UNE BONNE FERME BOOMEN SPARREJV, D'UNE BONNE FERME Eiken Beuken Chronique Judiciaire. ÉMILE VANAERDE, en la commune de Voormezeclc, Den Woensdag 11 tel 1885. La Cour d'Assises de la Flandre Occidentale a commencé hier l'instruction de l'affaire Baeckelandt Charles-Louis, Cappoen, Gombier et Aernout, accu sés les trois premiers de tentative de meurtre, délit de chasse et menaces de mort, le quatrième, de délit de chasse et menaces de mort, le tout i Kemmel pendant la nuit du 5 au 6 Septembre 1884. Le siège du Ministère Public est occupé par Mr De Cock, Substitut du Procureur du Roi. La défense de Baeckelandt et de Aernout est présentée par M1™ Reynaert, du barreau d'Y près les deux autres accusés sont défendus par M1"" Dewinler et Sanders du barreau de Bruges. Dans son audience du 26 Février, la Cour a con damné le nommé Braem Henri, de Boesinghe, huit années de réclusion, du chef de vol avec escala de et effraction, d'une somme d'environ 1300 francs, en la demeure et au préjudice de Depuydt François, Boesinghe. Chirurgien-Dentiste diplôme, 19, RUE DU LOMBARD, 19, A YPRES, en face de la rue de VETOILE, consulter tous les jours de 9 5 heures, le Dimanche excepté, pour la pose de Dents et Dentiers artificiels, Extraction de Dents, Plombages et Redres sements d'après les meilleurs systèmes. de 15 h. 51 a. 20 c. A VEADRE A YPRES. Le Notaire BUT A Y E, résidant Ypres, de l'intervention de M. le Juge de Paix du 2e canton de celte ville, procédera le Mercredi il Mars 1885, 2 heures préeises de relevée en l'esta minet La Tête d'Argent, rue de Lille, Ypres, l'Adjudication définitive et sans remise comprenant parmi fonds de bâtiments, cour, jardin, pâtures, bois, terres la bour et prairies, 15 h. 51 a. 20 e., SITUÉE le long du pavé cê Ypres Kemmel. Cette FERME est occupée, savoir: 22 ares 30 centiares.n°491 du cadastre, partie du 5e lot, par Charles CAPOEN, jusqu'au lr Octobre 1893, 30 francs. Le 16e lot, 42 ares 10 centiares, par Prosper BARTIER, brasseur Voorme- zeele, jusqu'au lr Octobre 1890, 50 fr. Et le restant, formant la Ferme, par Henri VANCAEYSEELE, fermier Voor- mezeele, jusqu'au l'Octobre 1890,1615 francs l'an, outre l'impôt. [FERMAGE TOTAL 1695 FRANCS. Divisée en 16 lots. Voir les affiches avec plan. Reprise des arbres 1455 francs. Pour plus amples renseignements, s'a- jdresser M' BUTAYE, susnommé, et M" GLORIE, Notaire Neuve-Eglise. BURGERLIJKE GODSHUIZEN der stad IJperen. om 12 1/2 ure 's middags, VERKOOPING VAN 162 KÛOPEN EXTRA SCH00NE| te Z1LLEBEKE, in den Grasbosch, in den Kleinen Notelaarbosch en in denBraambosch aan den Zuidkant van den steenwegj van IJperen naar Meenen, bij het gehucht het Hooghe. N. 13. Een char-à-bancs zal staan bij het Belle Godshuis, Rijsel- straat, nr 38, ter beschikking der kooplieden die ten 12 ure met den ijzeren weg zullen aankomen. Den Dondcrdag 12 Maarl 1885, ten 1 ure namiddag, W mj*. van 72 koopen dienstig voor timmerwerk, kepers en tabakpersen.in de bosschen genaarnd Groote Breêhappe en Aider Elst, te WYTSCIIAETE, oost van de herberg de Jager, langs !den steenweg van IJperen naar Waasten. De Notaris TITECA, te IJperen, is [met deze verkoopingen belast. Les hommes de la loi étaient deux officiers de la police judiciaire française et un de la police belge ils étaient accompagnés de six agents. Ils venaient pour mettre l'artiste en état d'arrestation. Le malheureux demanda ce qu'on lui voulait. On lui déclara alors qu'il était accusé d'un crime et d'un vol de 80,000 fr., commis Paris. Il répondit qu'il y avait méprise La police ayant ajouté que le crime avait été commis le ;5 Août, il ne fut pas difficile au monsieur, si désagréablement dérangé, d'établir qu'à cette époque il chantait dans un café-concert de Liège. L'homme que l'on recherche et qui porte le même nom est un marchant ambulant. ïj<« duel de Diitikoi-que.La cause en est des plus futiles: quelques mots un peu vifs échangés dans un café, pendant les fêtes de carnaval. L'officier a été griève ment blessé et n'est pas encore hors de danger. Voici le proçès-verbal de la rencontre Le 19 Février 1883, sept heures du matin, une ren contre l'épéea eu lieu sur le territoire belge, entre M. Eugène Dekeirel et M. Chapuis, lieutenant au 110' de ligne. L'armé choisie était l'épée de combat avec faculté de se ser vir du gant d'escrime crispin. Le combat devait cesser la suite d'une blessure mettant l'un des adversaires dans un état d'infériorité constaté par le médecin assistant la ren contre. Après une attaque de M. Dekeirel et une riposte de M. Chapuis, ce dernier ayant