BLANCHISSERIE REVALENTA ARABICA. SANTÉ A TOUS DE FIL ET DE COTONS, Bibliographie. Etutle de Mtre PI AT, EN PLEINE ACTIVITÉ Les Soirées Littéraires NOTAIRE A LILLE. IVervicq (sud) France par suite de la dissolution de la socié té Vandewynckel et Duprè, LUNDI G NOVEMBRE 1882, 2 heures, en l'étude de Maître piat, sur 1". mise- à-prix, acceptée de 80,000 francs. Qu'on se le dise. halage de la Meuse. Le plus âgé voulant rattraper la balle qui, ayant fait un faux bond, allait tomber dans l'eau, glissa et tomba lui-même dans le fleuve. Le plus jeune s'empressa de tendre la main son frère; celui-ci la saisit, mais la force du courant était telle, et l'aîné serrait si fortement la main qui lui était tendue,qu'ils furent entraînés tous les deux une grande distance du bord. Aux cris poussés par les témoins de cette scène, Roland André, pêcheur Velaines, accourut en toute hâte... Les deux enfants avaient disparu. Roland, n'écoutant que son courage, se jeta l'eau tout habillé, se mit la recherche des deux infortunés et ne tarda pas les ramener sains et saufs sur la berge, aux acclamations et aux félicitations des spectateurs. Roland a fait preuve d'un courage vraiment héroïque qui mérite récompense. On crut un instant que Roland, emporté par le courant, avait disparu avec les deux enfants. Mais Roland est un excellent nageur et un sauveteur intré pide. Il n'en est pas d'ailleurs son coup d'essai. Plusieurs décorations lui ont été données pour actes de courage et de bravoure. Voici deux actes de probité que nous sommes heureux de signaler Un jeune employé de la Ferme des boues, Adolphe Deduin, portant le ir 527, trouvait, il y a quelques jours, au milieu des immondices, en balayant la rue, un bon d'épargne de 100 francs de la Société anonyme des Coupons commerciaux. Le jeune balayeur n'eut rien de plus pressé que d'aller porter sa trouvaille au bureau des objets perdus. Il y a quelques mois, Deduin avait trouvé dans un tas d'ordures un billet de mille francs qui fut réclamé quelques jours plus tard par son propriétaire. Cette trouvaille valut l'employé de la Ferme des boues une gratification de 5 francs qui lui fut généreusement octroyée par le propriétaire du billet perdu et si heureuse ment retrouvé. Le chauffeur Coppens, de service sur une machine qui se trouvait en gare de Schaerbeek, est tombé de sa locomo tive, avant-hier, et s'est fait de graves blessures. Il a été transporté l'hôpital Saint-Jean. Hier, une femme qui avait pris place Bruxelles (Nord) dans le train 691, partant pour Courtrai midi 21, a été pris d'un mal subit. La malheureuse a été déposée dans une des salles d'attente où elle n'a pas tardé expirer. On nous rapporte qu'un soldat aurait sauté, avant-hier, Vieux-Dieu, d'un train express qu'il avait pris par erreur, et se serait assez gravement blessé dans sa chute. La gare de Jemelle (Luxembourg) a été, Vendredi dernier, le théâtre d'un affreux accident. Le chauffeur Cremers, de service sur une machine de manœuvres de cette station, revenait de dîner, et, avant de remonter sur la locomotive, il se rendit dans une loge de garde-exenlrique pour y déposer son manger. Mais, au moment où le malheureux sortait de la loge, il fut atteint par la machine sur laquelle il devait monter. L'infortuné, jeté sous les roues de celte locomotive, a eu la jambe et la main droites coupées; l'autre jambe a été également mutilée. La victime n'a pas tardé succomber. Avant-hier, le garde Deloof, qui était de service au contrôle d'un train de la ligne de Gand Blaton, est tombé du marchepied d'une voiture; il a été entraîné sous les roues et a eu une jambe coupée. Un fait curieux vient de se présenter la bourse de Bruxelles. Un agent de change achète l'un de ses confrères, qui est en même temps changeur, pour compte d'un de ses clients, un certain nombre de lots de Bruxelles. Les lots sont livrés et fouruis au client qui s'empresse de vérifier si les numéros ne sont pas sortis aux tirages. Vérification faite, ce dernier s'aperçoit qu'un des lots est appelé au remboursement depuis deux ans, et remboursable par 50,000 francs. Le client qui détient le lot prévient son agent du fait, et l'informe qu'il garde le lot primé sa dis- pôsition. A qui revient la prime? Les tribunaux vont être appelés se prononcer et leur décision offrira un certain in