Encre Belge perfectionnée,
GERARD -WATREMEZ
SANTÉ A TOUS
REVÀLENTA ARABICA.
Bibliographie.
du Notaire VICTOOR,
PREMIÈRE COUPE DES HERBES,
YVarnêton, Pont-Rouge,
PHOTOGRAPHIE
S centiemen.
L'UNION COMMERCIALE D'APRES
LUNDI 19 JUIN 1882,
quatre heures de relevée, au caba
ret tenu par Ferdinand Vigoureux,
YVarnêton, Pont-liouge,
Vente publique
de 7 h. 03 a. 93 c. de Prés de Lys,
près de la ferme occupée par Jules
Lescroart-Delebecque, appartenant
l'Institution Royale de Messines.
1 située près de la Station,
le long de la chaussée d'Ypres Bailleul, passé les rails du chemin de fer
travailler sur leur champ la cueillette du houblon et qui
avaient pu ainsi se mettre au courant des habitudes de la
maison, étaient partis depuis peu de jours sans se faire con
naître autrement que par les prénoms qu'on leur donnait;
ces individus parlant un flamand tout autre que celui en
usage dans la contrée, portaient l'un une casquette en soie,
semblable celle dont il a été parlé plus haut; l'un d'eux
possédait un essuie-main tel que celui dont on s'était servi
pour bâillonner sa mère et de plus celui qui fut reconnu plus
tard comme étant Willemet, ne buvait que du café noir.
Ces constatations furent d'un grand secours dans l'instruc
tion de la cause et la justice put enfin parvenir k établir
l'identité au moins de l'un des accusés Willemet. Pen
dant un certain temps les recherches pour parvenir décou
vrir les assassins ne purent aboutir, tantôt on les crut en
France, tantôt on croyait trouver leur piste soit Bruxelles,
soit aux environs. Un instant môme on eût lieu de soupçon
ner que les auteurs du crime étaient au nombre de trois.
Enfin la justice parvint mettre la main sur le dit accusé
qui se tenait aux environs de Diest.
Une fois arrêté et mis en présence des témoins qui avaient
constaté sa présence en compagnie de deux autres individus
dans la contrée, il finit par faire des aveux complets, sauf
qu'il ne voulut jamais reconnaître qu'il eut volé avec son
complice autre chose que les bijoux et des effets d'habille
ment. De l'argent cela ne valait pas la peine d'en parler.
Quant De Wit, après de longues recherches, grâce la
dénonciation d'un nommémis d'abord en prévention
avec les deux accusés ici présents, on sût enfin qu'il était
pensionnaire au Dépôt de mendicité de Hoogstraeten et c'est
là que se fit son arrestation. De Wit ne tarda pas entrer
son tour dans la voie des aveux.
Willemet avait servi dans l'armée, avait été l'ordonnance
d'un officier supérieur et entra ensuite comme cocher au
service d'une des notabilités de l'aristocratie bruxelloise.
Il partit ensuite pour la France, où il fut admis comme do
mestique chez un brasseur, mais il y encourut une condam
nation pour vol. Willemet n'eût depuis lors qu'une existence
vagabonde. Il avait l'air d'un homme bonnes manières et
aujourd'hui encore sous ses habits de prisonnier, son phy
sique ne laisse pas apercevoir la figure ni le maintien d'un
vil assassin.
Joachim De Wit, le compagnon de Willemet, exerçait, il
est vrai, la profession de tailleur, mais il ne travaillait guère;
il battait la campagne et finit par se faire enfermer Hoog
straeten.... Ses antécédents sont mauvais.
Plus de trente témoins ont été appelés déposer dans cette
grave affaire, qui ne s'est terminée que par une double con
damnation la peine de mort.
M. DePaux, Procureur du Roi, y occupait le siège du
ministère public.
T-T» r—
Procès de presse. Droit de réponse.
Relus d'insertion.
La Cour d'Appel de Bruxelles, 6e chambre, présidée par
M. Demeure, a rendu récemment en matière de droit de
réponse un arrêt judicieux, dont voici la jurisprudence:
Toute personne nominativement ou suffisamment désignée
ne peut exiger qu'une seule insertion. Elle ne peut épuiser
son droit par une série de réponses.
