MEUBLES
Veuve GustavePodevyn,
MOBILIER.
d'Instruments Aratoires
MORTALITÉ du BÉTAIL,|le SAVON EN POUDRE
Grande Maison,
MEUBLES.
REVALENTA ARABICA.
OUTILS DE CHARPENTIER
ET BOIS DE CHARPENTE.
ET CONTRE LA GRÊLE.
FÊTE COMMUNALE
OES CHEVAUX
CAMTC A THIIQ ren(lLleméde-
oAll IL A I UU5 cine, sans purges
et sans frais, par la délicieuse farine de santé Du
Barry de Londres, dite
ÉTUDE
M»re Arsène VAN EECKE
NOTAIRE A WERVICQ.
1 heure, en la mortuaire de Pierre
Dehem, HOUTHEM, près de la
Place,
VEKTE
de
en la mortuaire de M. Verbrugge-
Deleurue Neuve, WERVICQ,
w zm sw 3
d'un très-beau
A YPRES,
se recommande pour les ouvrages
de COUTURE et de BRODERIE.
M. Henri
Les agriculteurs réunis.
SOCIÉTÉ BELGE~D' ASSURANCE
A COTISATIONS FIXES
BOIS D'ÛURDAGES RÉCOLTES.
contre la
Employez
AGENT PRINCIPAL:
E.-L. STRAGIER, RUE DU PLAT, 8, YPRES.
de HUDSON
Dépôt pour les arrondissements
d'Ypres et Furnes-Dixmude chez
VANDENBOOGAERDE-CRETON,
Ypres.
PROGRAMME
DITE TFYNDAG.
PRIX 10 CENTIMES.
avecjardin, écurie et remise-porte-cochère
S'adresser au bureau du journal.
de
tftre 4rsène V AN EECKE,
NOTAIRE A WERVICQ.
JEUDI, 27 JUILLET 1882,
2 heuresla ferme occupée par
Mr Bernard Nollet, WERVICQ,
(Basse-Flandre),
d'Instruments Aratoires,
et 6 hectares de Lin,
Froment, Avoine
et Pommes de Terre.
LUNDI, 7 AOUT 1882,
1 heure, en la maison occupée par
Mme TaupeWERVICQ, le long
du pavé de Menin,
vente
de
L'épave du monitor hollandais Adder, qui avait été
perdu corps et biens en allant d'Iiumuiden Hellevoetsluis,
a été retrouvée la coque en l'air, dans la nuit du 21 au 22
Juillet, une profondeur de dix brasses et un mille
géographique de distance du phare de Scheveningue.
Les cadavres des membres de l'équipage, au nombre de
80, ont été retrouvés, l'exception cependant de celui du
malheureux commandant Simon Vanderaa.
On lit dans la correspondance parisienne du Perron
de Liège
Savez-vous ce que nous apprend la statistique Savez-
vous ce que produit par jour, dans Paris, la somme des
pourboires donnés dans les cafés, théâtres, restaurants,
hôtels, gares de chemins de fer, voitures publiques, etc.
J'hésiste le dire un pauvre million tout au plus; trois
cent soixante-cinq millions par an. "A la bonne heure voilà
un chiffre avouable. Le budget parisien de la mendicité
légale dépasse celui du royaume de Bavière. 0 civilisation
progrès
Nous lisons dans l'Echo d'Ostende, du 23 Juillet
Les funérailles du caporal Leblond, dont nous avons
annoncé le décès, ont eu lieu Jeudi dernier, 3 h. de
relevée, au milieu d'une assistance nombreuse et re
cueillie. Dès 2 1/2 h. les abords de l'infirmerie militaire
et les rues où devait passer le cortège, étaient ercom-
brés d'une foule silencieuse et triste, qui se découvrait
respectueusement au passage du corps, voulant rendre
un témoignage de sympathie et de regrets au jeune
militaire mort sur le champ d'honneur, victime de l'ac
complissement de ses devoirs. Aussi vit-on plus d'une
larme dans les yeux des assistants, surtout en voyant
les parents qui, en pleurant, suivaient le corps de leur
fils et frère.
A la sortie de l'église, le corps, précédé d'une modeste
croix en bois, a été porté bras jusqu'à la place de la
commune.
Tout le corps d'officiers de la garnison, avait tenu
assister l'enterrement, et a accompagné jusqu'à sa
dernière demeure, l'infortuné soldat, enlevé la fleur
de l'âge, l'affection de sa famille éplorée et de ses
amis.