térêt. D'après les usages de la Bourse, les titres livrés doivent être réguliers pour être négociés. Dans le cas qui nous occu pe, la personne propriétaire du numéro au moment du ti rage peut, dit-on, revendiquer la prime en établissant qu'elle était légalement propriétaire l'époque désignée. Mllc Christine Nilsson a quitté Londres le 13 courant. Le lendemain matin, elle s'embarquait pour l'Amériqne, où elle fera une tournée qui durera six mois et lui rapportera un demi-million. On annonce très-affirmativement qn'à son retour M11" Nilsson épouserait M. A. de M...., un noble étranger très connu sur le boulevard. On vient d'offrir la Patti trois millions pour une tournée au Brésil. La diva a définitivement accepté et don nera cinquante représentations en 1884. Sara Bernhardt est également engagée pour le Brésil. Elle touchera 4,500 fr. par jour où elle ne jouera pas, dater de son départ le 20 Avril prochain. 18,000 fr. par chaque représentation qu'elle donnera, son voyage étant compté de 135 jours; les représentations devant être de 40 ou 50, la volonté du directeur, raison de trois ou quatre par semai ne. M. Damala sera de l'expédition. Le paquebot anglais Samphire, qui est entré Vendredi soir dans le port de Calais, avait parmi ses passagers M. Philippart, le financier bien connu. Ce dernier, au moment de monter dans un train, Samedi matin, s'aperçoit de la disparition de son portefeuille, contenant 32,000 fr., qu'un habile pick-pocket venait de lui soustraire. Il informa tout de suite de ce fait la police spéciale de la gare de Calais. Le voleur de son côté, s'empressait de se rendre au Courgain, où, après s'être emparé des valeurs, il jeta le portefeuille dans une cave habitée par une femme qui la remit immédiatement entre les mains du commissaire de police. On n'a pu, jusqu'ici, découvrir le voleur. On écrit des Indes anglaises M. Witti, ex-otficier de l'armée autrichienne, actuelle ment au service de la British North Bornéo Company, a été massacré avec sa suite par des chasseurs de crânes de la tribu des Muruts sur la rivière de Sibuco. M. Witti était engagé dans un voyage d'exploration pour reconnaître les sources de Sibuco, situées vers les frontières des possessions hollandaises et de la concession de la Compagnie anglaise du Nord de Bornéo il a été surpris par environ 300 sauvages cachés dans une embus cade d'où ils ont tiré sur la petite troupe une grêle de flèches empoisonnées. BIBLIOTHÈQUE GILON Un des derniers fascicules de la Bibliothèque Gilon est consacré la poésie. Deux poètes belges, M. Charles Pote- vin, le lauréat bien connu, et M. Félix Frenay, le poète ouvrier dont toute la presse a parlé, ont signé ce volume, qu'ils ont intitulé Essai de Poésie populaire. Ce recueil contient plusieurs morceaux de grande valeur, qui seront lus et relus. Une poésie de Jan Van Ryswyck, Le Diable en bouteilles, traduite du flamand, par Auguste Claus, termine très heureusement ce volume populaire, qui a sa place marquée dans toutes les bibliothèques. Aussi est-ce avec la conviction d'être utiles tous ceux qui aiment lire que nous leur recommandons particulière ment JOURNAL DE LA FAMILLE Publication illustrée paraissant tous les Dimanches .«VKC WOMRRKlISEa PRIHER. Les soins scrupuleux apportés la rédaction, le talent et les noms bien connus des collaborateurs, le choix, la variété des sujets et des illustrations ont assuré un succès légitime cette intéressante publication qui ne ressemble aucune autre et k laquelle ont déjà été décernées deux médailles d'honneur. Son prix exeptionnel, dont on est d'ailleurs largement rémunéré par la valeur des primes variées, permet k tout le monde d'en faire l'essai en s'abonnant. pour un an par l'envoi d'un mandat postal de CINQ FRANCS (Union postale 7 fr. 50, autres pays 8 francs) k M. A. CLAVEL, éditeur, 38, rur «le Paradi»*, Paris. On peut se procurer au môme prix que l'abonnement les deux années parties que l'on reçoit brochées, avec couver ture, titres et tables formant d'intéressants volumes de bi bliothèque. rendue sans méde- avec appétit, et il a continué pendant plusieurs mois s'en nourrir exclusivement.Aujourd'hui, Cure n° 99,625. Avignon, 18 Avril 1876. cine, sans purges La Revalenta Du Barry m'a guérie, k l'âge èrrâns'frais" par la" délicieuse farine de santé Du de 61 ans, d'épouvantables souffrances de âgé de 11 ans, il est très-bien portant. - - - vingt ans. J'avais des oppressions des plus ter-'DESWERT, au Conservatoire, rue Vonck, 61. ribles, ne plus pouvoir faire aucun mouve-j M. le docteur F.