GRANDE OCCASION. MALLES DE VOYAGE REVALENTA ARABICA. spécialité GRGQÏEN BRAN D Ou demande a iouer Grande Maison, grand dépôt Chronique religieuse. Chronique Judiciaire. COUR DE CASSATION. AFFAIRE CLAEYS. INJURES A L'ADRESSE DU GOUVERNEUR. VARIÉTÉS. Les Soirée Littéraires 051j^uui m jjcigique ivi. JLMILE A VENDRE DE Ch. Spilliacrt-Bouchaert, ENTREPRENEUR, TE POELCAPELLE. I De ondergeteekende Charles- PLANCKE-COPPIN négociant te Poelcapelle, wiens vlas en scheur lafgebrand is den 5 November 1882, verklaart door hettegenwoordige dat hij ten vollen te vreden i.s over de eerlijke handelwijs der Brandverze- kerings-maatschappij h e u v e i i a van Antwerpen, vertegenwoordigd door d'heer Amand VUYLSTEKE Moorslede, en bekend ailes loftelijk vereffend binnen de 5 dagen na den brand. CHARLES PLANCKE-COPP1N. En préférence près la Gare. aveejardin,écurie et remise-porte cochère S'adresser au bureau du journal. reconnue la meilleure DES Limpide, noire, inaltérable chez A. VAN EECKHOUT, rue de Dixmude, Nu 39, Ypres. Un prêtre de Gand a été conduit, avant-hier, vers dix heures du soir, au bureau de police de la septième sec tion, dans d'assez singulières conditions. Ce pieux per sonnage, légèrement pris de boisson, avait fait des propositions peu compatibles avec le septième comman dement de l'Eglise une ouvrière qui venait passer aux environs du Dok. La jeune fille s'enfuit et courut prévenir son père qui revint avec elle. Le chaste prêtre, qu'un premier refus n'avait pas découragé, revint la rescousse, mais mal lui en prit, car ses instances, par trop pressantes, eurent pour résultat de le faire con duire au bureau de police, où plainte fut déposée par la jeune fille. Un attroupement s'étant rapidement formé devant le bureau et des manifestations hostiles au digne prêtre s'étant produites, la police requit une voiture qu'elle mit la disposition de l'oint du Seigneur, auquel on facilita ainsi son retour domicile. Flandre Libérale). Il y a déjà quelque temps que ce procès est définiti vement terminé. En effet, la Cour de Cassation, par arrêt du 20 Juin, a rejeté le pourvoi de M. Claeys et l'a condamné aux dépens. Nos lecteurs se rappelleront peut-être le procès in tenté M. Claeys, notaire et conseiller communal Tbourout, prévenu d'outrages et d'injures l'adresse de M. Heyvaert, notre honorable Gouverneur, en séance publique du conseil communal de Thourout. Le tribunal de Bruges acquitta le notaire Claeys. Le ministère public s'étant pourvu en appel contre ce jugement, la Cour de Gand condamna ledit notaire 200 fr. d'amande et aux frais liquidés 503 fr. 24 c. M. Claeys se pourvut en cassation. Une servante, que recommandaient un air modeste et un fichu sagement croisé, se présente dans une mai son. Je suis très boni e pour mes domestiques, lui dit sa nouvelle maîtresse toutes les semaines vous aurez votre jour de sortie; mais je vous préviens que je vous défends absolument de recevojr qui que ce soit, surtout des militaires, comme faisait la fille que vous rempla cez. Oh! Madame, pour qui me prenez-vous? fait la Nicole en rougissant. J'ai horreur du sabre. Quelques semaines après, la dame, entrant un soir dans la cuisine, aperçoit un désordre inaccoutumé, voit la bonne embariassée, respire une vague odeur de pipe et pressentant quelque histoire, ouvre vivement une grande armoire très propre serrer les amoureux: elle y trouve.... un superbe lancier avec une sabre-tache et chapska. Comment, malheureuse! s'écrie-t-elle, après ce que vous m'avez promis, vous recevez des soldats Mais, madame, je ne connais pas ce Monsieur.... Comment est-il là, alors Mon Dieu, Madame, c'eu est un qui sera resté de l'ancienne Alors un Monsieur très froidement Ils essayent un accident. m Un rassemblement se forme; on voit des gens courir. Un curieux s'approche et adresse une daine qui sem ble parfaitement être au courant, la phrase inévitable Qu'y a-t-il, Madame C'est mon beau-père, Monsieur, qui vient de gagner quelque chose. Gagner quoi? Une partie de billard, u un lot l'emprunt 1 lire Mais non. Monsieur, il a gagné une attaque d'apo plexie La scène se passe dans un wagon de la compagnie de X. Pour une raison demeurée inconnue, le train s'enga ge sur une voie, puis recule, puis se rengage sur une autre ça dure un quart d'heure. Qu'est-ce qu'ils font donc! s'écrie une dame plus morte que vive. Bibliogia ,,1, ie. Aussi est-ce avec la conviction d'être utiles tous ceux qui aiment lire que nous leur icconimandons partiruliè c- ment JOURNAL DE LA FAMILLE