MAAIGRAS
^BANQUE
DE FONDS PUBLICS,
VRUCHTEN
UNE PERSONNE,
GRASGEWASSEN
UNE MAGNIFIQUE MONTRE-REMONTOIR
Chronique judiciaire.
Variétés.
A. VONCK-CLÉMENT
VANDER MEERSGH,
4, rue de l'Etoile, 4,
ACHAT ÉT VENTE
ENCAISSEMENT DE COUPONS
KOOPDAG
TE BXXSCHOTE,
EN EEN HINGSTEKACHTEL.
DINSDAG 17 JULI 1888,
VERKOOPING
R0ND0M DICKEBUSCH-VIJVER.
Une dépêche de Tonnerre adressée la France
annonce qu'il n'est bruit dans la région que
d'un scandale dont se seraient rendus coupables
les frères de Saint-Joseph. On raconte que 250
entants auraient été souillés. Deux arrestations
ont été opérées et deux des frères sont en fuite.
Il est impossible de donner d'autres détails sur
cette affaire en raison de leur extrême gravité.
Ce triste et honteux événement provoque l'in
dignation générale.
Il y a quelques mois, la gendarmerie arrêtait
Steenvoorde (Nord) un sieur Henri Legrand, en
religion frère Turribe, inculpé de nombreux at
tentats la pudeur. Ce misérable exerçait dans
le département des Deux-Sèvres les fonctions
d'instituteur dans une école privée entretenue
par le marquis de la Rochej acquelein. Le supé
rieur de l'école procura Legrand des vêtements
civils et celui-ci partit pour Steenvoorde (Flan
dre française), son pays natal, où il fût arrêté en
arrivant.
Ce singulier éducateur de la jeunesse a com-
Saru la semaine passée devant la cour d'assises
e Niort. Le huis-clos a du être prononcé. Les
victimes, au nombre de 23, ont été entendues
comme témoins. Le frère Turribe a été condamné
6 ans de réclusion.
TROIS IMPÉRATRICES.
ET
Escompteetc.
Bureaux de 9 heures midi et de 2 5 heures
de relevée.
Dimanche et jours de fête exceptés.
OP MAANDAG 30° JULI 1888, straat' 8'te Yper
om 2 ure juist namiddag,
Laiidbouwei'sgercedschappeii,
BINNEN YPRE.
ZITT1NG:
disposant de deux heures par jour,
VOUDRAIT DONNER DES LEÇONS
DE DESSIN.
PRIX MODÉRÉ.
S'adresser rue des Récollets, 3, Ypres.
STAD YPER.
Deze verkooping zal plaats hebben op
ZATERDAG 1P JULI 1888,
om 10 ure,
in de Beneden-Zaal van het Stadhuis.
De Burgmeester en Schepenen,
L. VANHECLE.
De Secretaris,
M. GORRISSEN.
Dans le but de maintenir ce tirage et même de l'aug
menter, nous venons de passer avec une des plus grandes
maisons de Besançon, un contrat qui nous permet d'offrir
au tiers de sa valeur en fabrique, et un abonnement gratuit
de Six mois au Journal des Deux-Mondes, le plus inté
ressant, le plus artistique de tous les journaux illustrés,
et cela au prix extraordinaire de DIX francs, qui est
loin de couvrir nos frais mais c'est un sacrifice que
nous nous imposons pour faire connaître notre publica
tion, sans précédent dans la presse.
Il suffira de nous envoyer un mandat-poste de DIX
francs pour recevoir cette superbe montre-remontoir (se
remontant sans clef), système perfectionné, avec cadran
en émail, verre de cristal, boîte très solide et très élé
gante, Garantie deux ans, marchant très bien, parfai
tement réglée, aussi bonne qu'une montre en or coûtant
500 francs, et de plus, un abonnement de six mois au
Journal des Deux-Mondes dont les splendides gravures
ont fait l'admiration des amateurs les plus difficiles.