M. le capitaine Mautsch, commandant de la com
pagnie laquelle appartenait le malheureux Leblond,
a pronon le discours suivant sur sa tombe
Messieurs,
C'est avec un sentiment de profonde tristesse, avec une
émotion que nous partageons tous, que je viens dire un
dernier adieu notre jeune et infortuné compagnon Joseph -
Désiré Leblond, caporal de la compagnie que j'ai l'honneur
de commander. Ce n'est pas ici le cas, Messieurs, de vous
exposer le détail d'une longue carrière. Leblond, digne et
modeste enfant de Warnèton, était-milicien de la classe de
1880. Mais le peu de temps qu'il a passé sous les armes lui
a suffi pour nous révéler l'excellence de son caractère et des
qualités bien rares son âge. Son activité intelligente dans
l'accomplissement de ses modestes fonctions, son attache
ment sincère ses devoirs, son abnégation presque absolue,
le rendait cher ses supérieurs. En toutes circonstances,
pour quelque service que ce fût, Leblond se mettait en
avant, comme pour revendiquer le droit de marcher. Que
de fois j'ai vu, ruisselant de sueur, le bon visage toujours
souriant de ce brave et digne garçon. A coup sûr, il était de
ceux que la patrie peut, en un moment de détresse, appeler
avec confiance. Leblond avait contracté volontairement un
engagement de 3 ans. Mais la Providence ne permit |*as
qu'il vécut si longtemps parmi nous. Le service de la Patrie
lui imposa, trop tôt hélas le dernier sacrifice. Leblond
mourut victime de ses devoirs militaires. A ses derniers
jours, Messieurs, notre jeune et regretté camarade fit preuve
d'une force morale peu commune. A l'âge où toutes les
illusions colorent si joyeusement la vie, Leblond quitta ce
monde sans exhaler ni un murmure, ni une plainte contre
le sort cruel qui le frappait.
Honneur au père qui a donné la Patrie un tel enfant
Puisse l'hommage solennel que nous rendons ici la mé
moire de son fils, adoucir son chagrin Puisse sa douleur
profonde se calmer la pensée consolante que son enfant,
jouit déjà dans un monde meilleur de la juste récompense
dûe ses vertus
Mais, si Dieu récompense le juste et punit le méchant, ne
me sera-t-il pas permis d'exprimer ici, Messieurs, au bord
de cette tombe, le vœu que la justice humaine saura frapper
d'un arrêt, aussi impitoyable que juste, le misérable qui
nous a infligé tant de douleurs C'est une satisfaction bien
amère que je demande, mais je le fais avec la conviction
que je ne la sollicite que pour le bien de l'armée, le bien de
famille et celui de la Patrie
Et vous, caporaux et soldats qui m'écoutez, inspirez vous
bien des exemples du brave et digne camarade que vous
avez perdu. Soyez comme lui, bons, fermes et dévoués et
comme lui vous serez forts dans les épreuves de la vie,
comme lui aimés et respectés de tous. Vous joindrez vos
regrels aux miens pour dire un suprême adieu l'ami qui
maintenant repose dans sa dernière demeure.
Adieu Leblond Adieu mon brave ami
ni ne digérait aucune nourriture, et se trouvait,
par conséquent, dans un état de faiblesse qui
mettait son existence en danger; c'est alors que
je lui fis prendre la Revalenta, qu'il mangea
avec appétit, et il a continué pendant plusieurs
mois s'en nourrir exclusivement.Aujourd'hui,
âgé de 11 ans, il est très-bien portant.
Deswert, au Conservatoire, rue Vonck, 61.
M. le docteur F.-W. Beneke, professeur de
Trente-cinq ans d'un invariable succès, en
géurissant les dyspepsies, mauvaises digestions,
gastrites, gastralgies, glaires, vents, aigreurs, médecine lUniversité, fait le rapport suivant
acidités, palpitations, pituites, nausées, ren- a 'a clinique de Berlin, le 8 Avril 1872:
vois, vomissements, constipation, diarrhée, dys- Je n oublierai jamais que je dois la pré-
senterie, coliques, phthisie, toux, asthme, se''vaficm de la vie d un de mes enfants la
étouffements, étourdissements, oppression, con-!^eva'®nta-
gestion, névrose, insomnies, mélancolie, diabète, L enfant, dans son quatrième mois, souf-
Faiblesse, épuissement, anémie, chlorose, tous ""ait, sans cause apparente, dune atrophie com-
désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, plète, avec vomissements continuels qui résis-
des bronches, vessie, foie, reins, intestins, t^ent la diète la plus soignée, deux nour-
membrane muqueuse, cerveau et sang, ainsi ''ices et tous les traitements de 1 art médical,
que toute irritations et toute odeur fiévreuse en Revalenta a immédiatement arrêté les vo-
- missements et complètement rétabli sa santé en
six semaines de temps. Mes expériences depuis
se levant, ou après certains plats compromet
tants, oignons, ail, etc., ou boissons alcooli-
UllllOj UlWUVllk') j VI» »rwtwv»»u u.vuv»»
ques, même après le tabac. C'est en outre la,on* eu 'e nieme succès.
