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Sénateur de l'arrondissement de Namur, ancien mi
nistre des affaires étrangères, M. d'Asprernont-Ljnden
appartenait l'opinion cléricale. Il faisait partie du
groupe le plus modéré du parti clérical, dont il ne par
tageait pas exclusivement toutes les idées.
M.d'Aspremont était un agriculteur distingué et dont
les connaissances en agriculture faisaient autorité.
M. d'Aspremont était un homme de relations très
courtoises, et d'un accueil plein de bienveillance.
On annonce la mort de M. Félix Callewaert, père, le
plus ancien imprimeur-éditeur de Bruxelles, chevalier
de l'ordre de Léopold, décédé le 18 courant, l'âge de
77 ans.
La Chambre des députés du Grand-Duché de Luxembourg
a voté dernièrement une loi portant qu'il sera érigé, sur une
des places publiques de la ville de Luxembourg, aux frais
de l'Etat, un monument la mémoire du roi Guillaume II,
grand-duc de Luxembourg un chiffre de 90,000 fr. est
affecté aux frais d'études et d'exécution de ce monument.
La commission spéciale vient de mettre cette œuvre d'art
au concours. Elle a choisi, pour y prendre part, cinq artis
tes, parmi lesquels les sculpteurs belgesont l'honneur d'être
représentés. Le nom de M. Vander Stappen figure, en effet,
côté de MM. Mercié, Cain, de Paris Hundrieser, de Ber
lin, Pètre, de Nancy.
Le jury chargé de choisir l'esquisse la plus méritante se
composera de cinq membres artistes M. Portaels, directeur
de l'Académie des Beaux-Arts de Bruxelles. MM. Cavelier,
Gérôme, membre de l'Institut de France, Marc, directeur de
Y Illustration, et Schaper, professeur k Berlin, sous la pré
sidence d'un membre du gouvernement.
Une somme de 30,000 francs sera allouée k l'artiste dont
le projet aura été adopté par le jury titre d'indemnité,
chacun des quatre artistes qui, la suite du concours, n'au
ront pas été chargés des modèles d'exécution, recevra
3,000 fr.
Nos lecteurs connaissent les réeompences parcimonieuses
accordées aux exposants belges par les artistes français.
L'Art moderne raconte k ce sujet une petite histoire qui fait
la joie des ateliers. L'envoi de M. Courtens, le seul pein
tre qui, parmi les nombreux artistes belges exposants, ait
obtenu une motion, se composait de deux tableaux. Celui
des deux qui fut le plus remarqué, qui obtint les honneurs
de la rampe et valut k son auteur la distinction dont nous
parlons, est une marine. Or, cette marine avait été réfusée
par le jury officiel bruxellois constitué pour l'admissisn des
œuvres k l'Exposition de Philadelphie, jury composé de MM.
Stallaert, Roussée et Van Brée. On sait que l'exposition
avait été organisée par le gouvernement dans le but de créer
de nouveaux débouchés k l'art belge... L'anecdote peut se
passer de commentaires.
L'Illustration Européen ne,(IOfr. 30 frjnco par .in).
Sommaire du N" 33.
Gravures Le Retour du Frère, d'après M. F. De-
fregger. L'Ermite, d'après M. Gustave Sus. - La Mar
chande de Volailles, d'après M. François Verheyden. \a-
Lion de Thorwaldsen. (Lucerne).
Texte Nos Gravures.Chronique deçà delà.Ed-
monde. Histoire Champêtre. Autrefois et Aujourd'hui.
Le Regard. A la recherche du Coupable. Roman.
usée (lu Jeune Agw (4-25 fr. franco par au.)
Sommaire du N° 10.
Gravures: La première Leçon. Le Cerf. La
Maison Plantin k Anvers. Leçon de Dessin n®. 5
Texte La première Leçon. Histoire naturelle. Le
Cerf. La Maison Plantin k Anvers. Une Famille éga
rée. Histoire d'un Châtaignier racontée par lui-même.
Comment respirent les Plantes, les Insectes, les Reptiles,
les Poissons et les Oiseaux. A quoi attribuer l'Arc-en-
Ciel. Fortune, Génie, Gaieté intérieure. Solution du
Problème donné dans le n°. 8.
On s'abonne au Bureau du Journal.
