté les vo
missements et complètement rétabli sa santé en
six semaines de temps. Mes expériences depuis
ont eu le même succès.
Cure n° 73,123 M. et M" Léger, 128, rue g
Oberkampf, k Paris, d'une Maladie du foie,
avec vomissements et diarrhées horribles qui j|
avaient résisté tout traitement pendant 16
ans. Cure n° 79,721 Mme Chauvet Pizzala,
d'anémie d'épuissement et A'étouffements. g
Quatre fois nourrissante comme la viande,
sans échauffer, elle économise encore 30 fois son. Y
prix en médecines. En boîtes 1/4 kil., fr. 2,25; Y
1/2 kil., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 12 kil., 70 fr. Les g
Biscuits de Revalenta en boîtes de 4, 7 et|â
16 fr. La Revalenta Chocolatée 1/2 livre, jw
fr. 2,23 1 livre, 4fr. 2 livres, 7 fr. Envoi M
contre bon de poste, les boîtes de 36 et 70 fr. r
franco. Dépôt partout, chez les pharma- j
ciens et épiciers. Du Barry et Cie, limited.
pharmacien, rue de Dixmude BECUWE
pharmacien Moorslede chez Ch. BOSTYN,
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Les Bourgmestre Echevins,
L. VAAHEl'LE.
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Le Secrétaire,
FERD. VAN" DAELE.
située près de la Station,
f le long de la chaussée d Ypres Bailleul, passé les rails du chemin de fer
Magasins
(le Matériaux pour
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