le SAVON EN POUDRE M. V\\ tfitlff, BOOMEN MALADIES POPELIEREN BOOMEN BOOMEN A AN B E S~ Employez de HUDSON Dépôt pour les arrondissements d'Ypres et Furnes-Dixmude chez Ypres. ENTRE- S» PRENEUR S* ET j* VITIIKR. •s /RLEBELLEWAERT, 3, ET MARCHÉ AU BOIS, 28, YPRES. MALLES CHIRURGIEN DENTISTE, consulter tous les jours de 9 5 heu le Dimanche excepté. ON DOS NUL des jeunes gens, de 14 lGans, par lant et écrivant flamand et français pour apprendre le commerce. Pre mière année; nourriture,logement et blanchissage. S'adresser au bureau du journal, sous les initiales A.V. B. Studie van den Notaris D£ KECKERE te Moorslede. Schoone Yenditie TE MOORSLEDE, door het ambt van den Notaris mwm te Moorslede, op DIJNSDAG 11" DECEMBER, om 11 ure 's morgens, bestaande in i30 koopen schoone en zware Populieren, Abee- len, Eiken en Iepen. Yergadering ter hofstede bewoond door Pieter Drouillon, te Moorslede, wijk Strooboome. A 1 Q t0,ls ceux fiu' souffrent des erreurs H V I O ou des égarements de la jeunesse, de l'affaiblissement des nerfs, d un dépérissement prématuré, de l'impuissance, etc. Je veux en voyer ghatis le mbyen de se guérir. Ce grand remède a été découvert par un missionnaire dans le sud de d'Amérique. Envoyez une enve loppe portant votre, adresse au Révérend Joseph T. INMAN, station^^New-Youk, city U. S.A. Institut médical 'Kint, Bruxelles S T A D IJ P E il E N. TE IJi'EKEV MAANDAG 3" DECEMBER 1883, 110 Koopen DER STAD F-".YERE.\. vau den Notaris Y E Y S, TE VLAMERTINGHE. Genaamden Notaris zal overgaan OpDinsilag 27 ember 1883, om 11 ure s voermiddags, ter hofste de gebruikt door Henri Clarebout. ge- legen te VLAMERTINGHE, bij het ehuchte het Hoekskenx staande angstden steenweg vanPoperinglie, tôt de verkooping van zaehte en harde Iepen, Abeelen en Lssehen van welke eene hoeveelheid eenedikte hebben van 2m tôt 2m60. M A A N I) A teri 3 ure namidtfag, in de Zittingzaal van het^elleGr huis, f Y A N Di nourrie de sentiments peu rassurants son égard, malgré"^ l'appoint de son escorte d'honneur, Bossuet regagne Gibral tar, touche au petit port de San Rocques et gagne, par des chemins de chèvres, la ville de Ronda, juchée au haut de montagnes abruptes et partagée en deux par la colossale chute du Rio Verde, sur lequel est hardiment jeté un pont de granit. 11 étudie curieusement l'imprenable forteresse, élevée par le génie militaire des conquérants arabes, et s'en retourne en compagnie de deux touristes anglais, sous la conduite d'un ancien fraudeur, qui trouve plaisant de les faire passer par une série interminable de casse-cou. Che min faisant, pour les régaler d'une petite surprise, le fa rouche cicérone tire un coup de fusil, répercuté et grossi au centuple par les échos rocheux. Tableau Pris sans vert, i l'un des deux anglais, démentant le.-'flegme imperturbable de ses congénères, tombé en pâmoison, et il faut le faire revenir grand renfort d'eau de source et d'eau de Cologne. Bossuet, lui, ne sourcille pas. La superbe Albion est hon teusement écrasée par l'intrépide Belgique. Ici va s'ébaucher le rôle scabreux de Bossuet comme pourvoyeur de nos musées nationaux. M. Van Herck, con sul de Belgique Cadix, en causant art et musées, laisse échapper un renseignement qui met aussitôt la puce l'oreille artiste de son hôte. Avant la suppression des couvents par le gouvernement espagnol, habitait ici, lui dit-il,* un brave père capucin, descendant d'une illustre maison et commis la garde d une chapelle fondée par ses aïeux. Peu soucieux d'abandonner son héritage au pouvoir qui le frappait d'ostracisme, le vieux moine a emporté Cordoue, où il s'est retiré, une inestimable Sainte-Famille de Murillo/eh annonçant ".'in tention de la céder au plus offrant. Vite en diligence Bossuet vole Cordour%x>ti plutôt les chevaux fourbus d'un coche