Plus de Cheveux Gris pour 1-40 fr.
vous I LA REINE DES TEINTURES
POPERINGHE,
REVALENTA ARARICA
Être belge de naissance.
Être âgé de 12 ans au moins et de 16 ans au
plus.
Les demandes, accompagnées d'un extrait de
l'acte de naissance du postulant, et d'un certifi
cat de moralité pour lui et ses parents, seront
reçues audit bureau jusqu'au 21 Avril inclusive
ment.
La quatrième et dernière séance de Musique
de Chambre aura lieu Dimanche, 24 Avril,
midi, au local de l'Aigle d'Or.
Programme
La Belle Meunière: a) le jeune
homme, b) le moulin, c) la meu
nière, d) inquiétude, e) déclara
tion, f) la veillée des noces. Rail.
Sérénade: a) valse, b) élégie. Tschaïkowsky.
ÉTAT-CIVIL D'YPRES,
Décès
L'argent manque seulement quand l'honorable
commandant des pompiers, pénétré de l'importance
de ses fonctions et prenant celles-ci au sérieux, deman
de quelques centaines de francs pour le renouvellement
et l'amélioration de son matériel, on ne lui répond que
par une fin de non recevoir ou un ajournement indéfini.
avTs.
être gris avant le temps,
paraître vieux ou vieille
quand la figure est jeune
encore? payer 6, 7 10 fr.
pour un flacon de teinture
quand
POURQUOI]
VOULEZ-
ne coûte que 1 fr. 40 le
flacon et 2 fr. 50 le double
flacon de 1/3 de litre
La Reine des Teintures le meilleur u Hair Restorer qui existe,
se vend YPRES, chez
RUE DES BOUCHERS, N°1.
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du 8 au 15 Avril 1887.
Naissances Sexe masculin, 5 id. féminin, 5.
Mariages
Soetaert, Edouard, scieur de long, jet Werbrouck, Ma
rie, marchande de poisson. Crave, Léon, boulanger,
et Carbon, Marie, boulangère. Cuvelle, Henri, tisse
rand,et Capoen, Marie, servante. Wullems, Alphonse,
menuisier, et Dubois, Victorine, dentellière. Bergh-
man, Edmond, journalier, et Devrieudt, Léonie, servante.
Lory, Julien, professeur de gymnastique, et Dezwaene,
Léonie, tailleuse. Vercruysse, Julien, jardinier, et De-
groote, Léonie, savante.
Messiaen, Cornélie, sans profession, 73 ans, épouse de
François Huysser, rue de Menin. Vercaemer, Thérèse,
sans profession, 67 ans, veuve d'Henri Verhaeghen, rue
Close. Pillaert, Eusébie, boutiquière, 60 ans, céliba
taire, rue de la Boule. O'Callaghan, Hélène, religieuse,
85 ans, Place du Palais de Justice. Moiniez, Jean, sans
profession, 52 ans, célibataire, rue du Canon. Tim-
merman, Auguste, menuisier, 30 ans, célibataire, rue de
Menin. Vandendriessche, Julie, religieuse, 54 ans,
Place du Palais de Justice.
Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masc., 0 id. fém., 4.
le 16 Avril 1887.
A qui la faute
Nous répondons sans hésiter, au collège èchevinal
nos conseillers communauxtous ceux qui siègent
l'Hôtel-de-Ville et dont quelques-uns, non contents
d'empocher l'argent des contribuables, cumulent encore
illégalement et sans vergogne avec leurs fonctions de
conseillers, d'autres fonctions plus lucratives encore.
MM. Devos et Ryckewaert pourraient mieux que per
sonne nous fournir ce sujet de plus amples rensei
gnements.
Les coupables sont ceux qui, chargés de veiller
aux intérêts de la ville, n'osent pas élever la voix pour
protester quand ils voient gaspiller les deniers publics
pour créer des squares ridicules servant seulement
l'embellissement du collège épiscopal.
Sont encore coupables ceux qui, en matière de
travaux, font des âneries comme celle commise lors de
la restauration de notre théâtre. Cette entrée prise et
les démolitions qui en ont été la conséquence ont déjà
cofité, la ville, des sommes folles et tout est loin
d'être terminé. Cela est tellement vrai que, quand des
sociétés ou des troupes étrangères font usage du théâ
tre, elles se trouvent obligées d'avoir recours la
maudite Philharmonie pour éclairer l'immeuble
communal.
Ce sont encore ces hommes qui, l'hiver passé,
enrichissaient les étrangers pendant que les ouvriers
poperinghois étaient sans travail.
Ce sont ceux qui, par leur signature, ont donné
leur approbation des cahiers de charge défendant aux
entrepreneurs, travaillant pour le compte de la ville,
de faire usage de briques de fabrication poperinghoise
c. d. sortant des chantiers de MM. Coevoet, Del-
bove, Lahaye et Ryckebusch.
Ce sont ces hommes qui ont de l'argent en
abondance quand il s'agit de rembourser de sommes
importantes ceux qui, sans l'autorisation et Vinsu
du conseilfaisaient, il y a quelques années, les géné
reux avec l'argent des contribuables.
Voilà les principaux coupables.
Viennent ensuite certaines personnes, jalouses de la
juste popularité dont jouit M. Baeckeroot. Il est vrai
que leur influence n'est pas très-grande, toutefois il est
écœurant de voir des nullités qui, tout en donnant des
poignées de mains l'honorable commandant, se ré
jouissent chaque fois qu'ils peuvent trouver une occa
sion pour le blâmer. C'est ce que nous avons pu consta
ter dans le dernier incendie de la part du plus triste et
du plus insignifiant personnage de la ville qui, comme
toujours, y jouait le rôle de la mouche du coche.
