Le moment critique. lereCj:0UeSa,,ï«ï' «uu«deh/lTV°'f: Nouvelles locales. Nouvelles diverses. Itf arlijùUfTiT"Te la Constitution, il n'a pirvernis, Colley»cm. dans sa pensée de la faire rétroagir aisément qu at7 profit de noblesse elles a noblesse existante, cerl-è-diie île jté qu'une grossière contre-J| Admettre le contraire serait un non- légajt sens, puisque la noblesse ancienne, supprimée par les lois de la révolution, n'avait jamais été rétablie, et que, partant, la seule noblesse dont le congrès ait pu songer réserver les droits ne peut avoir été que la noblesse créée ou reconnue en vertu de la Loi fondamentale. 11 résulte des considérations que je viens de faire valoir que les titres de noblesse non reconnus on non conférés depuis i 815 sont sans existance légale en Belgique, et que conséquemment ils ne peuvent être considérés comme appartenante ceux qui y prétendent. y—- J'en déduis une secon^miiîSIkjuence, que vous aurez déjà aperçue, savoir que quiconque s'attribue" publiquement un titre dé noblesse qui ne lui point été légalement conféré c%reconnu par le roi Guil laume ou le roi des Belges, toiîjbe l'article 230 du Code pénal. Qu'est-ee dans notre nobiliaire qui n'est ni légaler? le coup de qu un titre y féré. ni légale ment reconnu?Ce peut être n souvenir respectable, un témoignage flatteur auquel on attache du prix mais, juridiquement, ce n'est rien. Les seuls litres nobiliaires qui, en Belgique, puissent être considérés comme appartenant quelqu'un sont les titres léga lement conférés ou légalement reconnus. Faute donc de pouvoir faire étal de pareil titre, quiconque s'at tribue publiquement un titre de noblesse est atteint par la loi pénale.» Le correspondant bruxellois de la Meuse annonce ce journaLqu'on lui communique, propos du dé ficit budgétaire prévu pour 1884, une très impor tante observation Ce déficit, qui sera propablement couvert en très grande partie par les recettes avant la fin de l'exer cice, ne nécessitera, dit-il ni impôts ni emprunt. Des mesures financières décrétées depuis longtemps per mettent d'y faire face. La nouvelle, qui a toutes les allures d'un commu niqué, rassurera un peu les contribuables. Nousrecommandonsauxjplus sérieuses méditations de nos amis, l'obs^flH^Bunnte du Courrier de- Bruxelles 4^É^vation sr re la plus périlleuse it autour d'elles'et pousse n qui se relâche aux des souscriptions é\\i\}Wè}îë*dSlvciï&se l'aire cQWthitehcer la sixième année de là lutte. Pour tcnV^s ces raisons, nous avons besoin de savoir, et m as demandons ce qu'il faut craindre ou espérer. »jfy - "j C'est le vrai moment, n'ë^-ee pas, oh! bouillants libéraux bruxellois, de partir en guerre contre le ministère et la majorité libérale et de les renverser résolument. - C'est Vendredi, 16, qu'il a quitté sa demeure. ommerce de ai.- 'arrondis- y y A tf-cr- J u eu <J a— DniTàifl: que les calîio/iqùes J™?™ "X'*e U'encement de Jq engagés <i_ Société de» Chœurs. Programme du concert du 28 Novembre 1883, donné avec le bienveillant concours de Mle Laurent1' prix du Gonservalo re de Bruxelles; M. Vermeêi en, soliste de la Sdciété royale des Chœurs de Gand,et M. Dehern- per,jO^eur Je genre. j 1= Partie. 1. Si j roi, ouverture pr Symphonie, Adam. 2. Stances, chantées par M. Vermeêren, Flégier. 3. Valse du Pardon de Ploërmel, chantée ■jpar Mlle Laurent. 4. Fantaisie sur Ernani, pour Symphonie, 5. Judas, romance, chantée par M. Coiïyn, 6. Chansonnette dite par M. Dekemper. 2' Partie. 1. Ein morgen, mittag, abend in Wien, ouverture pour Symphonie, Von Suppé. 2. Charité, romance, chantée par M Coffvn, Carman. 3. Air de la Reine de Saba, chanté par M. Vermeêren, Gounod. 4. Alléluia d'Amour, chanté par Mlle Laurent. Faure. 5. Wiener Blut, valse pour Symphonie, Strauss. 6. Chansonnette dite par M. Dekemper. Nous venons de lire des correspondances arrivées aujourd'hui même du Congo, viâ Lisbonne. Nous som mes heureux de pouvoir affirmer que les bruits qui courent et d'après lesquels le capitaine Hanssens serait mort, sont dénués de tout fondement, M. Hanssens écrit de Hanyanga l'un de ses amis qu'il se trouve en parfaite santé et annonce môme l'intention de séjourner encore deux années en Afrique, si, comme il espère, il continue bien se porter. La nouvelle de la mort de M. Gillis et de plusieurs de ses compagnons est également fausse. M. Gillis se portait très bien la date du 18 Octobre. Aucun de ses agents n'est mort, depuis deux ans qu'ils se trouvent avec lui en Afrique pour le compte d'un groupe de financiers qui est, comme pous l'avons déjà dit, com plètement distinct du comité d'études du Haut-Congo. 