BONNES TEBBES.
TOESLAG
LIVRES
SANTE A TOUS
REVALENTA ARABICA.
C.-B. BAEY,
On demande louer
ON DEMANDE
Actes officiels.
LANGEMAKCK ET STADES
Un MAGASIN (au rez-de-chaussée),
Mtre DE TAVERNIER, Notaire
Langemarek, adjugera préparatoire-
tier Langemarek, Poelcapelle
1° Une belle FERME, sise
Langemarek, section Abee-
lenhof, près du pavé vers
Westroosebeke.et consistant en bâti-
frait, sans cause apparente, d'une atrophie corn-ments d'habitation et d'exploitation
plete, avec vomissements continuels qui resis- i f 10 centiares de
(Jour, Jardin, bonnes Terres labou
rables et Prairies, en 14 lots, tenant
le tout aux fermes I)enys-Comyn,De
Boo et autres.
Et 2°.2 hectares 41 ares 60 cen-
Voir les affiches.
S'adresser pour tous renseigne
ments auditNotaire DE TAVERNIER.
ACCOUCHEUSE DIPLOMEE.
RUE DE CASSEL N° 3,
En préférence près la Gare.
mm, jm, zm rar
denDiotarisV AiV EECKE
WOENSDAG, 6- SEPTEMBER
1882, ora 4 uren, ter herberg Napo
léonte HOLLEBEKE,
van een H LIS met zijne afhankelijk-
heden en 32 aren 67 centiaren Grond
en Land, gelegen te Hollebeke, nabij
dePlaats, sectie A, nrS277e, 277d en
278c des kadasters.
Gebruikt door Henri Delbecque-
Laqa.
Ingenottreding met de geldtelling.
une personne active, disposant de
1,000 ou 2,000 fr. (un épicier ou mer
cier conviendrait bien), pour organiser
Ypres et dans l'arrondissement, la
vente avec monopole d'un produit
de première utilité, souvent indis
pensable, procurant des bénéfices,
réaliser une bonne fortune en peu
d'années.
S'adresser M. J. Paillard,
Nantes (Loire-Inférieure).
Assortiment entièrement nouveau
de Prière
de luxe et ordinaires. Spécialité
d'Images pour Souvemir,
ch z Auge V:»u Eeckhout, rue de Dixmude,
Yprrs,
C'est une véritable épidémie de meurtres La province
n'y échappe pas plus que la capitale. Dans les Flandres,
notamment, le paisible village d'Aertryck a eu lui aussi son
drame au revolver. Un cabaretier du nom d'Alfred Jauffredt
a attenté aux jours de sa femme en lui tirant trois coups de
feu. La malheureuse tenait son enfant sur le bras au moment
oii Jauffredt l'a frappée de sa première balle près de l'épaule.
Elle a encore été blessée au côté et la jambe. L'épouse
Jauffredt est dans une position désespérée quant au crimi.
nel, il a pris la fuite.
Grand incendie Anvers. L'incendie, bien qu'ayant
continué toute la nuit, s'alimentant des matières attaquées
Vendredi 11 heures du matin, n'avait pas étendu sesdégâts
au-delà des limites qui cette heure avaient été circoncristes
dans son foyer.
A deux heures, les efforts, principaux tendaient toujours
empêcher le feu de poursuivre sa marche dans la direction
des hangars de MM. de Browne et Menzel. Toute l'activité
se concentrait au hangar de MM. Kniewitz, Bleeckx et Ce, et
qui était immédiatement attenant plusieurs grands tas de
pitchnique fortement embrasés. Vers deux heures et demi
une escouade de pompiers armé d'une l'ance vapeur, ayant
pu résolument s'installer au sommet même d'un de ces tas,
pendant qu'une autre projetait de l'eau du côté du Vroegen
Morgend, toute extention nouvelle a pu être combattue avec
la plus grande efficacité.
Les pertes sont évaluées près d'un million et demi. Le
tout était assuré.
Annuaire de l'armée françaisepour 1882 comprend
504 maréchaux de France, généraux de division et de bri
gade, en activité ou en disponibilité, en réserve ou en re
traite.
Or, sur ces 504 officiers généraux français, sait-on com
bien portent des titres de noblesse Deux cent vingt-six.
La Saxe a introduit de nouveau dans son code pénal
la peine de mort, abolie précédemment. La première applica
tion en a été faite, Bautsen, sur la personne d'un couvreur
de Polenz, qui avait assassiné une femme.
Chemins de fer. Ira prochaine publication du Guide
officiel des voyageurs et du tableau-affiche sera reportée du
I" Septembre au 45 dito.