Adresser mandat-poste de 10 francs, l'administrateur
du Journal des Deux-Mondes, 50, rue de Douai,
Paris.
AVIS. On demande des représentants dans chaque
localité.
Des frères de Saint-Joseph
accusés d'innombrables et effroyables crimes.
250 ENFANTS SOUILLÉS!
Le frère Tnrribe en cour d'assises.
Suite et fin).
Elle a peu d'amis, mais ceux qu'elle a lui sont dévoués
corps et âme. Elle n'aimait pas la cour et les réceptions
officielles. Ses ennemis disent que c'est parce qu'elle a,
pendant vingt-cinq ans, été obligée d'y jouer le deuxième
rôle. Elle connaissait les reproches qu'on lui faisait, elle
savait qu'on lui reprochait d'être trop Anglaise. Mais elle
ne changea jamais en rien sa conduite. Le monde entier
ne la ferait pas broncher quand elle a une fois pris un
parti.
Elle avait voulu être assistée par un médecin anglais
lors de ses premières couches, et il a fallu, rencontre
des usages établis la cour, faire venir un accoucheur
anglais. Il eut la malechance de blesser le nouveau-né au
bras gauche, et ceci explique, beaucoup mieux que tout ce
qu'on raconte dans le public, l'antipathie de Guillaume II
pour les médecins anglais. Mais l'impératrice Victoria,
malgré cet accident, n'en continue pas moins avoir con
fiance dans ses compatriotes exemple, le docteur Mac-
kenzie.
Pendant les quelques mois qu'a duré son règne, elle a
prouvé qu'elle n'aurait peut-être pas su régner, mais qu'elle
aurait toujours su vouloir.
Elle a aimé son mari pendant les premières années de
son ménage mais depuis de longues années cet amour
avait été remplacé par une affection de femme supérieure.
Les grandes douleurs de sa vie ont été la perte de ses en
fants, les princes Waldemar et Sigismond, et bien qu'elle
ait été la plus dévouée et la plus respectable des gardes-
malades, elle doit pleurer tout autant sur la perte du pou
voir que sur la mort de son mari.
Ses séjours en Italie lui ont donné le goût des arts. C'est
l'assistance d'artistes distingués qu'elle doit une certaine
adresse d'exécution. C'étaient ses productions artistiques
qui lui servaient combler de cadeaux pleins de valeur,
et cependant bon marché, sa famille et les gens auxquels
elle voulait donner des marques de faveur. Que de petits
paysages italiens, que de bustes en terre cuite car elle
sculpte, aussi. ornent les appartements privés de la
famille Que de têtes d'étude ont été payées très cher dans
des ventes de charité par des banquiers fiers de leur
acquisition Elle s'intéresse toutes les littératures et sur
tout au roman russe, et elle est, quoi qu'on en ai dit, d'une
intelligence absolument supérieure.
Sa vie était remplie par l'intérêt qu'elle portait h ses
enfants et par des devoirs officiels auxquels elle ne pouvait
pas se soustraire. Il ne lui restait pas de loisir pour les
questions féminines, qu'elle ne comprend pas, du reste.
Elle avait toujours le temps de regarder un tableau ou
d'examiner une tapisserie ancienne; elle trouvait des loisirs
pour visiter des ateliers d'artistes elle ne put jamais dis
poser de dix minutes pour essayer une robe.
L'impératrice Augusta aimait se parer de manteaux
de cour chamarrés et de colliers quintuple rang; l'impé
ratrice Victoria volontiers s'enveloppait plus ou moins bien
dans des dentelles précieuses l'impératrice Augusta-Vic-
toria est fière d'être obligée de porter, dix mois sur douze,
des corsages sans pinces.