L'insertion peut être refusée quand elle contient des
expressions blessantes pour le journaliste. Il importe peu
que les expressions aient été provoquées par l'attaque atten
du qu'il existe des moyens légaux de faire punir un journa
liste qui se rend coupable d'injures ou de diffamation, sans
qu'il soit nécessaire de descendre son niveau, de répondre
l'injure par l'injure et d'enlever ainsi la presse la digni
té dont elle ne devrait jamais se départir.
Par cet arrêt, la Cour a mis néant un jugement du tribu
nal de Tournai en cause du ministère public et de M. Ritte,
contre le journal le Tournaisien.
L'Illustration Européenne, (lOfr. 50 franco par an).
Sommaire du N° 31.
Gravures Frédéric Kiicken. Le départ, d'après
M. E. de Block. Le retour, d'après M. E. de Block.
Les Bouées éclairantes.
Texte Nos gravures. Chronique deçà delà.
Edmoirde. Histoire champêtre. Un singulier candidat
académique. Les grqnds Seigneurs d'autrefois.
La Prise de Londres en 1600. Pressentiment. A
la recherche du coupable. Roman. Rébus n° 8.
On s'abonne au Bureau du Journal.
BIBLIOTHÈQUE GILON
Nous avons loué sans réserve les deux premiers
ouvrages de M. Combes et nous avions raison, caide
l'avis de tous, ses deux premières œuvres Bleu-de-
Ciel et Pervenchette et Les Idées d'un vieux But
sont de petits chefs-d'œuvre.
Le talent de ce charmant écrivain nous oblige être
sévère et nous devons avouer que ses Contes d'un
Apothicaire sont inférieurs ses premières œuvres.
C'est toujours le même style pur et élégant, mais les
sujets sont moins bien choisis.
Il est vrai, cependant, qu'ils plaisent mieux aux
enfants et nous ne devons pas perdre de vue que la
collection Gilon s'adresse tous les âges et que M.
Gilon doit aussi bien satisfaire ses petits que ses grands
lecteurs.
En somme, c'est un bon volume, où le lecteur s'initie
des questions qui sont rarement exposées.
VARIÉTÉS.
Les sept jours de la semaine.
L'un dit et l'autre m'a redit: fais tu maigre, dis?
Je dis je fais ce que ventre dit, et ça met dit dis,
mange.
Marché d'Ypres.
ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains,
fourrages et autres produits agricoles, vendus le
3 Juin 1882.
NATURE
DES
GRAINS ET DENRÉES.
QUANTITÉS
VENDUES
KILOGRAMMES
Prixmoyea
PAR
CENT
KILOGR.
POIDS M™
DE
l'hecto
litre.
9,900
29 50
80
Seigle
3,500
20 25
73
Avoine
000
00 00
44
Pois
400
23 00
80
Féveroles
1,200
23 50
80
Pommes de terre
4,000
7 50
Beurre
270 00
rendue sans méde
cine, sans purges
et sans frais, par la délicieuse farine de santé Du
Barry de Londres, dite
Trente-cinq ans d'un invariable succès, en
géurissant les dyspepsies, mauvaises digestions,
gastrites, gastralgies, glaires, vents, aigreurs,
acidités, palpitations, pituites, nausées, ren
vois, vomissements, constipation, diarrhée, dys-
senterie, coliques, phthisie, toux, asthme,
étouffements, étourdissements, oppression, con
gestion, névrose, insomnies, mélancolie, diabète,
faiblesse, épuissement, anémie, chlorose, tous
désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix,
des bronches, vessie, foie, reins, intestins,
membrane muqueuse, cerveau et sang, ainsi
que toute irritations et toute odeur fiévreuse en
se levant, ou après certains plats compromet
tants, oignons, ail, etc., ou boissons alcooli
ques, même après le tabac. C'est en outre la
nourriture par excellence qui seule réussit
éviter tous les accidents de l'enfance. 90,000
cures, y compris celles de Mme la duchesse de
Castlestuart, le duc de Pluskow, Mn,e la mar
quise de Bréhan, lord Stuart de Decies, pair
d'Angleterre, M. le docteur-professeur Wurzer,
etc., etc.
N° 63,476 M. le curé Comparet, de 18 ans
de dyspepsie, de gastralgie, de souffrance de
l'estomac, des nerfs, faiblesses et sueurs noc
turnes.
Cure n° 99,623. Avignon, 18 Avril 1876.
