MAGASIN CERCUEILS BOÎTES 1888. POISSONNERIE ASTHMATIQUES UNE PERSONNE, CH. SPILLIAERT-BOUCHAERT, Nouvelles diverses. SANTÉ A TOUS ~ï*STÏ?ï REVALENTA ARABICA EN BOIS ET EN ZINC, guérissez-vous LA CLLEBRE POUDRE ESCOUFLAIRE. 1888 Edmond VAN ALLEYNNES was, zooveel in het openbaar als in het bijzonder leven, een voorbeeld van rechtschapenheid en rondborstig- heid; hij had tegenstre vers, maargeene vijanden. Ieder moet bekennen dat hij zijne gedachten openlijk voordroeg en ze warm wist te verdedi- gen. En die gedachten kan ik niet beter samen- vatten dan in deze enkele woorden Hij wilde wat was recht En huit jours, guérison garantie des rhumes, toux, bronchites, oppressions, maux, de gorge, etc., par LA PASTILLE WALTHERY. 1 fr. la boîte. Variétés. de POUR COURONNES MORTUAIRES, A DES PRIX TRÈS-MODÉRÉS, CHEZ ENTREPRENEUR ft VITRIER, Porte du Cloître, Ypres. MERA1NY - PAUWELS YPRES J'ai l'honneur de vous informer de l'époque de la nouvelle saison des Huîtres. 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Lithographiées, fr. 3-50 le cent. Ces dernières sur carton ivoire français. Exécution soignée. welke soms wel droevig en pijnlijk is 't is een laatste vaarwel te zeggen aan den merk- weerdigsten onder de leden, aan hem die de maatscTiappij beschermde, aan den strijder die haar vaandel hoog en recht hield. En die plicht, Mijne Heeren, valt in deze omstandigheid zoo- veel te zwaarder, daar gii allen weet wat wij aan Edmond VAN ALLEYNNES verschuldigd zijn. Toen het is nu bijna vier jaren geleden eenige mannen het ontwerp vormden in onze stad eene afdeeling van het Willems-Fonds te stichten, was het met te vergeefs dat zij zich tôt onzen beminden vriend wendden. Onder de eer- sten had hij verstaan, dat in Vlaanderen de ver- spreiding der vrijzinnige gedachten eene nieuwe rxchting moest nemen door het Vlaamsch moet de heropbeuring van ons volk geschieden, en niet anders dan door het Vlaamsch. Gij weet allen, Mijne Heeren, hoe aanhou- dend onze vriend was in het bijwonen onzer vergaderingen en hoe vurig hij was in zij ne raadgevingen. Vooruit was zijn wachtwoord en hij wilde ons dit woord als tweede kenspreuk geven, aan ons die reeds op ons vaandel geschreven hadden: Clauwaert en de Geus Ja, Clauwaert was hijHij was fier over het grootsch verleden van zijnen stam hij be- minae zijne oude vlaamsche taal bovenal, en hij verdedigde ons doel en streven tegen alwie het aanviel of onze pogingen bespotte. Geus n was hij ook. Gij allen kendet zijne vaste overtuiging en beginselen. Zijn geheel leven van standvastigheid en eerlijkheid is voor ons eene schoone les. Herin- neren wij ons steeds, wat den diepbetreurden vriend, dien wij voor altijd verlaten, ons over korten tijd nog zegde De persoonlijke belan- gen moeten wij ken voor die onzer partij. Zoô verstond het onzen vriend, en daarom zal zijne nagedachtenis vereerd worden, door alwie hem kende. Beminde Edmond, in naam der leden vanhet Willems-Fonds, in naam uwer vlaamsche vrien- den, vaarwel Nous nous associons sans réserve ces éloges et ces suprêmes adieux et en saluant la dé pouille mortelle d'edmond VAN ALLEYNNES, nous émettons le vœu de voir la génération ac tuelle rester jeune de cœur comme le regretté défunt et travailler comme il l'a fait, avec dé vouement et abnégation, au triomphe des idées du libéralisme, c'est-à-dire du progrès. C'est la meilleure façon d'honorer la mémoire d'un des nôtres et nous espérons que nos amis n'y failliront pas. Le récent procès gagné par M Guyot, pharmacien, 19, rue Jacob, Paris, contre un de ses nombreux imitateurs, prouve la nécessité, pour les nombreux malades qui font usage du Goudron Guyot, de bien examiner, non pas seule ment si le nom Guyot se trouve sur les étiquettes, mais encore si ces étiquettes portent la mention t Maison L. Frère, 19, rue Jacob, Paris. Les effets si bienfaisants du Goudron Guyot en liqueur ou en capsules, contre les affections de la poitrine et de la gorge sont dus la bonne préparation de ces produits. Le dernier courrier de l'Extrême-Orient donne les pre miers renseignements sur les inondations du fleuve Jaune, le Hoang-Ho. Sous l'effort des eaux, la digue sud du fleuve s'est rompue sur une longueur de six kilomètres, et le fleuve, sortant de son lit, a ravagé une partie du terri toire de trois provinces. Dans un rapport l'Empereur, le gouverneur du Honan dit que, dans les districts atteints par le fléau, presque toute la population a péri les seules personnes qui aient survécu sont celles qui ont trouvé un refuge sur les points culminants et sur les ar bres. Non seulement ce désastre immédiat est immense, mais encore ces conséquences sont terribles pour l'avenir. Le Hoang-Ho charrie des sables qui apportent l'aridité dans les terrains qu'il inonde. Des plaines admirablement cul tivées sont ainsi transformées en landes stériles. Dans un mémoire qu'il a adressé Pékin, le fonction naire chargé de l'entretien des digues, Chien-Fu, demande qu'on défère au tribunal