<-ï0m
Le N® 3 du Bulletin du Ministère de l'Instruction Publi
que (5me année) vient de paraître (Bruxelles, E. Guyot, 8fr. par
an). Outre la partie officielle, nous y avons lu avec beaucoup
d'intérêt un remarquable rapport de M. Pasquet sur l'ensei
gnement de l'allemand et de l'anglais dans les royaumes
Scandinaves, ainsi qu'un curieux article sur l'instruction des
sourds-muets en France. Mentionnons, enfin, d'intéressants
renseignements statistiques concernant l'instruction en Au
triche, en Hongrie, en Espagne, etc., et la partie bibliogra
phique qui termine la livraison.
rendue sans méde
cine, sans purges
et sans frais, par la délicieuse farine de santé Du
Barrv de Londres, dite
Trente-cinq ans d'un invariable succès, en
géurissant les dyspepsies, mauvaises digestions,
gastrites, gastralgies, glaires, vents, aigreurs,
acidités, palpitations, pituites, nausées, ren
vois, vomissements, constipation, diarrhée, dys-
senterie, coliques, phthisie, toux, asthme,
étouffements, étourdissements, oppression, con
gestion, névrose, insomnies, mélancolie, diabète,
taiblesse, épuissement, anémie, chlorose, tous
désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix,
des bronches, vessie, foie, reins, intestins,
membrane muqueuse, cerveau et sang, ainsi
que toute irritations et toute odeur fiévreuse en
se levant, ou après certains plats compromet
tants, oignons, ail, etc., ou boissons alcooli
ques, même après le tabac. C'est en outre la
nourriture par excellence qui seule réussit k
éviter tous les accidents de l'enfance. 90,000
cures, y compris celles de Mrae la duchesse de
Castlestuart, le duc de Pluskow, Mme la mar
quise de Bréhan, lord Stuart de Decies, pair1
mettait son existence en danger; c'est alors que
je lui fis prendre la Revalenta, qu'il mangea'
avec appétit, et il a continué pendant plusieursi
mois k s'en nourrir exclusivement.Aujourd'hui,
âgé de 11 ans, il est très-bien portant.
Deswert, au Conservatoire, rue Vonck, 61
M. le docteur F.-W. Beneke, professeur de
médecine k lUniversité, fait le rapport suivant
k la clinique de Berlin, le 8 Avril 1872:
Je n'oublierai jamais que je dois la pré
servation de la vie d'un de mes enfants k la
Revalenta.
L'enfant, dans son quatrième mois, souf
frait, sans cause apparente, d'une atrophie com
plète, avec vomissements continuels qui résis
taient k la diète la plus soignée, k deux nour
rices et k tous les traitements de l'art médical.
La Revalenta a immédiatement arrêté les vo
missements et complètement rétabli sa santé en
six semaines de temps. Mes expériences depuis
ont eu le même succès.
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Oberkampf, k Paris, d'une Maladie du foie,
avec vomissements et diarrhées horribles qui
avaient résisté k tout traitement pendant 16
ans. Cure n° 79,721 Mme Chauvet Pizzala,
jd'anémie d'épuissement et d'étouffements.
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N° 63,476 M. le curé Comparet, de 18 ans
de dyspepsie, de gastralgie, de souffrance de
l'estomac, des nerfs, faiblesses et sueurs noc
turnes.
Cure n° 99,625. Avignon, 18 Avril 1876.
La Revalenta Du Barry m'a guérie, k l'âge
de 61 ans, d'épouvantables souffrances de
vingt ans. J'avais des oppressions des plus ter-!
ribles, k ne plus pouvoir faire aucun mouve
ment, ni m'habiller, ni désabiller avec des
maux d'estomac jour et nuit et des insomnies
horribles. Contre toutes ces angoisses, tous les
remèdes avaient échoué la Revalenta m'en a
sauve complètement. Borrél, née Carbon-
netty, rue du Balai, 11.
Cure n° 98,614 Depuis des années, je souf
frais de manque d'appétit, mauvaise digestion,
affections du cœur, des reins, de la vessie, irri
tation nerveuse et mélancolie tous ces maux
ont disparu sous l'heureuse influence de votre
divine Revalenta. Léon Pèyclet, instituteur
Eynanças (Haute-Vienne).
N° 49,812 Mme Marie Jolie, de cinquante
ans de constipation, indigestion, nervosité, in
somnies, asthme, toux, flatus, spasmes et nau
sées. N° 46,270 M. Robert, d'une consomp
tion pulmonaire, avec toux, vomissements,
constipation et surdité de 25années. Numéro
49,522 M. Baldwin, de l'épuisement le plus
complet, paralysie de la vessie et des membres,
par suite d'excès de jeunsse.
Cure n" 85,421. Bruxelles, le 23 Juin 1874.
Mon plus jeune garçon, abandonné k l'âge de
cinq mois par les médecins, ne voulait prendre
ni ne digérait aucune nourriture, et se trouvait'
par conséquent, dans un état de faiblesse qui
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