MAGASIN CERCUEILS BOITES SOCIETE GENERALE D'EPARGNE 150,000 UNE PERSONNE, Bfiiiii H. Gérard-Watremez, EN BOIS ET EN ZINC, VILLE DE ROULERS. VILLE DE BRUXELLES. EMPRUNT DE I886. SANTE A TOUS;ï8ïïT.rS'p"" REVALENTA ARABICA CH. SPILLIAERT-BOUCHAERT, Porle du Cloître, Ypres. EMPRUNT D'UN MILLION. Vente crédit des Obligations belges Terrible catastrophe dans la Manche. disposant de deux heures par jour, VOUDRAIT DONNER DES LEÇONS DE DESSIN. PRIX MODÉRÉ S'adresser rue des Récollets, 3, Ypres POUR COURONNES MORTUAIRES, A DES PRIX TRÈS-MODÉRÉS, CHEZ ENTREPKËNEUtt ft VITRIER, OBLIGATIONS Les Intérêts payables par semestre, OBLIGATIONS Payables le 2 Novembre. On souscrit chez M. Amand DE CHIÈVRE, Banquier, Ypres. M. VONCK-CLEMENTBanquier, Ypres. Mes Ateliers, pour cause d'agrandissement, sont transférés RUE DE L'ETOILE, 9, YPRES. GUÉRISON'SURDITÉ Capital 1,000,000 de fr. pouvant être porté 10,000,000 de fr. SIÈGE SOCIAL: 5, BOULEVARD DU JARDIN BOTANIQUE, A BRUXELLES. Payable cinq francs en souscrivant, t t\ FRANCS cinq francs le mois suivant et le surplus PAR par versements minimums de W MOIS. GROS LOT DE AU TIRAGE DU 15 JANVIER FRANCS prix auxquels elles se chargeraient d'installer des lampes arc ou incandescence, suivant des conditions d'ensem ble et de détail déterminer. C'est une preuve nouvelle de l'intérêt que prend le Comité Exécutif aux applications de l'électricité, cette branche de l'industrie, dans laquelle le promoteur du Grand Concours, M. l'ingénieur Somzée, s'est acquis des titres et une notoriété incontestables. On écrit de Saint-Hubert, le 21 courant Un vol audacieux a été commis, hier, vers midi, dans la gare de notre chemin de fer vicinal. L'employé distribu teur des coupons avait pendu sa sacoche contenant une soixantaine de francs près du guichet, dans le bureau du chef. Vers 1 heure, il n'y a pas d'employés la station; un filou a profité de ce moment pour fracturer le guichet et s'est emparé du contenu de la sacoche. La police croit être sur les traces du voleur. On télégraphie Y Indépendance Douvres, 20 Novembre, 7 h. soir. C'est hier soir, 10 heures, par un brouillard épais, et trois milles au plus de Douvres, qu'a eu lieu la collision entre le steamer hollandais Scholten et la Rosd-Maryde Hartlepool. La plupart des passagers du Scholten étaient ce mo ment couchés dans leurs cabines ou installés dans l'entre pont. Au premier choc, ils se sont précipités sur le pont, affolés. Il y a eu une panique indescriptible. Beaucoup de voyageurs semblaient avoir perdu la raison. Au milieu de la confusion, les matelots ont eu toute la peine du monde mettre les bateaux de sauvetage la mer. Deux canots avaient été lancés, toutefois, lorsque le navire, terrible ment avarié et faisant eau de toutes parts, a sombré. Le Scholten a coulé si vite que l'équipage n'a pas eu le temps de songer au sauvetage des passagers qui n'étaient pas descendus dans les canots. Le nombre de voyageurs ou matelots qui ont réussi s'échapper dans les chaloupes est de 85 ils ont débarqué et ont été logés l'asile des ma rins de Douvres (Sailors' Home). Le steamer Ebro de Sunderland, un navire garde-côtes et un autre bâtiment ont également recueilli quelques naufragés 130 personnes au moins ont péri. Il n'y avait bord que neuf ou dix Anglais. Le plus grand nombre des pas sagers étaient Hollandais ou Allemands. Cette catastrophe a produit ici une profonde émotion. On aperçoit distinctement les débris du Scholten fleur d'eau. Les matelots survivants affirment qu'au moment où a eu lieu la collision, le Scholten venait de stoper et de jeter l'ancre, cause du brouillard. C'est au capitaine de la Rosa-Mary que reviendrait donc toute la responsabilité de la catastrophe. 