-W. Beneke, professeur de ment, ni m'habiller, ni désabiller avec des médecine lUniversité, fait le rapport suivant maux d'estomac jour et nuit et des insomnies D—1 to'ra- Barry dé Londres, dite Trente-cinq ans d'un invariable succès, en géurissant les dyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies, glaires, vents, aigreurs, acidités, palpitations, pituites, nausées, ren vois, vomissements, constipation, diarrhée, dys- senterie, coliques, phthisie, toux, asthme, étouffements, étourdissements, oppression, con gestion, névrose, insomnies, mélancolie, diabète, faiblesse, épuissement, anémie, chlorose, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins, intestins, membrane muqueuse, cerveau et sang, ainsi que toute irritations et toute odeur fiévreuse en se levant, ou après certains plats compromet tants, oignons, ail, etc., ou boissons alcooli ques, même après le tabac. C'est en outre la nourriture par excellence qui seule réussit k éviter tous les accidents de 1 enfance. 90,000 cures, y compris celles de M"'e la duchesse de Castlestuart, le duc de Pluskow, Mme la mar quise de Bréhan, lord Stuart de Decies, pair, d'Angleterre, M. le docteur-professeur Wurzer ctc etc N° 63,476 M. le curé Comparet, de 18 ans de dyspepsie, de gastralgie, de souffrance de l'estomac, des nerfs, faiblesses et sueurs noc turnes. horribles. Contre toutes ces angoisses, tous les remèdes avaient échoué la Revalenta m'en a sauve complètement. Borhél, née Carbon- nettv, rue du Balai, 11. Cure n° 98,614 Depuis des années, je souf frais de manque d'appétit, mauvaise digestion, affections du cœur, des reins, de la vessie, irri tation nerveuse et mélancolie tous ces maux ont disparu sous l'heureuse influence de votre divine Revalenta. Léon Péyclet, instituteur k Eynanças (Haute-Vienne). N° 49,812 Mme Marie Jolie, de cinquante ans de constipation, indigestion, nervosité, in somnies, asthme, toux, flatus, spasmes et nau sées, N° 46,270 M. Robert, d'une consomp tion pulmonaire, avec toux, vomissements, constipation et surdité de 25 années. Numéro 49,522 M. Baldwin, de l'épuisement le plus complet, paralysie de la vessie et des membres, par suite d'excès de jeunsse. Curen"85,421Bruxelles, le23Juin 1874. Mon plus jeune garçon, abandonné l'âge de cinq mois par les médecins, ne voulait prendre ni ne digérait aucune nourriture, et se trouvait, par conséquent, dans un état de faiblesse qui mettait son existence en danger; c'est alors que je lui fis prendre la Revalenta, qu'il mangea k la clinique de Berlin, le 8 Avril 1872: Je n'oublierai jamais que je dois la pré servation de la vie d'un de mes enfants k la Revalenta. L'enfant, dans son quatrième mois, souf frait, sans cause apparente, d'une atrophie com plète, avec vomissements continuels qui résis taient la diète la plus soignée, deux nour rices et k tous les traitements de l'art médical. La Revalenta a immédiatement arrêté les vo missements et complètement rétabli sa santé en six semaines de temps. Mes expériences depuis ont eu le môme succès. Cure n° 75,125: M. et Me Léger, 128, rue Oberkampf, Paris, d'une Maladie du foie, avec vomissements et diarrhées horribles qui avaient résisté tout traitement pendant 16 ans. Cure n° 79,721 Mme Chauvet Pizzala, d'anémie A'épuissement et A'étouffements. Quatre fois nourrissante comme la viande, sans échauffer, elle économise encore50 foisson prix en médecines. En boîtes: 1/4kil., fr. 2,25; 1/2 kil., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 12 kil., 70 fr. Les Biscuits de Revalenta en boîtes de 4, 7 et 16 fr. La Revalenta Chocolatée 1/2 livre, fr. 2,25 1 livre, 4fr. 2 livres, 7 fr. Envoi contre bon de poste, les boîtes de 36 et 70 fr. franco. Dépôt partout, chez les pharma ciens et épiciers. Du Barry et Cie, limited. Agent, général pour la Belgique M. Emile TIMMERMANS, rueRouppe, 6 et 8, Bruxelles. Dépôt k Ypres,chez FRYSOU-VANOUTRIVE, pharmacien, rue de Dixmude BECUWE, pharmacien; Moorslede chez Ch. BOSTYN\ boulanger. AVEC LE MATÉRIEL SITUÉE A

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Le Progrès (1841-1914) | 1882 | | pagina 3