MALLES DE VOYAGE, LE DICTIONNAIRE ÉM1LE VAN AERDE, A VENDRE POPERINGHE. Nouvelles diverses. SANTÉ A TOUS "f— RE VA LENT A ARABICA A R E P R E Ni D RE UN ÉTABLISSEMENT TYPO- ET LITHOGRAPHIQUE SPÉCIALITÉ Dépôt Je Vitraux CH. SPILL!AERT-BQOGH AERT, LES PILULES L'ONGUENT ILLUSTRÉ el Encyclopédie-tlniTcrselle, (Suite) Le compte de la ville,exercice 4884, nous montre que la dette publique s'élève la somme de 565,000 lianes, payant un intérêt de 28,498 fr. 88 c. Pour le moment, ne parlant que du compte de 1884, nous ne mentionnerons que pour mémoire, le nouvel emprunt de 140,000 fr. contracté sans ga rantie avec les hospices, et qui porte pour l'année 1885 la dette de la ville de Poperinghe au chiffre formidable (eu égard ses ressources) de 705,000 francs près de 3/4 de 1,000,000 de francs Nous venons de constater que les intérêts dûs pour l'emprunt des 565,000 francs dont fait mention Je compte de 1884 se montent la somme de 28.498-88 En y ajoutant celle de 28.928-48 payée par la ville pour combler le déficit des Hospices et du bureau de Bienfaisance nous arrivons un ces établissements avaient garder pour eux et pour leurs amis politiques la livraison des fournitures et vous expliquerez facilement les motifs pour les quels celte proposition fut rejelée. 4c 11 est profondément regrettable de voir des per sonnes, chargées d'administrer, le plus économique ment possible, les biens des pauvres, rejeter ainsi une mesure qui, mettant tous les citoyens sur le même rang,aurait pu réaliser de notables économies. A quand l'affichage du compte de 1885 et du Budget de 1886. Les dates du 20 au 30 Octobre et du 10 au 20 Novembre sont depuis longtemps pas sées et jusqu'à ce jour rieu n'est fait. La loi communale sera-t-elle donc éternellement violée Poperinghe On demande toujours un écHévin. L'administration de notre ville conlinuera-t-elle encore longtemps sauter sur une patte et demie total de fr. 57.427-36 Il résulte de là que les recettes ordinaires étant seulement de fr. 79,069-23 nos édiles sont forcés de pourvoir tous les besoins administratifs ordinaires avec fr. 21,641-89 comme on a pu le voir, une grande partie du revenu de la ville sert combler le déficit de nos institutions charitables qui voient an nuellement diminuer leurs ressources sans que pour cela leurs intelligents administrateurs tâchent de trouver les moyens de parer cet état de: choses. Il y a quelques années, au moment où là propriété immobilière avait acquis une très grande valeur, les libéraux, siégeant cette époque au conseil com munal, proposèrent de vendre les immeubles des établissements charitables et d'en convertir le prix en inscriptions sur le grand livre de la dette Belge. Les conseillers catholiques, mettant leur intérêt politique au-dessus de celui de la ville, repoussèrent celte proposition si avantageuse avec une louchante unanimité. Ils craignaient de voir diminuer leur influence électorale et de perdre des électeurs bien pensants! s Une autre proposition émanée des mêmes person nes: celle de mettre en adjudication publique les dif férentes fournitures faire aux administrations des pauvres, subit le même sort; ici encore la passion politique l'emporte sur les intérêts du pauvre Ajoutez y l'avantage que les administrateurs de A lire par ceux qui souffrent, de bronchites, catarrhes, asthme, phtisie. Effet remarquable des CapsulesGuyot contre les catarrhes: Depuis six ans. j étais atteint de catarrhe avec oppres sion qui ne me permettait ni de marcher ni de me coucher. .J'ai fait usage de vos excellentes capsules la dose de trois chaque repas. Je suis enehanlé. Je dors, je mange, je marche comme vingt ans. Mark. Depuis dix ans, il m'était impossible de dormir dès que je me couchais, la respiration me manquait et j'étais obligé de tue lever sous peine d étouffer. Depuis que je fais usage de vos excellentes capsules je dors parfaitement, et quand je me réveille le matin je ne suis plus étranglé par les glaires. Daniel. J'avais la poitrine grasse et tous les matins je toussais et crachais pendant près d'une heure. Grâce aux capsules Guyot les glaires se sont détachées et