11 résulte des lettres que nous avons eu l'occasion de lire que nos autres compatriotes actuellement au Congo, les docteurs Allart et Vanden Heuvel, MM. Valcke, Orban Nilis, Haneuse, Vankerkhoven, Coquilhat, Van Gele, Liebrechts, Destrain, Waeterinckx, Lommel, Légat, Callewaert, Monet, Loens, Amelot, Roger, ifeère, etc., etc., se trouvent tous en bonne santé. (Etoile Il paraît que la nouvelle coiffure donnée certains de nos soldats est loin d'être aussi favorable qu'on se l'était tré. On nous assure qu'on étudie au département une/ f"-e nouvelle eLiious croyons savoir qu'un des princi- k' •icanf^JFTa capitale a fourni une série de casqur nts modèles parmi lesquels l'autorité compéteu ■e un choix et dont l'essai sera fait prochainepnfmt recommandons vivement nos lecteurs tes Pilii ices et le Baume anti-rhumatismal du D médecin obtient avec ces pré< raiment miraculeuses. (Voir aux an. ïia~ découver peut-être cause du peu de transparence de l'atmosphère. l)e jour en jour elle va devenir plus lumineuse. On demande des jeunes gens de 14 16 ans parlant et écrivant flamand et français pour appiendre le commerce. Première année, nourriture, logement et blanchissage. S'adresser au hureau du journal, sous les initiales A. V. B. L ILLUSTRATION EUROPÉENNE entre dans la Quatorzième Année de somexistence. Pendant cette longue période, elle n'a cessé de rencon trer, chez ses nomb eux abonnés, une fidélité, un appui qui témoignent de leur entière satisfaction. Nous les avons retrouvés chaque renouvellement renforcés de nouvelles phalanges, et nous sommes persuadés de les retrouver encore aujourd'hui. Nous connaissons trop bien le principe de notre force et de notre succès, pour ne pas y persévérer. La base de notre passé doit être le gage de notre avenir. Journal de lectures destinées surtout la famille, L'IL LUSTRATION EUROPÉENNE visera toujours réunir ces trois conditions: recréer, instruire et moraliser la fois,par la littérature, l'histoire, la science, etc. Le choix de nos - romans et nouvelle# ne cessera d'être l'objet de soins tout particuliers. Dans le premier genre, nous commençons par la Fiancée juive dans le second par le dernier de sa Race. Nous appelons l'attention particulière de nos lecteurs sur cette publication recommandable tous égards et nous les engageons vivement- nous renvoyer signé et complété le bulletin qu'ils trouveront la 4e page du présent numéro. U n'est bruit àGand, que de la disparition d'un agent de «ihange très-connu, laissant, dit-on, un passif de quatre cinq cent mille francs. Le tribunal de commerce l'a déclaré en faillite en audien ce extraordinaire de Lundi matin. Une instruction est ouverte.Le parquet a fait une descente dans les bureaux du failli. Le drapeau rouge eit blanc. Tout le monde mnaît eette noble institution qui porte, en temps de guerre, sous le drapeau do Genève, ses secours désintéressés aux blessés et aux malades. Cette croix rouge sur fond blanc est respectée de tous les partis. Le même emblème, mais avec les couleurs interverties, c'est à-dire croix blanche sur fond rouge, est devenu non moins populaire ces derniers temps. D'origine modeste, il a été également bien) accueilli dans la chaumière du pauvre et dans le palais du riche, rendant service tous, il est devenu bien vite un ami de famille. Nous voulons parler des Pilules Suisses. Tout le monde connaît leurs excellentes propriétés on sait qn'elles n'ont pas leurs rivales leur prix, 4 fr. 50, permet chacun d'avoir un remède pour longtemps; par l'action dépurative qu'elles exercent sur le sang elles sont efficaces contre presque toutes les maladies chroniques. Notre ancienne colonie de Santo-Tomas va posséder un chemin de fer la reliant Guatémala. Le plus curieux de l'affaire est que la Société a obtenu la permission de faire émission forcée de ses actions. On croit toutefois l'entreprise bonne. Chose bizarre, la ville de Santo-Tomas prospère et des Belges y ont fait fortune après le départ de l'état-major des fonctionnaires envoyés il y a quarante ans. AVI S. J'ai l'honneur de porter la connaissance du public qu'à la demande d'une grande partie de ma clientèle je me tiens tous les premiers Mardis du mois, l'Hôtel de la Tête d'Or, Ypres, sa disposition pour prendre mesure de chemises et recevoir les ordres qu'on voudra bien me remettre. Je me charge également de la fa çon pour les personnes qui auraient des toiles et madapo- lams me confier. Garantissant la bonne coupe et les bons soins, un prix défiant toute concurrence. DESMET-CANNOODT, Chemisier. On raconte que Mlle Ferey, une artiste peintre de talent, habitant Saint-Omer, vient"de vendre un marchand d'antiquités de Paris, pour la somme de 100,000 francs, ou mieux, 95,000 francs, déduction faite de la commission, une garniture de cheminée, composée d'une pendule et de deux candélabres style Louis XVI. Le même marchand en avait offert 28,000 fr. il y a cinq ans. L'acquisition aurait été faite pour le compte de Mme 1? baronne de Rothschild, qui voudrait l'offrir la princesse Amélie d'Orléans, ces trois pièces étant un souvenir de famille. Elles faisaient partie du mobilier du Palais-Royal, avant la révolution. Un remède bon marché. Dans les cas de rhume, bronchite, catarrhe et en général dans toutes les affections des bronches ou des poumons, prendre 2 capsules Guyot chaque repas dans le potage. Ce traitement coûte 10 cent, par jour environ et il est aussi efficace que bon marché. Nous ne pouvons garantir l'efficacité que des cap sules Guyot blanches. revêtues de la signature E. Guyot et fabriquées, 19, rue F Paris. Les enfants ou les per- Laines qui ne pourraient avaler ces capsules, feront usage VARIÉTÉS. ^ANÇOIS-AlJ^tolNE ROSSUET. e). ue six semaines pourtant sa la population lui paraît d'ailleurs

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Le Progrès (1841-1914) | 1883 | | pagina 2