Le Guide officiel et le tableau-affiche édités le 4" Août
doivent être complétés par d'indication de l'horaire des trains
des lignes nouvelles qui ont été livrées l'exploitation pen
dant le courant du mois d'Août.
Institution Royale de Messines. Un arrêté de Sa Ma
jesté autorise l'admission d'une jeune fille l'institution
royale de Messines.
VARIÉTÉS.
La scène se passe dans un compartiment de 4" classe,
sur la ligne de Bruxelles Anvers.
Deux voyageurs: l'un est absorbé dans la lecture de ses
journaux, l'autre souffle comme une locomotive. Il a dû
courir pour gagner le train.
Arrive le garde Vos billets, s'il vous piait, messieurs!
Le monsieur aux journaux remet son ticket.
Votre billet, monsieur, dit le garde l'autre. Je n'ai
pas eu le temps d'en prendre un. Dans ce cas, monsieur,
il vous faudra payer la surtaxe. Bah! bah! prenez ces
trois francs et laissez-moi tranquille. Impossible, mon
sieur, je serais en défaut. Prenez toujours, on n'en saura
rien. Je ne tien pas être révoqué.
On arrive Malines. Le monsieur aux journaux sort vive
ment et s'adressant au commissaire de la gare
Vous dresserez, dit-il, procès-verbal au monsieur qui
est dans ce compartiment et qui a voulu corrompre un em
ployé de l'Etat et l'exposer la perte de ces fonctions.
Qui êtes vous, monsieur?
Je suis, répondit le plaignant, M. Rolin-Jaequemyns,
ministre de l'intérieur.
Un paysan passait dimanche sur le boulevard central,
Bruxelles, conduisant une charrette de foin; la charge était
mal établie, et voilà tout le foin par terre.
Gomme on ne s'empressait pas pour l'aider refaire
son chargement, il se met aussitôt courir, inquiet, au
tour de sa voiture: Mon petit, s'écrie-t-il, mon pauvre
petit
Vous jugez si la foule s'amasse. En un instant, cent bras
enlèvent une une, la volée, les bottes de foin
La derniere botte enlevée et remise sur la charrette
Eh, bien, l'enfant? ou est l'enfant? demande avec
anxiété la foule.
Il est la maison répond gaiement de charretier,
Merci, messieurs.
Il s'en est fallu de peu que les complaisants, furieux, ne
culbutassent de nouveau la charrette-, mais que le charretier
n'y revienne plus Il en serait pour lui comme pour leGuillot
qui criait au loup.
Un individu assez bien mis entrait, l'autre jour, dans
un estaminet, aux environs du Palais de justice, Bruxelles
et se faisait servirdeux pintesde faro. Un instant après, il se
rendait la cour, sans que le bacs de l'établissement prêtât
attention ses faits et gestes.
Les faros absorbés, notre individu, s'adressant au pa
tron:
Je n'ai pas le temps, dit-il, de vous payer en ce moment;
je reviendrai après l'audience; je vous laisse se paquet, pre
nez-en bien soin.
Et il disparut.
La journée se passa et aussi une partie de la soirée. L'au
dience était terminée depuis longtemps, et le client aux deux
faros ne revenait pas.
Le baes prit le parti d'ouvrir le fameux paquet, dont le
contenu devait représenter la valeur de ses deux consomma
tions.
Hélas! Le paquet contenait... je vous le donne en
mille...
Vous ne devinez pas
Le couvercle des cabinets
dans une enveloppe de papier.
de l'établtssement ficelé
rendue sans méde
cine, sans purges
et sans frais, par la délicieuse farine de santé I)u
Barry de Londres, dite
Trente-cinq ans d'un invariable succès, en
géurissant les dyspepsies, mauvaises digestions,
gastrites, gastralgies, glaires, vents, aigreurs,
acidités, palpitations, pituites, nausées, ren
vois, vomissements, constipation, diarrhée, dys-
senterie, coliques, phthisie, toux, asthme,
étouffements, étourdissements, oppression, con
gestion, névrose, insomnies, mélancolie, diabète,
faiblesse, épuissement, anémie, chlorose, tous
désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix,
des bronches, vessie, foie, reins, intestins,
membrane muqueuse, cerveau et sang, ainsi
que toute irritations et toute odeur fiévreuse en
se levant, ou après certains plats compromet
tants, oignons, ail, etc., ou boissons alcooli
ques, même après le tabac. C'est en outre la
nourriture par excellence qui seule réussit
éviter tous les accidents de l'enfance. 90,000
cures, y compris celles de Mme la duchesse de
Castlestuart, le duc de Pluskow, Mmc la mar
quise de Bréhan, lord Stuart de Decies, pair
d'Angleterre, M. le docteur-professeur Wurzer,
etc., etc.