maintenant je suis débarrassé de cette intirrailé commune hélas beaucoup de gens qui pourraient s'en débarrasser comme moi. Agréez tous mes remerciements. Bien spécifier pour éviter les contrefaçons nombreuses et inefficaces, Capsules Guyot blanches, préparées 19, rue Jacob, Paris. Prix: 2 fr. 50. par la délicieuse farine de sauté Du Ban y île Londres, dile Trente cinq ans d'un intaiiable succès, en guérissant les dysperpsiesmauvaises digestioos, gastrites gastralgies, glaires,vents, aigr» urs,acidités, pa Ipitalions,pituites,nausées, renvois, voniisseinenls, constipation, diarrhée, dyssenterie, coliques,phtliisir,totix,jst!nne,élouffcmrn (s, alourdissement;, oppression, congestions, névrose, insomnies, mélancoliee diabète, faiblesse, épuisement, anémie, chlorose, tous désor, dres de la poitrine, goige, haleine, voix,des bronches,vessie. oie, reins, intestins, membrane, muqueuse, cerveau et sang, ainsi que toute irritation et toute odeur fiévreuse en se levant, ou après certains plais compi onn liants, oignons, ail, etc. on boissons alcooliques, même apié- le ubac. G'rsl ru outre la nourriture par excellence qui seule réussit é»iur tous les accidents de l'enfance. 90,000 cures, y comprit et Iles de Sa Majesté l'Empereur Nicolas; de Sa Sainteté feu le Pape Pie IX, de Mme la duchesse de Casllesjuarl, le duc de Plus- Itow, Mme la marquise de Bréh-m, lord Siuart de Decies, pair d'Angleterre, M. le docleiir-profcsscio Wurzer, <Ic., etc. N" 63,476: M le curé Compact I, de 1.3 ans de dyspepsie, de gastralgie, desouff auce de l'estomac, des iirrfs,faib'esses et sueurs nocturnes. CureN" 99,62b.'Avignon, 18 Anil 1876. La Re*a- enta Du Ban y m'a guérir, a l'âge de 61 ans, d'épouvantables souffrances de vingt ans. J'avais des oppressions des plus terribles, nr plus pouvoir faire aucun mouviment, ni m'habiller, ni déshabiller, avec des maux d'estomac jour et nuit et des insomnies horribles. Coi Ire toutes Ces angoisses, loin les remèdes avaient échoué: la Beva'eola m'en a sauvé complètement BonREi.,née Carbouneltiy,ine du Balai,il. Cme N" 98,614: Depuis des années,je souffrais de manque d'appétit, mauvaise digestion, affections du cœur, des reins, de la vessie, irritation nerveuse et mélancolie; tons ces maux ont disparu sous l'hriirrusr influence de voire divine Rêva- lenla. Léon pkvclet,tusiitiilenr,â Kynauças (Haute-Vienne) N" 49,812 Mme Marie Joly, de cinquante ans de consti pation, indigestion, nervesité, insomnies, asthme,tous flalus, spasmes, et nausées, R» 46,270: M. Rebuts, d'une con somption pulmonaire, avec toux, v jmissemculs, constipation rt surdité de 2b années. N°49'i22 M. Baldvvin, de l'épuisement le plus complet, pura.ysie de la vessie et dis inembris, par suite d'excès de jeunesse. M. Gauthier, à'Luzarclies, d'une constipation opiniâtre, perte d'appétit, catarrhe, bronchite. La femme de M. le maire de Volvic. d une iritalion pul monaire avec crachement de sang et toux opiniâtre. Mon rnfanl se trouve très-hiui de votre Revaleula Doc teur G. P.oll, m d ciu, 8. rue Paradis, Nice. N" 98,716. M. le Professeur Dédé, Paris, a observé pendant des années que la Revalenta donne une santé flo rissante aux bébés, et aux mères,un lait riche et abondant. tl. le Professeur Benecke a sauvé son enfant par la Re valenta après que toutes les ressources médicales avaient élé épuisées le guérir de vomissements continuels Egalement l'enfant de M. J. G. Montanay, 44, rue Condorcet, Paris, et le bébé de Mme Eliza Martinet Alby, rue du Tunnel, Valence et de milliers d'autres nourrissons. Cure No 75,124: M. et Mme Léger, 128, rue Oberkampf. Paris, d'une maladie du foie, avec vomissements et diar rhées horribles qui avaient résisté tout traitement pendant 16ans. Cure No79,721 Mme Chauve! Pizzala, d'anémié, d'épuisement et dtétouffm'enls. Quatre fois nourrissante comme la viande, sans échauffer elle économise encore 50 fois son prix en médecines. En boîtes. 1/4 kil., fr. 2-25; 1/2 kil., 4 fr I kil., 7 fr.; 12 kil.70 fr. Les Biscuits de Revalenta, en boites de 4 et 7 fr. 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Le Progrès (1841-1914) | 1885 | | pagina 3