10 heures soir. M. Abbleby, un survivant de la catastrophe, raconte que le Scholten avait été heurté bâbord et que le navire coulait pic. Il y eut des scènes affreuses. Des mères tenaient leurs enfants étroitement embrassés des cris et des sanglots éclataient des passagers agenouillés priaient haute voix. Deux des cinq chaloupes seulement ayant pu être mises la mer, on distribua aux passagers tout ce qu'il y avait de ceintures de sauvetage bord mais le nombre en était insuffisant. Quelques-uns des passagers vêtus de la ceinture ont surnagé et ont été sauvés. Dans l'après-midi de Samedi, quelques passagers du Scholten s'étaient amusés se revêtir des ceintures de sauvetage, pour plaisanter. Ils ne s'attendaient pas avoir les utili ser quelques heures après. 21 Novembre, 9 heures du matin. Jusqu'à présent, on a retrouvé 31 cadavres. Le capitaine de la Rosa-Mary prétend avoir été abordé par leScholten. Néanmoins, les survivants persistent affirmer que c'est le contraire. La Rosa-Mary a été elle-même endommagée. Elle est entrée très-avariée Douvres. Le Scholten faisait régu lièrement le service de Rotterdam New-York. Au nombre des sauvés se trouvent 20 matelots. Le chef-mécanicien, après avoir lutté trois heures contre les flots a été recueilli par un navire se rendant Bilbao. 2 heures soir. Deux nouveaux cadavres ont été rejetés par le flot Deal. M. Robson, un survivant de la catastrophe, déclare qu'il y avait bord 800 ceintures de sauvetage seule ment, la plupart ont été englouties avec le navire. Le grand mât du Scholten dépasse l'eau de 21 mètres ma rée haute. Le capitaine de YEbro dit que le pont du Scholten a sauté lorsque YEbro est arrivé 110 mètres du vaisseau en détresse. Quatre-vingt des passagers sauvés vont retourner Rotterdam et s'embarquer Mercredi, pour New-York, leur destination! pélicieuse Farine de santé Du Barry de Londres, dite Trente cinq ans d'un invariable succès, en guérissant les vyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies, glaires, dents, aigreurs, acidités, palpitations, pituites, nausées, renvois, pomissements, constipation, diarrhée, djssenterie. coliques, éhthisie, toux, asthme, étoufiFements, étourdissements, oppression, congestions, névrose, insomnies, mélancolie, diabète, faiblesses puisvement. anémie, chlorose, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des brouches, vessie, foie, reins, intestin, membrane, muqueuse, cerveau et sang ainsi que tonte irritation et toute odeur fiévreuse eu se levant, ou après eertains plats, compro mettants. oignons, ail, etc., ou boissons alcooliques, même après le tabac. 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La femme de M. le maire de Volvie, d'une iritation pulmonaier avec crachement de sang et toux opiniâtre. Mon enfant se trouve très-bien de votre Revalenta Docteur G. Proll, médecin, 8. rue Paradis. Nice. N» 98.716. M. le Professeur Dédé, Paris, a observé pendant de années que la Revalenta donne une santé florissante aux bébtés, se aux mères un lait riche et abondant, M. Gauthier, Luzarches, d'une constipation opiniâtre, perte d'appétit, catarrhe, bronchite. M. le Professeur Benecke a sauvé son enfant par la Revalenta aprvs que toutes les ressources médicales avaient été épuisées la guérir de vomissements contiuuels Egalement l'enfant de M. J. G. Montanay, 44, rue Condorcet, Paris, et le bébé de Mme Elize Martinet Alby. rue du Tunnel, Valenee et de milliers d'autres nourrissons. Quatre fois nourrissante comme la viande, sans échauffer elle économise encore 50 fois son prix en médecines En boites. 1/4 kil., fr. 2-25; 1/2 kil., 4 fr.; 1 kil., 7 fr.- 12 kil., 70 fr. 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Wayez, ingénieur Braiue-l'Alleud. au cours de la Bourse de Bruxelles, augmenté des frais généraux, intérêt au taux moyen de 4 1/2 p. c. l'an, pendant la durée du crédit accordé et une commission de banque Dès qu'il a effectué le premier versement, l'acheteur participe TOCS LES TIRAGES son bénéfice exclusif. Les coupons authentiques des obligations lui sont attribués CHAQUE ÉCHÉANCE. niun rnltlPP par chaque obligation souscrite, tout LIN V I nAIlLo acheteur participera au tirage du Moyennant l'envol d'un mandat-poste de

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Le Progrès (1841-1914) | 1887 | | pagina 3