N° 63,476 M. le curé Comparet, de 48 ans
de dyspepsie, de gastralgie, de souffrance de
l'estomac, des nerfs, faiblesses et sueurs noc
turnes.
Cure n° 99,625. Avignon, 48 Avril 4876.
La Revalenta Du Barry m'a guérie, l'âge
de 64 ans, d'épouvantables souffrances de
vingt ans. J'avais des oppressions des plus ter
ribles, ne plus pouvoir faire aucun mouve
ment, ni m habiller, ni désabiller avec des
maux d'estomac jour et nuit et des insomnies
horribles. Contre toutes ces angoisses, tous les
remèdes avaient échoué la Revalenta m'en a
sauve complètement. Borrél, née Carbon-
netty, rue du Balai, 44.
Cure n° 98,644 Depuis des années, je souf
frais de manque d'appétit, mauvaise digestion,
affections du cœur, des reins, de la vessie, irri
tation nerveuse et mélancolie tous ces maux'
ont disparu sous l'heureuse influence de votre
divine Revalenta. Léon Péyclet, instituteur
Eynanças (Haute-Vienne).
N° 49,842 Mme Marie Jolie, de cinquante
ans de constipation, indigestion, nervosité, in
somnies, asthme, toux, flatus, spasmes et nau
sées. N° 46,270 M. Robert, d'une consomp
tion pulmonaire, avec toux, vomissements,
constipation et surdité de 25 années. Numéro
49,522 M. Baldwin, de l'épuisement le plus
complet, paralysie de la vessie et des membres,
par suite d'excès de jeunsse.
Curen"85,424. Bruxelles,le23Juin4874.
Mon plus jeune garçon, abandonné l'âge de
cinq mois par les médecins, ne voulait prendre
ni ne digérait aucune nourriture, et se trouvait,
par conséquent, dans un état de faiblesse qui
mettait son existence en danger; c'est alors que
je lui fis prendre la Revalenta, qu'il mangea
avec appétit, et il a continué pendant plusieurs
mois s'en nourrir exclusivement.Aujourd'hui, rjA.;f r ttmtyt
âgé de 44 ans, il est très-bien portant. or n^m t nn r ni -
Deswert, au Conservatoire, rue Vonck, 64. 4 SEPTEMBRE 1882, a o heures
M. le docteur F.-W. Beneke, professeur de après-midichez Adriaens, cabare-
wa ITT*-»** rntif» itn ru 11 Ia n(i nu iitoaI J..A T A - I Tl 1 1 1
médecine lUniversité, fait le rapport suivant
la clinique de Berlin, le 8 Avril 4872:
Je n'oublierai jamais que je dois la pré
servation de la vie d'un de mes enfants la
Revalenta.
L'enfant, dans son quatrième mois, souf-
taient la diète la plus soignée, a deux nour- neciares 41 aies 1U centiares ue
Oberkampf, Paris, d'une Maladie du /oi'e,|tiares de TERRES labourables, si-
avec vomissements et diarrhées horribles qui'tuées Staden, près l'aggloméré, en
avaient résisté tout traitement pendant 16 excellent état de culture.
rices et tous les traitements de l'art médical.
La Revalenta a immédiatement arrêté les vo
missements et complètement rétabli sa santé en
six semaines de temps. Mes expériences depuis
ont eu le môme succès.
Cure n° 75,125: M. et Me Léger, 128, rue
ans. Cure n° 79,721 Mme Chauvet Pizzala,
d'anémie d'épuissement et d'étouffements.
Quatre fois nourrissante comme la viande,
sans échauffer, elle économise encore 50 fois son
prix en médecines. En boîtes: 1/4kil., fr. 2,25;|
1/2 kil., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 12 kil., 70 fr. Les|
Biscuits de Revalenta en boîtes de 4, 7 et
16 fr. La Revalenta Chocolatée 4/2 livre,
fr. 2,25 1 livre, 4fr. 2 livres, 7 fr. Envoi
contre bon de poste, les boîtes de 36 et 70 fr.
franco. Dépôt partout, chez les pharma
ciens et épiciers. Du Barry et Cie, limited.
Agent général pour la Belgique M. Emile
TIMMERMANS,rueRouppe, 6 et 8, Bruxelles.
Dépôt Ypres,chez FRYSOU-VANOUTRIVE,
pharmacien, rue de Dixmude BECUWE,
Eharmacien Moorslede chez Ch. BOSTYN,
oulanger.
YPRES.
TE WURVK'K.
DG