Publication illustrée paraissant tous les Dimanches AVEC WOMHRECNKM PKIHEN. Les soins scrupuleux apportés la rédaction, le talent et les noms bien connus des collaborateurs, le choix, la variété des sujets et des illustrations ont assuré un succès légitime cette intéressante publication qui ne ressemble aucune autre et laquelle ont déjà été décernées deux médailles d'honneur. Son prix exeptionnel, dont on est d'ailleuis largement rémunéré par la valeur des primes variées, permet tout le monde d'en faire l'essai en s'abonnant pour un an par l'envoi d'un mandat postal de CIFRANCS (Union postale 7 fr. 50, autres pays 8 francs) M. A. CLAVEL, éditeur, 32, rue de Paradis, Paris. 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C'est en outre la nourriture par excellence qui seule réussit éviter tous les accidents de l'enfance. 90,000 N" 49,812 Mn,e Marie Jolie, de cinquante ciens et épiciers. Du Barry et Cie, limited. ans de constipation, indigestion, nervosité, in-'Agent général pour la Belgique M. Emile somnies, asthme, toux, tlatus, spasmes et nau-iTIMMERMANS nioR™»". e n ÎVTO lO OTA T. XaTlHyl IUUO XXyO aVWUOmO VIO a v/uiuiiw. 1/VjUVU cures, y compris celles de Mme la duchesse de Castlestuart, le duc de Pluskow, Mn,e la mar quise de Bréhan, lord Stuart de Deciès, pair d'Angleterre, M. le docteur-professeur Wurzer, etc., etc. N° 63,476 M. le curé Comparet, de 18 ans de dyspepsie, de gastralgie, de souffrance de l'estomac, des nerfs, faiblesses et sueurs noc turnes. Cure n° 99,625. Avignon, 18 Avril 1876. La Revalenta Du Barry m'a guérie, l'âge de 61 ans, d'épouvantables souffrances de vingt ans. J'avais des oppressions des plus ter ribles, ne plus pouvoir faire aucun mouve ment, ni m'habiller, ni désabiller avec des maux d'estomac jour et nuit et des insomnies horribles. Contre toutes ces angoisses, tous les remèdes avaient échoué la Revalenta m'en a sauve complètement. Borrél, née Carbon- netty, rue du Balai, 11. Cure n° 98,614 Depuis des années, je souf frais de manque d'appétit, mauvaise digestion, affections du cœur, des reins, de la vessie, irri tation nerveuse et mélancolie tous ces maux ont disparu sous l'heureuse influence de votre divine Revalenta. Léon Péyclet, instituteur Eynanças (Haute-Vienne). -, ..mvvujj uj^/aouiVO Cl lldLl- Isées. N° 46,270 M. Robert, d'une consomp tion pulmonaire, avec toux, vomissements,! constipation et surdité de 25 années. Numéro; pharmaciei j49,522 M. Baldwin, de l'épuisement le plus boulanger, 'complet, paralysie de la vessie et des membres,' par suite d'excès de jeunsse. Curen" 85,421. Bruxelles, le 23 Juin 1874. Mon plus jeune garçon, abandonné l'âge de |cinq mois par les médecins, - ne voulait prendre ,ni ne digérait aucune nourriture, et se trouvait, I par conséquent, dans un état de faiblesse qui mettait son existence en danger; c'est alors que Ije lui fis prendre la Revalenta, qu'il mangea TIMMERMANS,rueRouppe, 6 et 8, Bruxelles. Dépôt k Ypres,chez FRYSOU-VANOUTRIVE, pharmacien, rue de Dixmude BECUWE, pharmacien; Moorslede chez Ch. BOSTYN, K/~»l» lonrfA.i COUVEUSES ARTIFICIELLES. Volières, ainsi que baraque - àang M. le docteur F.-W. Beneke, professeur de très-solide. médecine lUniversité, faille .apport suivant' S.adresser rue de la vm 6 Boitsfort la clinique de Berlin, le 8 Avril 1872: I Je n'oublierai jamais que je dois la pré-|.?»'es la Maison Communale. |servation de la vie d'un de mes enfants k la Revalenta. L'enfant, dans son quatrième mois, souf frait, sans cause apparente, d'une atrophie com plète, avec vomissements continuels qui résis taient la diète la plus soignée, deux nour rices et tous les traitements de l'art médical. La Revalenta a immédiatement arrêté les vo missements et complètement rétabli sa santé en six semaines de temps. Mes expériences depuis |ont eu le même succès. Cure n° 75,125 M. et Me Léger, 128, rue Oberkampf, Paris, d'une Maladie du foie avec vomissements et diarrhées horribles qui avaient résisté tout traitement pendant 16 ans. Cure n° 79,721 Mme Chauvet Pizzala, d'anémie A'épuissement et A'étouffements. Quatre fois nourrissante comme la viande, sans échauffer, elle économise encore 50 fois son prix en médecines/En boîtes 1/4 kil.fr. 2,25; 1/2 kil., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.; 12 kil., 70 fr. Les biscuits de Revalenta en boîtes de 4, 7 et 16 fr. La Revalenta Chocolatée 1/2 livre, fr. 2,25 1 livre, 4fr. 2 livres, 7 fr. 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Le Progrès (1841-1914) | 1882 | | pagina 3