cru toucher son adversaire, M. Poirier, docteur en médecine, et les témoins constatèrent que M. Dekeirel n'avait pas été atteint. L'épée de M. Cha puis était ployée. A la reprise, M. Chapuis se porta rapidement en avant et les deux adversaires se trouvèrent de suite engagés de très près; la main gauche de M. Dekeirel s'abatti et fit dévier l'épée de son adversaire. M.Chapuis reçut a ce mo- mentuncoup d'épéequi lui traversa la poitrine. M.Chapuis se redressant en arrière.abaissant son arme, répondit haute voix M. Dekeirel qui lui disait: Mossieur, vous êtes touché Je le suis, en effet, mais vous avez tenu mon épée, et dans un duel, cela s'appelle un demi assassinat. Les adversaires étaient si rapprochés et l'engagement si vif qu'il n'a pas été possible aux témoins de voir si l'épée de M. Chapuis avait été tenu ou simplement écartée. Il a été constaté après le combat, par M. le docteur Poirier, qui en a délivré certificat, que M. Dekeirel était atteint l'index de la main gauche, au niveau de l'articulation métacarpo-pha- langienne et du côté extérieur, d'une blessure transversale d'un centimètre environ de longeur et parraissant provenir d'une arme tranchante. Dunkerke, le 19 Février 1885. Pour M. Dekeirel, - Pour M. Chapuis, BAtERetHEYSE. H. Guillonnet et Baudouin. M. Chapuis, l'officier français, est mort après une longue agonie. Histoire naturelle Quelle est la femelle du bouc La bouchère Très-bien. Et la femelle du cheval La chevalière Encore mieux. Et la femelle du coq La coquine. Vous vous trompez, ma petite. Ah c'est vrai. La femelle du coq c'est la coquette? Fragment de conversation Comment, malappris, tu parlais celte charmante petite E... avec ton chapeau sur la tête Tiens, je crois bien, puisque j'avais lui parler mots couverts Joseph Chrichlir rencontre une dame de ses amies. Bonjour, Madame, comment va votre bébé Assez bien, je vous remercie, mais ce na pas été sans peine; j'ai été forcée de changer quatre fois de nourrice elle dépérissait vue d'œil. C'est pas étonnant, Paris le lait est si falsifié Bien nature: Un monsieur va consulter le docteur Purgeraide. —Voilà le régime suivre,dit le prince de la science; mangez peu, pas de truffes, pas de café,pas de liqueur, pas de cigares, et surtout pas... de prétentions cou chez-vous tôt, levez-vous de bonne heure, et vous vous porterez bien. Tiens, cette bêtise! Mais ce que je vous demande, c'est le moyen de pouvoir faire impunément tout le contraire de ce que vous dites Comment faire, demandait dernièrement une peti te actrice une de ses camarades,pour avoir salle com ble mon bénéfice Une idée, ma chère: si tu invitais tous vos créan ciers l.icuisinières Un t maître nous communique la lettre suivante, que le hasard a fait tomber entre ses mains Ma chère Antoinette, Vite dépaiclie toi de me répondre par Caroline qui te remettra ce hillait. Madame s'entaite faire son maiché elle-même, voila t-il pas qu'elle m'aporte des perdrots. Donne moi donc vite ton moyen pour les faire dursir. A dimanche. Victoire. Aussi est-ce avec la conviction d'être utiles tous ceux qui aiment lire que nous leur lecommandons particulière ment LES SGIRLES LITTÉRAIRES, JOURNAL DE LA FAMILLE Publication illustrée paraissant tous les Dimanches AVKC XOKHHKIINRH IMtlMES. Les soins scrupuleux apportés la rédaction, le talent et les noms bien connus des collaborateurs, le choix, la variété des sujets et des illustrations ont assuré un succès légitime cette intéressante publication qui ne ressemble aucune autre ei laquelle ont déjà été décernées deux médailles d'honneur. Son prix exeptionnel, dont on est d'ailleurs largement rémunéré par la valeur des primes variées, permet tout le monde d'en faire l'essai en s'abonnant pour un an par l'envoi d'un mandat postal de CIA'U FRANCS (Union postale 7 fr. 50, autres pays 8 francs) M. A. CLAVEL, éditeur, 32, rué de Paradis, Pivri». On peut se procurer au même prix que l'abonnement les deux années parues que l'on reçoit brochées, avec couver ture, titres et tables formant d'intéressants volumes de bi- blliothèque. Marché d'Vpres. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 28 Février 1885. NATURE DES GRAINS ET DENRÉES. QUANTITÉS VENDUES KILOGRAMMES Prix moyen PAR CENT KILOGR. POIDS Meo DE l'hecto litre. Avoine Pois Féveroles Pommes de terre 10,900 5,500 600 4,000 14,600 10,000 8.812 19 50 16 37 20 50 21 73 21 50 5 75 290 00 80 73 44 80 80 SEULEMENT MISE A PRIX55,000 FRANCS SCHOONE EN ZWARE

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Le Progrès (1841-1914) | 1885 | | pagina 3