La Revalenta Du Barry m'a guérie, l'âge
de 61 ans, d'épouvantables souffrances de
vingt ans. J'avais des oppressions des plus ter
ribles, k ne plus pouvoir faire aucun mouve
ment, ni nfhabiller, ni désabiller avec des
maux d'estomac jour et nuit et des insomnies
horribles. Contre toutes ces angoisses, tous les
remèdes avaient échoué la Revalenta m'en a
sauvé complètement. Borrél, née Carbon-
netty, rue du Balai, 11.
Cure n° 98,614 Depuis des années, je souf
frais de manque d'appétit, mauvaise digestion,
affections du cœur, des reins, de la vessie, irri
tation nerveuse et mélancolie tous ces maux
ont disparu sous l'heureuse influence de votre
divine Revalenta. Léon Pèyclet, instituteur
Eynanças (Haute-Vienne).
N° 49,812 M™5 Marie Jolie, de cinquante
ans de constipation, indigestion, nervosité, m
somnies, asthme, toux, flatus, spasmes et nau
sées. N° 46,270 M. Robert, d'une consomp
tion pulmonaire, avec toux, vomissements,
constipation et surdité de 23 années. Numéro
49,522 M. Baldwin, de l'épuisement le plus
complet, paralysie de la vessie et des membres,
par suite d'excès de jeunsse.
Curen"85,421. Bruxelles,le23Juin 1874.
Mon plus jeune garçon, abandonné l'âge de
cinq mois par les médecins, ne voulait prendre
ni ne digérait aucune nourriture, et se trouvait,
par conséquent, dans un état de faiblesse qui
mettait son existence en danger; c'est alors que
je lui fis prendre la Revalenta, qu'il mangea
avec appétit, et il a continué pendant plusieurs
mois s'en nourrir exclusivement.Aujourd'hui,
âgé de 11 ans, il est très-bien portant.
Deswert, au Conservatoire, rue Vonck, 61.
M. le docteur F.-W. Beneke, professeur de
médecine lUniversité, fait le rapport suivant
la clinique de Berlin, le 8 Avril 1872:
Je n'oublierai jamais que je dois la pré
servation de la vie d'un de nies enfants k la
Revalenta.
L'enfant, dans son quatrième mois, souf
frait, sans cause apparente, d'une atrophie com
plète, avec vomissements continuels qui résis
taient k la diète la plus soignée, k deux nour
rices et k tous les traitements de l'art médical.
La Revalenta a immédiatement arrêté les vo
missements et complètement rétabli sa santé en
six semaines de temps. Mes expériences depuis
ont eu le môme succès.
Cure n° 75,125 M. et Me Léger, 128, rue
Oberkampf, k Paris, d'une Maladie du foie,
avec vomissements et diarrhées horribles qui
avaient résisté k tout traitement pendant 16
ans. Cure n° 79,721 Mme Chauvet Pizzala,
d'anémie d'épuissement et d'étouffements.
Quatre fois nourrissante comme la viande,
sans échauffer, elle économise encore50foisson
prix en médecines. En boîfes: 1/4 kil.fr. 2,25;
1/2 kil., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 12 kil., 70 fr. Les
Biscuits de Revalenta en boîtes de 4, 7 et
16 fr. La Revalenta Chocolatée 1/2 livre,
fr. 2,25 1 livre, 4 fr. 2 livres, 7 fr. Envoi
contre bon de poste, les boîtes de 36 et 70 fr.
franco. Dépôt partout, chez les pharma
ciens et épiciers. Du Barry et Cie, limited.
Agent général pour la Belgique M. Emile
TIMMERMANS, rueRouppe, 6 et 8, Bruxelles.
Dépôt k Ypres,chez FRYSOU-VANOUTRIVE
pharmacien, rue de Dixmude BECUWE,
pharmacien; Moorslede chez Ch. BOSTYN,
boulanger.
ÉTUDE
A WARAÊTON.
DE LA.
d'un très beau noir en écrivant, d'uite limpidité
inaltérable, ne dépose pas dans l'encrier, ne s'é
paissit jamais et n'oxide pas les Plumes métalli
ques.
En vente au bureau de ce Journal.
rue de Boesinghe, 11, Tpres.
l'ai* hedemf ka— mwh de
TnbeUe de»' eerteekurrn rat» de»
Uxeeen-Weg beko—ten le»» bttreele
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Magasins
de Matériaux pour
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Belges et étrangères
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