antédiluvien, qui semblent descendre en droite ligne de la fougueuse Rossinante, l'y transportent avec une crispante lenteur. Pour tromper l'ennui de la route, il lie conversation avec un voyageur ^fr anglais dans current. L'honorable gen consul de sa nation, ch personnel et espère bien Que faire en cette occur hauteur de la situation de vitesse. L'artiste imii se rejette fnaussademeiw dffLs son encoignure Maïs le pré somptueux anglo-saxon,*:i u rebours de ses formalistes co- insulahes, devient de p\us en plus communicatif. Une malencontreuse boîte codeurs placée trop en évidence lui a révélé la profession de «h compagnon de voyage, et, sans doute, adorant les beaux-Arts par sport national, il ne se -ait pas fâché des épargner des frais d'expertise. li finit par faire directement appel aux connaissances de Bossuet qui accepte avee la plus noire duplicité. O Patrie que de perfidies on commet en ton nom! Les deux amis parviennent h dé nicher le Padre qui leur montre son Murillo, une toile tomber genoux devant. Désorienté par la feinte indiffé rence de l'artiste, l'Anglais, auquel on pose un minimum de 33,000 fr., demande réfléchir et surtout aller dîner, opération pour lui primordiale et sacrée, il va sans dire qu'il invite gracieusement son expert. Mais celui-ci se dé fend comme un beau diable, sous couleur d'une superlit mosquée aller visiter daredare. En vain i'amphytri rebute lui fait-il observer que la dite mosquée rte s'envole^ ni ne tombera point en ruines pendant qu'ils -.expedi' un repas sommaire, mais substantiel, Bossuet ne pas de son projet. Le traître Pendant que spn i victime s'acharne sur un rumsteak de vache en» de vin noir, il va retrouver l'honnête capucin, p promet et finit par conclure au prix de 23, Seulement, il réclame un délai de six semaine! référer a son gouvernement, <3 Enfoncé le Royaume Uni et vive la Belgique) qui va acquérifeà un prix dérisoire un joyau pictural digne/des lut ter avec le fameux Murillo du Louvre! Hélas! non. ^Bossuet dié en. toute hâte an comte de Latafng, ministre gique Madrid, une lettre qu'il le prie de tians- tre sans datai au baron Nothomb, devenu ministre de l'Intérieur, mai*- il. de Lalaing oublie la lettre dans un tiroir, et trois mois deTiate seulement, nôtre ex-ambassa deur dçJïcïHti-àvîsc son mandatait e que la situation obérée dit budget des Beaux-Arts, ne permet point une si grasse dépense. L'artiste anxieux, qui s'était rageusement promené de Sévilleà Grenade et de Grenade Sévillc.sanxen perdre cependant un coup de brosse, de blaireau ou de crayon, se trouvait alors Xérès; il retourne eu toute hâte Gordoue pour dégager sa parole. Contre son espoir, Je loyal capucin avait tenu parole, résistant héroïquement une surenchère de 10,000 fr. offerte par l'Anglais. Fin de chapitre: Com ment un chef d couvre qui aurait constitué une des perles du Musée de Bruxelles devint l'ornement du smoking room d'un spleeniétiqne fabricant de Picallilies ou de rasoirs bre vetés de Liverpool ou de Manchester. (A continuer). Marche «l'I'itre*. .quantités et le prix moyen des grains, produits agricoles, vendus le Prix mm en r.vK j CKNT RILOCR. Seigle Avoin'o Pois Féverolcs Pommes de terre Beurre -. 28,000 3,800 1,100 000 2,100 7,000 2i 73 80 18 02 73 18 00 44 00 00. 00 22 KO 80 3 30 323 00 pour laver toute chose. 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Deze venditie zal gebeuren met tijd van betaling mits door de koupers te stelten sol- vabel en welbekende borgen, ten aanveepJen van den heer Stedelijken Qntvanger,-. in vviens handen den tïènclenp^mimaÇzal moeten betaald worden met den van den overslag. BURGEKJLKJKE GOD8HLK STUDIE 1 r.2 KOOPE.Y VRIJDA^ 7» DECEMBER 1883,j v««!' fi et van Gist,i

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1883 | | pagina 3