SOCIETE GENERALE D'EPARGNE 3 iffSIiSP H. Gérard-Watremez, REVALEL\TA ARABICA Vente crédit des Obligations belges VILLE DE BRUXELLES. EMPRUNT DE I886. 1,25 2,50 @00 fp. M. Vanden Berghe, Échevin des Travaux publics, 'cl la boue du S' Jans Vvvcr. A Bailleul. A Ypres. Différence entre les deux voyages. Les Catholiques voyagent au moyen de l'argent du peuple et les Libéraux leur propre dépens. Capital 1,000,000 de fr. pouvant être porté 10,000,000 de fr. SIÈGE SOCIAL: 5, BOULEVARD DU JARDIN BOTANIQUE, A BRUXELLES. Président du conseil M. V. De Tiège, ingénieur, propriétaire Bruxelles. Administrateurs MM. V. de Codt L. Dalebroux J.-B. Bogaert A. Bellefroid J. Batard J. Deprez E. Wouters-Dustin. Commissaires: MM. N. Tremouroux, chevalier de l'ordre de Léopold, industriel Saint-Gilles A. Wayez, ingénieur Braine-l'Alleud. Payable cinq francs en souscrivant, FRANCS cinq francs le mois suivant et le surplus par versements minimums de GROS LOT |00,000 FRANCS DE Mes Ateliers, pour cause d'agrandissement, sont transférés RUE DE L'ETOILE, 9, YPKES. LE FLACON. SEUL DÉPÔT LE DOUBLE FLACON. SEUL DÉPÔT A YPRES, 'RÉGÉNÉRATEUR AU QUINQUINA vous donc que je négligerai ma boutique pour satisfaire les caprices de mes administrés? Après quoi il congédia son solliciteur. Mais,comme avec le ciel, il y a des accommodements, M. l'Echevin fait une exception chaque fois qu'un de ses amis politiques le demande C'est ainsi qu'on a averti toutes les personnes qui devaient se marier Mercredi dernier, que ce jour-là, le bureau de l'état— civil allait chômer et qu'exceptionnellement on procéde rait la veille aux mariages. Inutile de dire le désappointement des personnes qui déjà avaient pris toutes les mesures pour le Mercredi. Mais pour quels motifs ces brusques changements Tout simplement parce qu'un congréganiste quelconque devait se marier et qu'il n'entrait pas dans les conve nances de celui-ci d'attendre jusqu'au Mercredi. Nous serions loin de critiquer cet acte de complai sance si le seigneur Vanden Berghe ne refusait pas systématiquement aux uns ce qu'il accorde avec tant d'empressement aux autres. D'ailleurs, on ne se souvient pas d'avoir connu Po- peringhe un échevin moins obligeant et M. Van Re- nynghe Henri comme MM. Van Merris Jules, Vanden Berghe Pierre, Devos Charles et Van RenyngheAchille, qui successivement ont rempli les fonctions d'officier de l'état—ci vil, s'empressaient toujours, quand la demande était fondée, de changer le jour et l'heure habituelle du mariage. Quant M. Vanden Berghe, apothicaire, il fait le complaisant avec ses amis et avec ses clients mais pour les autres, il reste inexorable. Cependant la caisse com munale paie largement les maigres et surtout les inin telligents services que M. Purgos rend ses administrés. Il empoche annuellement de ce chef une somme ronde lette de Kt Dieu sait, si, pendant qu'il occupe par intérim les fonctions de l'Echevin des travaux publics, il ne se lait pas payer encore les 600 fr. qui sont attaches cette place, ce qui expliquerait alors pourquoi l'on tarde si longtemps de nommer un titulaire. Mercredi dernier, vers les 5 heures du matin, on a procédé l'exhumation de feu le R. De Boo et ses res tes mortels ont été déposés,sans tambour ni trompette, dans un nouveau caveau construit au cimetière de la ville sous la haute direction et la surveillance de M. Vanderheyde. Nous pouvons donc espérer de voir bien tôt fixer le jour de la grrrande fête d'inauguration du monument et d'entendre exécuter la cantate Retsin. A quand maintenant le tour des.R.R. Verghote, Vuylsteke et Rysman? Nos