B ACHES BERICHT. VILLE DE ROULERS. SACS UNE PERSONNE, POISSONNERIE Nouvelles diverses. SANTÉ A TOUSp^rJStlr:': REVALEiYTA ARABICA COMMERCE. EMPRUNT D'UN MILLION. IMPERMÉABLES en tous genres DE J. DECEUNINCK-WYCKHUYSE, Pastilles Pectorales. HPOPER^H 416 voix sur 1012 électeurs de 379..*. suffrages OBLIGATIONS Les Intérêts payables par semestre, OBLIGATIONS Payables le 2 Novembre. On souscrit chez M. Amand DE CHIÈVRE, Banquier, Ypres. M. YONCK-CLEMENTBanquier, Ypres. den van twee gemeubleerde plaatsen, te Yperen, om er raadplegingen te geven. Zooveel mogelijk in een gesloten huis. Zich zoo haast mogelijk te wenden onder letters W. P. 30, poste restante, te Oostende. FABRICATION SPÉCULE ROIÏ/.EKS. disposant de deux heures par jour, VOUDRAIT DONNER DES LEÇONS DE DESSIN. Een TANDMEESTER vraagt om PRIXMODÉRÉ eens per week in hetgebruik te tre-S'adresser rue des Récollets, 3, Ypres MERAÏNY - PAUWELS YPRES. MM. J'ai l'honneur de vous informer de l'époque de la nouvelle saison des Huîtres. Je puis actuellement vous fournir des Huîtres Burnham natives. Huîtres de Zélande, 1" qualité, Huîtres Anglaises royales, Huîtres d'Ostende, grandes, Huîtres Anglaises dites «Westports. Toutes ces Huîtres sont prises au 100, sauf les Huîtres royales Anglai ses et les Huîtres d'Ostende dont ma maison sera toujours pourvue et que je vends éh gros et en détail. Je puis également vous fournir des gros Homards de Bretagne et des Lan goustes vivantes, du Turbot, du Sau mon et tout autre poisson de mer. Nous nous rendons également do micile pour écailler les Huîtres. bataire, rue Longue de Thourout. Euckelora, Clémen ce, dentellière, 66 ans, célibataire, Place Alphonse Vandenpeereboom. Geinders, Pierre, tailleur, 90 ans, veuf de Victoire Poncheau, rue de Menin. Vandewvnc- kel,. Aloïse, cordonnier, 18 ans, célibataire, rue de Menin. Elewaut, Joseph, 6b ans, célibataire, rue Lon gue de Thourout. Enfants au-dessous de 7 ans Sexemasc. 1 Id. fém. 3. le 18 Novembre 1887. Notre fidèle correspondant du K.K. nous assure que M. Vanderheyde a été on ne peut plus affecté du résul tat des dernières élections. Le leader des intransigeants se sent d'autant plus humilié qu'il s'est vu distancer de 17 voix par un sim ple cultivateur, jusqu'alors pour ainsi dire inconnu de ses concitoyens. Que voulez-vous, M. le Docteur, il faudra bien vous consoler, d'autant plus que vous seul êtes la cause du camouflet que vous venez de recnvoir. Car, retenez le bien, la majorité de la ville, tout en étant foncièrement religieuse, n'est pas intransigeante en politique et elle ne prétend aucun prix se laisser mener là, où vous et les vôtres, vous voulez la conduire. Aussi, illustre Esculape, et vous insignifiant busé de Louvain, sachez le bien, la partie modérée de vos co- réligionnaires politiques ne veut pas de vous. Elle juge sagement que, si dans une ville les habitants peuvent avoir des opinions politiques diverses, rien ne les em pêche de vivre en paix et en repos. Cest cependant ce quoi vous voudriez mettre ob stacle et vous en avez donné des preuves qui sont encore présentes la mémoire. Ainsi lorsque la société Philharmonique revint de Beauvais, où elle venait de remporter un si éclatant succès, vous vous opposâtes ce que la ville la reçut officiellement et plus tard vous blâmâtes M. Baeckeroot, Commandant des Pompiers, qui en homme bien élevé et se conformant aux précé dents, s'était permis, sans votre permission, de se conduire en gentilhomme, l'égard d'une société libé rale. Vous avez reçu le juste châtiment de votre exclu sivisme et le 16 Octobre dernier, le corps électoral vous a condamné en ne vous accordant, vous M. Vanderheyde, malgré la pression du clergé, que le nombre insignifiant de et M. Lava, votre nouvelle recrue, qui réclamait du ciel la faveur du martyr, celui plus insignifiant encore Mais trêve du passé et occupons-nous de ce qui est plus urgent, la nomination d'un échevin et celle d'un officier des Pompiers en remplacement de M. Lebbe qui a quitté la ville: Comme le disait, dernièrement, le correspondant de la Toehomst, nos hommes d'état doivent être dans leurs petits souliers quand la question de l'échevinat vient sur le tapis. Il faudra cependant en finir, car rarement on a vu une ville de 11,000 habitants, ayant un bourgmestre qui doit s'absenter pendant les trois quarts de l'année, n'avoir pour toute autorité administrative qu'un éche vin et encoremou Dieu quel échevin Nous comprenons cependant la difficulté de la posi tion. On ne sait qui nommer et peine croit-on avoir découvert un candidat, qu'immédiatement on se heurte toutes espèces de difficultés. Nous jugeons toujuurs M. Vanderheyde comme ayant trop d'esprit pour ne pas comprendre que, plus que jamais, malgré son vif désir de devenir le coq du village, il