nourriture par excellence qui seule réussit kl „.^ui'e n" 75,1_25 M. et M® Léger, 128, rue
éviter tous les accidents de l'enfance. 90,000
cures, y compris celles de Mme la duchesse de
Castlestuart, le duc de Pluskow, Mme la mar
quise de Bréhan, lord Stuart de Decies, pair
d'Angleterre, M. le docteur-professeur Wurzer,
etc., etc.
N° 63,476 M. le curé Comparet, de 18 ans
de dyspepsie, de gastralgie, de souffrance de
l'estomac, des nerfs, faiblesses et sueurs noc
turnes.
Cure n° 99,625. Avignon, 18 Avril 1876.
La Revalenta Du Barry m'a guérie, l'âge
Oberkampf, Paris, d'une Maladie du Joie,
avec vomissements et diarrhées horribles qui
avaient résisté tout traitement pendant 16
ans. Cure n° 79,721 Mme Chauvet Pizzala,
d'anémie d'épuissement et d'étouffements.
Quatre fois nourrissante comme la viande,
sans échauffer, elle économise encore 50 fois son
prix en médecines. En boîtes: 1/4kil., fr. 2,25;
1/2 kil., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 12 kil., 70 fr. Les
Biscuits de Revalenta en boîtes de 4, 7 et
16 fr. La Revalenta Chocolatée 1/2 livre,
fr. 2,25 1 livre, 4fr. 2 livres, 7 fr. Envoi
de
Le Vendredi 28 Juillet 1882,
Le Lundi 31 Juillet, 1 heure,
VIEUX MARCHÉ AU BOIS, N* 11,
7" ^.neva,c,1mZ "Zw Sli; "Ticontre bon de poste, les boîtes de 36 et 70 fr. r
de 61 ans, d épouvantables souffrances de, Dènèt nartmit chez les nharma-'
vingt ans. J'avais des oppressions des plus ter- IJ P. D rip R
vingt ans. J'avais des oppressions des plus
ribles, ne plus pouvoir faire aucun mouve
ment, ni m'habiller, ni désabiller avec des
maux d'estomac jour et nuit et des insomnies
horribles. Contre toutes ces angoisses, tous les
remèdes avaient échoué la
sauve complètement. -
netty, rue du Balai, 11.
Cure n° 98,614 Depuis des années, je souf
frais de manque d'appétit, mauvaise digestion,
affections du cœur, des reins, delà vessie, irri
tation nerveuse et mélancolie tous ces maux
ont disparu sous l'heureuse influence de votre
divine Revalenta. Léon Péyclet, instituteur
Eynanças (Haute-Vienne).
N° 49,812 Mn,e Marie Jolie, de cinquante
ans de constipation, indigestion, nervosité, in
somnies, asthme, toux, flatus, spasmes et nau
sées. N° 46,270 M. Robert, d'une consomp
tion pulmonaire, avec toux, vomissements,
constipation et surdité de 25 années. Numéro
49,522 M. Baldwin, de l'épuisement le plus
complet, paralysie de la vessie et des membres,
par suite d'excès de jeunsse.
Cure n° 85,421Bruxelles, le 23 Juin 1874.
Mon plus jeune garçon, abandonné l'âge de
cinq mois par les médecins, ne voulait prendre
2 heure*»
Le Mercredi 2 Août,
ciens et épiciers. Du Barry et Cie, limited.]'1 'a Teime occupée pai
Agent général pour la Belgique M. Emile Messiaen-Caela V ER V1CQ, aproxt-
TIMMERMANS,rueRouppe, 6 et8, Bruxelles, mité de la Ville,
Dépôt Ypres,chez FRYSOU-VANOUTRIVE,
Revalenta m'en ,'Phai'macien> rue de Dixmude BECUWE,
Borrél, néeCarbon-jPha™iacien; k Moorslede chez Ch. BOSTYN,
boulanger.
Constituée conformément k la loi.
Siège Social BRUXELLES.
pour laver toute ehos
En vente au Bureau de cette feuille
DELA
jÉ'ï'B:
VENTE