gros bonnets ne pourraient- ils pas non plus se souvenir un jour que Poperinghe a compté parmi ses enfants un Gouverneur qui. pendant sa longue et laborieuse carrière, n'a cessé de rendre les services les plus signalés ses concitoyens, n'importe quel parti ils appartenaient Ils pourraient songer aussi Charles Van Renynghe ancien Conseiller Pro vincial que les hommes du K, K. faisaient passer en son vivant pour le primus inter pares de la Pope- rinchine. Il n'en sera rien et ce n'est pas l'homme aux bro chets qui s'occupera des Poperinghois qui ont utilement passé la plus grande partie de leur existence en ren dant des services leurs concitoyens. M. l'Echevin en finirez-vous bientôt avec la boue du S1 Jans Vyver Voilà une mauvaise farce qui commence ennuyer tout un quartier de la ville et qui effraie de plus en plus les malheureux qui habitent le voisinage de ce foyer pestilentiel. En commençant les travaux, exécutés uniquement pour être agréable un Conseiller Communal, M. Vanden Berghe faisait accroire au public que l'enlèvement de la boue allait se faire, comme par enchantement, mais hélas, pour s'en débarrasser, il se trouve réduit au jourd'hui puiser de nouveau dans la bourse des con tribuables. Pourquoi donc ne pas faire supporter les frais de ce travail, par celui qui seul avait intérêt de le voir exécuter immédiatement. Il y a quelques années, M. Vanden Berghe, dans une réunion de la musique du K. K., où il occupait le fauteuil de la présidence, promettait beaucoupmais beaucoup d'argent pour mettre l'adjudant Félix même de pouvoir aller, sans bourse déliée, parader l'étran ger. Il tient parole et. voyant que des richards tels que M. Berten et l'avocat busé sont trop pingres pour faire le sacrifice de quelques billets de 100 fr., il puise des deux mains dans la poche des contribuables. C'est ainsi que les artistes du K. K. vont faire le 11 Septembre prochain une nouvelle excursion. Ils se rendront Bailleul... Croient-ils peut-être que MM. les musiciens de Bailleul ont déjà oublié l'accueil que Félix leur a fait lors de leur visite dans notre ville Mais, sachez donc, lecteurs, que c'est justement le fruit sec de l'Aima Mater qui a rêvé ce voyage et ce pour le motif qu'il pourra, dans cette ville, où il n'a pas été mal busé (il ne peut pas l'avoir oublié si vite), jouer le rôle du Paon et faire le grand seigneur avec nos patacons. Si les pieux Fanfares du K. K. se rendront Bail leul le 11 Septembre prochain, la Société libre et indé pendante de la Philharmanie assistera le 28 de ce mois aux fêtes d'Ypres. C. A ]%7rT,C1 A rendue sain médecins et «an» 0AI111 lit A IUU^ purges el ,ans fraie par ,a pélicieuse farine de santé Ou Barry de Londres. dite Trente cinq ans d'un invariable succès, en guérissant les vyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies, glaires, dents, aigreurs, acidités, palpitations, pituites, nausées, renvois, potnissemenls, constipation, diarrhée, djssenlerie, coliques éhthisie, toux, asthme, étouffements. étourdissements. oppressions congestions, névrose, insomnies, mélancolie, diabète, faiblesse, puisvement. anémie, chlorose, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des brouebes. vessie, foie, reins, intestin, membrane, muqueuse, cerveau et sang ainsi que toute irritation et toute odeur fiévreuse en se levant, ou après certains p'.als, compro incitants, oignons, ail, etc., ou boissons alcooliques, même après le tabac. C'est en outre la nourriture par excellence qui seule réussit éviti r tous Ie< accidents de l'enfance. 