est tout-à-fait impossible, et qu'il ne sera jamais le candidat de M. Berten. Il n'ignore pas non plus que son socius, Félix, est devenu d'une impopula rité telle que sa nomination serait un véritable défi jeté au public et en particulier la partie modérée de son parti. Quant M. Degryse, qui, pour la généralité des poperinghois, reste toujours celui qui, parmi les con seillers, pourrait le mieux convenir pour remplir les fonctions d'échevin, il ne sera jamais nommé si ce sont les pointus qui l'emportent. D'un autre côté nous savons, de bonne part, que l'honorable M. Dewulf, aucun prix, ne voudrait de la place, et que M. «Quaghebeur» est trop «modeste» pour se laisser coiffer d'un chapeau claque. Il reste donc M. le Bourgmestre, qui porte le ben jamin du conseil dans son coeur d'octogénaire, de pro poser M. Lava, pour remplir ces fonctions Quant la place d'officier âes Pompiers, actuelle ment vacante, tout ce que nous pouvons dire ce su jet, c'est que l'éternel Félix n'en veut aucun prix. Il en a assez des Pompiers depuis que la presqu'unanimité de nos pandores a déclaré qu'elle n'en voulait aucun prix comme chef. Il serait d'ailleurs par trop curieux de voir le sire de Framboisie se promenant côte côte avec M. Baecke root dont il combattit avec autant d'acharnement que d'audace la nomination de Commandant. Il y aurait peut-être un moyen de concilier le tout en nommant au poste vacant le sieur ELIAS L'efficacité vraiment merveilleuse des capsules Guyot dans les cas de rhume, bronchites, catarrhes, phtisies, est telle, que des envieux ont prétendu qu'elles devaient l'opium leur effet calmant. C'est simplement une calomnie. Une analyse présentée l'Académie de médecine de Paris prouve que pas plus que la pâte de Regnauld, les capsules Guyot ue renferment ni opium, ni morphine, ni codeine. 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C'est en outre la nourriture par excellence qui seule réussit éviti-r tous les accidents de l'enfance. 90.000 cures, y compris celles de Sa Majesté l'Empereur Nicolas de Sa Sainteté feu le Pape Pic IX. de Mme la duchesse de Castlestuart. le duc de Pluskowi Mme la marquise de Bréban, lord Stuart de Deeies, par, d'Angleterre. M. le docteur-professeur Wurzer etc etc. N» 03,476 M. le curé Comparet, de 18 ans de dyspepsie, de Sastralgic, de souffrance de l'estomac, des nerfs, faiblesseus els uree et nournes Cure N» 99,625. Avignon. 18 Avril 1876. La Revalenta du liarry m'a guérie, l'âge de 61 ans. d'épouvantables souffrances de vingt ans. J'avais des oppressions des plus terribles, ne plus pouvoir faire aucun mouvement, ni m'habiller. ni déshabiller avec, des maux d'estomac jour et nuit et des insomnies horribles. Contre toutes ce- angoisses, tous les remèdes avaient échoué la Revalenta m'en a sauvé complètement. Bo«rkl. née Carbonuettey, rue du Balai, 11. Cure N» 98,614 Depuis des années, je souffrais de manque d'appétit, mauvaise digestion, affectious du cœur, des reins, de la vessie, irritation nerveuse et mélancolie tous ces maux ont disparu sous l'heureuse influence de votre divine Revalenta. i éoN Pkyclet, institututeur, Eynanças (Haute-Vienne) Quatre fois nourrissante comme la viande, sans échauffer elle économise encore 50 fois son prix en médecines En boites. 1/4 kil., fr. 2-25; 1/2 kil4 fr., 1 Itil., 7 fr.; 12 kil., 70 fr. Les Biscuits de Revalenta, en boites de 4 et 7 fr. La Revalenta chocolatée- 1/2 livre, fr. 2-25 1 livre, 4 fr.; 2 livres, 7 fr. Envoi contre bon de poste franco. Dépôt partout, chez les pharmaciens et épiciers Du Barst et Cir, limited Agent général pour la Belgique. M. Emile TIMMERMANS, rue Rouppe. 6 et 8, Bruxelles. Dépôt YPRES. Frysou-Vanoutrive, pharmacien, rue de Dixmude. Becuwe, pharmacien A. Delhaizeel C°, Grand'Place, 22. MOORSLEDE, Ch. Bostyn. boulanger. Marché d'ïpres. ÉTAT indiquant les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles, vendus le 19 Novembre 1887. NATURE quantités prix moyen poids mocd des vendues PAR de cent l'hecto GRAINS ET DENRÉES kilogrammes kilogr. litre. 16,200 18 50 80 Seigle 3,100 14 75 73 Avoine 3,000 14 25 44 200 19 00 80 Féveroles 900 18 87 80 Pommes de terre 6,000 6 50 Beurre 9,017 300 00 OEufs le quarteron 3 40 DE 1000 ET DE 500 FR. 3 1/2 O/o- au lr mai et au 2 novembre. DE 100 FR. de AU BAUME DE TOLU préparées par Honoré STANDAERT, Pharmacien, rue des Pierres, 51, Bruges. Remède souverain contre les rhumes, bronchites et Laryngites. Ces pastilles, d'un goût très agréable, guérissent avec certitude toutes maladies de poitrine: telles que rhumes, coquelu ches, bronchites et laryngites chroniques, catharres pulmonaires, etc. Elles facilitent l'expectoration et cal ment la toux. 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Le Progrès (1841-1914) | 1887 | | pagina 3