Mais si M. Baeckeroot n'est pas suffisamment sou
tenu par la ville il n'est pas secondé davantage par ses
officiers. En effet que voulez-vous qu'il fasse avec ceux-
ci (les plus honnêtes gens si vous voulez) alors que,
comme on a pu le constater dernièrement, ils ne con
naissent pas le premier mot de leur métier. Nous vou
drions voir, dans un incendie,ces braves gens expliquer
leurs subalternes la théorie et la manœuvre des pom
pes. Nous les croyons incapables de le faire et dès lors
que pouvez-vous attendre de pareils aides T.
(Pour être continué).
Poperinghe, le 16 Avril 1887.
Lundi matin, de bonne heure, un incendie a éclaté
Watou dans la boulangerie appartenant au sieur
Deheegher.
Combattu vigoureusement dès le début, le sinistre
n'a pas pris les proportions qu'on pouvait redouter et
les dégâts ont été relativement peu considérables.
Comme on craignait que par suite du vent les bâti
ments avoisinants auraient pu être atteints, un exprès
cheval fut dépêcher Poperinghe pour demander du
secours.
Notre honorable bourgmestre, après avoir consulté
son confesseur, a bien voulu consentir ce que nos
braves pompiers partissent pour Watou afin de
combattre l'élément destructeur...!!
Mais (ils n'ont pas de chance nos gaillards de nou
veau ils sont arrivés trop tard et tout danger avait
disparu depuis plus de trois heures quand ils ont fait
leur entrée dans la commune illustrée par le célèbre
ex-notaire Capelle.
Ce qui ne les a pas empêché de recevoir, nous
ne savons au juste de qui, deux francs par homme et de
rentrer triomphalement Poperinghe coiffés d'un léger
plumet.
0 Bacchus, du haut de l'olympe, combien, en
voyant marcher, nos bons pompiers, tu devais être fier
de tes enfants.
La Philharmonie avait arboré son drapeau Diman
che dernier. Elle célébrait la fête patronale de son
dévoué Président. A cette occasion une sérénade con
cert était donnée M. Van Merris. Les morceaux ont
été supérieurement joués et une fantaisie sur des mo
tifs de Zampa a été très-goûtée par les nombreuses
personnes qui étaient venues écouter les Philharmo-
nist.es.
A trois heures de l'après-midi, tous les promeneurs
se dirigeaient vers la Leene où devait avoir lieu un tir
la Cible Chinoise, offert aux musiciens pt aux anciens
pompiers. Des prix, d'une valeur de 110 fr., y furent
vivement disputés et vers 5 1/2 heures les Philhar-
monistes rentrèrent en ville aux sons de gais pas re
doublés.
Le soir, un souper de 130 couverts réunit les exécu
tants, les élèves et les anciens pompiers et l'on se
sépara assez tard dans la nuit après avoir passé une
charmante journée laquelle avait présidé la plus
franche amitié.
Nos meilleurs remerciements notre digne et gé
néreux Président pour les heures agréables qu'il nous
a fait passer.
Monsieur Emanuel Huisman-August, dentiste améri
cain, demeurant 8, rue S1 Georges, Bruges, sera con
sulter YPRES tous les Samedis de chaque semaine de
10 heures du matin, 3 heures de l'après-midi, rue
Wenninck, n° 6, Ypres.
Pour plus amples renseignements, voir la grande an
nonce, la 4e page.
Marché d'Ypres.
ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains,
fourrages et autres produits agricoles, vendus le
16 Avril 1887.
NATURE
DES
GRAINS ET DENRÉES
QUANTITÉS
VENDUES
KILOGRAMMES
PRIX MOYEN
PAR
CENT
KIL0GR.
POIDS MOeD
DE
l'hecto
litre.
5,800
19 25
80
1,700
15 25
73
2,700
15 50
44
700
19 00
80
Féveroles
3,200
17 50
80
Pommes de terre
5,000
6 00
■12,044
245 00
CI ,4 VTr A rendue sans médecine et sans
OAA 1 lii A lUUh purges et sans frais par la
pélicieuse farine de santé Du Barry de Londres, dite
Trente cinq ans d'un invariable succès, en guérissant les
dyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies, glaires,
vents, aigreurs, acidités, palpitations, pituites, nausées, renvois,
pomissements, constipation, diarrhée, djssenterie, coliques,
ébthisie, toux, asthme, étouffements, étourdissements, oppressions
congestions, névrose, insomnies, mélancolie, diabète, faiblesse,
puisvement, anémie, chlorose, tous désordres de la poitrine,
gorge, haleine, voix, des brouches. vessie, foie, reins, intestins
membrane, muqueuse, cerveau et sang ainsi que toute irritation et
toute odeur liévreuse en se levant, ou après eertains plats, compro
mettants. oignons, ail, etc., ou boissons alcooliques, même après le
tabac. C'est en outre la nourriture par excellenee qui seule réussit
éviter tous les accidents de l'enfance. 90.000 cures, y compris
celles de Sa Majesté l'Empereur Nicolas de Sa Sainteté feu le Pape
Pie IX, de Mme la duchesse de Castlestuart, le duc de Pluskotv,
Mme la marquise de Bréban, lord Stuart de Decies, pair
d'Angleterre. M. le docteur-professeur Wurzer etc.. etc.
N» 65,476: M. le curé Compare!, de 18 ans de dyspepsie, de
Attention cette marque.
Plusieurs contrefacteurs ont été punis.
Victor GRfiMMOIVPREZ-LESAGE, coifTeur,
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