90,000 cures, y compris celles de Sa Majesté l'Empereur Nicolas de Sa Sainteté feu le Pape Pie IX, de Mme la duchesse de Castlesluart. le duc de Pluskowi Mme la marquise de Brébau, lord Stuarl de Decies, par, d'Angleterre. M. le docteur-professeur Wurzer etc etc. N» 63,47ô: M. le curé Coinparet, de 18 ans de dyspepsie, de gastralgie, de souffrance de l'estomac, des nerfs, faiblesses et sueure et nournes Cure N« 99,625. Avignon, 18 Avril 1870. LaRevalenta Ou Itarry m'a guérie, l'âge de Cl ails. d'éDOUvantables souffrances de vingt ans. J'avais des oppressions des plus terribles, ne plus pouvoir faire aucun mouvement, ni m'habiller, ni déshabillèr avec, des maux d'estomac jour et nuit el des insomnies horribles. Contre toutes ces angoisses, tous les remèdes avaient échoué la Revalenta m'en a sauvé comulètemeut. Bosrkl, née Carbonnettey, rue du Balai. 11. Quatre fois nourrissante comme la viande, sans échauffer elle économise encore 50 fois son prix en médecines En boites. 1/4 kil., fr. 2-25; 1/2 Itil4 fr., 1 kil.. 7 fr.; 12kil.,70fr. Les Biscuits de Revalenta, en boites de 4 et 7 fr. La Revalenta chocolatée 1/2 livre, fr. 2-25; 1 livre,4 fr.; 2 livres. 7 fr. Envoi contre bon de poste franco. Dépôt partout, chez les pharmaciens et épiciers Do Barrt et Cm. limited Agent général pour la Belgique. m. Emilr TIMMERMANS, rue Rouppe, 6 el 8, Bruxelles. Dépôt YPRES. Frysou-Vanoutrive, phaimacieu. rue de Dixmude. Becuwe, pharmacien. A. Delhaizeel G», Grand'Place, 22. MOORSLEDE. Ch. Bostyn. boulanger. Marché d'Ypres. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 27 Août 1887. NATURE des GRAINS ET DENRÉES quantités vendues kilogrammes prix moyen par cent kilogr. poids MOen de l'hecto litre. 14,800 19 00 80 3,200 15 50 73 1,600 13 75 44 600 18 50 80 Féveroles 000 00 00 80 Pommes de terre 4,500 8 50 Beurre 12,146 307 00 OEufs le quarteron 2 00 (société anonyme) Administrateur-délégué M. C. Deprez, propriétaire Bruxelles. au cours de la Bourse de Bruxelles, augmenté des frais généraux, intérêt 6. p. c. pendant la durée du crédit accordé et une commission de banque. Dès qu'il a effectué le premier versement, l'acheteur participe TOUS LES TIRAGES son bénéfice exclusif. Les coupons authentiques des obligations lui sont attribués CHAQUE ÉCHÉANCE. Moyennant l'envoi ni un rnlUPP par chaque obligation souscrite, tout d'un mandat-poste de LIN U I KAIlLo acheteur participera au tirage du PAR MOIS. AU TIRAGE DU 15 SEPTEMBRE. GUÉRSSON'STTIRIDITÊ LesTV2VIP-£iN"S JiKTZFZC:^I.S, bre.etés,deNZCHOX.SOWt guérissent ou toulageut la Surdité, quelle qu'en soit la cause. Le» yuértsons les plus remarquables ont été faites.Envoyer 25 centimes pour recevoir franco un livre de 80 pages illustré, contenant les descrip tions intéressantes des essais qui ont été faits ponr guérir la Surdité, et aus.M d. s lettres de recommandation de Docteurs, d'Avocats, d'Editeur* et autres hommes émioenls qui ont été guéris par ces l'kMPANS et les recommandent hautement.En écrivant, nommez ce journal S.V. P. Adresser J. If. NICHOLSON, 4, rue DrouoU Pari* fondé Ypres depuis quinze ans et justement connu par la haute clientèle de tout l'arron dissement pour la beauté et la durabilité du travail, mon établissement comme toutes les maisons de premier ordre n'a pas de colporteur pour chercher l'ouvrage domicile et surtout se faire payer l'avance. A YPRES, Vermeuten-Joos, 22, rue au Beurre. 2 fr. 50 r GRAND FLACON 4s H. k W. HAREIS Frères, chimistes I.cràres ne tache pas, ne crasse pas la tête, sèche vite. 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Le Progrès (1841-1914) | 1887 | | pagina 3