des peines plusieurs agents pla cés sous ses ordres, mais il demande aussi qu'on le fasse passer en jugement parce qu'il mérite un châtiment. Le gouverneur du Honan dresse son propre acte d'accu sation. Mais l'Empereur n'a pas voulu donner satisfaction ce dernier personnage après avoir prescrit de prendre toutes les mesures commandées par les circonstances et d'envoyer sur sa cassette particulière des secours impor tants aux inondés, il a exempté, par un acte spécial de grâce le gouverneur du Honan de toute peine. Une paysanne qui s'approchait de la sainte-table avait auprès d'elle son jeune enfant qui, au moment où le curé se baissait pour placer l'hostie sur les lèvres de la communiante, voulut toucher de sa main sacrilège le pain mystérieux. Chut chut mon petit, dit le curé, qui était un bon homme, le meilleur homme de sa paroisse, ne touche pas, c'est du caca .Un savetier anglais, qui joignait son état celui de pleurer aux enterrements, alla trouver un jour un de ses camarades et lui dit Tom, rends-moi un service. Lequel C'est d'être pleureur aujourd'hui pour par moi l'enterrement du banquier Carswel. Pourquoi n'y vas-tu pas toi-même? C'est qu'en conscience je ne puis pleurer aujourd'hui ma femme e<t morte ce matin. pélicieuse farine (le sanié On Barry de l.ondre». dite Trente cinr| ans d'un invariable succès, en guérissant les vyjpepsies. mauvaises digestions, gastrites, gastralgies, glaires, dénis, aigreurs, acidités, palpitations, pituites, nausées, renvois, pomissements. constipation, diarrhée, djssenlerie. coliques, éhlhisie. toux, asthme, élouffemenls, étourdissements. oppression, congestions, névrose, insomnies, mélancolie, diabète, faiblesse; puisvement. anémie, chlorose, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins, intestin, membrane, muqueuse, cerveau et sang ainsi que toute irritation et toute odeur riévreuse en se levant, ou après certains plats, compro mettants. oignons, ail, etc., ou boissons alcooliques, même après l« tabac. C'est en outre la nourriture par excellence qui seule réussit éviter tous le, accidents de l'enfance. 90.000 cures, y comprit celles de Sa Majesté l'Empereur Nicolas de Sa Sainteté feu le Pape Pie IX. de Mme la duchesse de Castlestu.irt. le duc de Pluskosv, Mme la marquise de Bréban, lord Stuart de Decies, d'Angleterre, M. le docteur-professeur Wurzer etc etc. N» 6-3,476: M. le curé Comparet, de 18 ans de dyspepsie, de Gastralgie, de souffrance de l'estomac, des nerfs, faiblessem eta uree etnournes. Cure N» 99,625. Avignon. 18 Avril 1876. La Hevalenta du llarry m'a guérie, l'âge de 61 ans. d'éDOUvantables souffrances de vingt ans. J'avais des oppressions des plus terribles, ne plu. pouvoir faire aucun mouvement, ni m'habiller. ni déshabiller avec» des maux d'estomac jour et nuit et des insomnies horribles. Contre toutes ces angoisses, tous les remèdes avaient échoué la Kevalenta m'en a sauvé coraDlètement. Bossu., née Carbonnettey, rue du Balai, 11. Cure N« 98.014 Depuis des années, je souffrais de manqua d'appétit, mauvaise digestion, affections du cœur, des reins, de la vessie, irritation nerveuse et mélancolie tous ces maux ont disparu sous l'heoreuse influence de votre divine Revalenl». son Pkvclbtinstituluteur. Eynanças (Haute-Vienne) N° 49,812: Mme Marie Joly. de cinqante ans de constipation, indigestion, nervosité, insomnies, asthme, tous flalus, spasmes, et nausées. N»46,270 M. Roberts, d'une consomption pulmonaire, avec toux, vomissements, constipation et surdité de 25 années. Cure N» 75,124: M. et Mme Léger, 128. rue Oberkampf, Paris, d'une maladie du foie, avec vomissements et diarrhées horribles qui avaient résisté tout traitement pendant 16 ans. Cure N» 794 712 Mine Chauvet Pizza la. d'anémie, d'épuisement et d'étouJCements. N" 49522 M. Baldwinde l'épuisement le plus complet, paralysie de la vessie et des membres, par suite d'excès de jeunrate. I.a femme de M. le maire de Volvie. d'une iritalion pulmonaier arec crachement de sang et toux opiniâtre. Mon enfant se trouve très-bien de votre Revalent.i Docteur G. Proll, médecin, 8. rue Paradis. Nice. N» 98.716. M. le Professeur Déde, Paris, a observé pendant de années que la Revalenla donne une santé florissante aux bébtés. se aux mères un lait riche et abondant. M. Gauthier, Luzarches, d'une constipation opiniâtre, perte d'appétit, catarrhe, bronchite. M. le Professeur Benecke a sauvé son enfant par la Revalenta apr s que toutes les ressources médicales avaient été épuisées la guérir de vomissements contiuuels Egalement l'enfant de M. J. G. Monlanay, 44, rue Condorcet. Paris, et le bébé de Mme Eliz* Martinet Alby, rue du Tunnel, Va'enee et de milliers d'autres nourrissons. Quatre fois nourrissante comme la viande, sans échauffer elle économise encore 50 fois son prix en médecines En boites. 1/4 kil., fr. 2-25; 1/2 kil., 4 fr., 1 kil.. 7 fr.; 12kil.,70fr. 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Le Progrès (1841-1914) | 1887 | | pagina 3