Plus âgée et plus grande que son mari, avec un visage
d'une agréable insignifiance allemande, un de ces visages
qu'on a souvent vus et toujours oubliés, pas laide mais
encore moins jolie, sans charmes et sans grâces, méprisant
trop les corsetières, dont elle aurait pourtant besoin, la
jeune impératrice fait l'effet de la femme d'un capitaine
prussien en garnison dans une petite ville de province. Elle
attache très simplement ses cheveux avec des épingles
d'écaillé, et on voit dans sa toilette qu'elle tient protéger
l'industrie allemande.
L'Empereur ne boit pas de vins français, l'Impératrice
n'achète que des produits allemands. On s'en aperçoit dès
l'abord. Elle n'aime ni la musique ni les arts. En fait de
littérature, elle ne connaît que les livres que lui indique
son ami le pasteur Stœcker, ce qui ne l'empêche pas d'être
très bonne. Elle n'a qu'une distraction se mettre la
fenêtre avec ses enfants et montrer sa maternité. Elle n'a
qu'un plaisir: se promener avec son mari en voiture dé
couverte et faire croire ainsi son bonheur conjugal,
quand la fenêtre et la voiture ne sont au bout du compte
qu'une représentation officielle comme les autres. Elle a
un culte pour son mari. Elle a oublié les chagrins qu'il lui
a causés au commencement de leur mariage, quand il avait
encore le temps de lui être infidèle. Elle paye la faveur
d'avoir été élevée sur le trône des Hohenzollern par la
scrupuleuse exactitude qu'elle met augmenter le nombre
des rejetons mâles de la famille.
C'est sa lâche la cour: elle la comprend et elle s'y
connaît. D'une soumission absolue la volonté de son mari,
elle entrera exactement dans le cadre qu'on lui assignera.
Au besoin, avec beaucoup desoins, beaucoup d'articles de
journaux officieux et beaucoup d'efforts, on fera d'elle un
surmoulage de la reine Louise, une artificielle souveraine
aimée.
En tous les cas, elle ne gênera pas le jeune Empereur
et sera l'idéal de la femme allemande la femme dont on
ne parle pas.
Au mois de Décembre 1887, il y avait Berlin une vente
de charité. On se bousculait autour d'une petite table sur
laquelle il y avait une photographie ornée d'une superbe
signature Augustaimperatrix et regina un petit
paysage italien, signé simplement Victoria, et six petites
brassières tricotées.
C'étaient les dons des trois Impératrices.
(Figaro) Princesse Eboli.
Verders een vierjaars Merriepeerd en een
Hingstekachtel.
Welken koopdag zal geschieden met gereed
geld en verhoog van 10 door het ambt van
ter hofstede gebruikt door de we WYBOU, den Deurwaarder Alphonse HOF, Dixmude-
van
ALSOOK ÊEN VIERJAARS
MERRIEPEERD
Beschrijving der te verkoopen goederen
Vruchten.
1 h. 32 a. Paarde-
boonen.
0 h. 88a.Meersch-
hooi.
Landbouwersalaam.
2 Wagens, 2 Karren, 2 Ploegs, 4 Eegden,
Oeselaar, Paarderol, Slee, Snijpeerd, Wind-
molen, Beitmolen, Bascule met gewichten,
Aalkarteelen, Aalpomp, Aalkuipen, Lijfrol,
Kortewagen, Kegge, Slijpsteen, Laders en veel
ander voorwerpen ten dage der verkooping
aan te bieden.
2 h. 64 a. Tarwe.
2 h. 64 a. Rogge.
2 h. 00 a. Haver.
OPENBAARLIJK TE VERKOOPEN
GEMEENTE BRIELEN.
1D KOOP. Een HUIS, ten dienste van
Winkel, met voordere gerieven, toedies 5 aren
87 centiaren Grond en Hof daarmedegaande,
staande en gelegen biunen de gemeente van
Brielen, op de plaats.
Bewoond en gebruikt door sieur Henri Van-
hecke, met recht van pachttot 1° Octoberl898,
aan 50 fr. 's jaars, boven de contributien.
GEMEENTE RENINGHE.
2° KOOP. Eene PARTIE HOOILAND,
gelegen ter gemeente van Reninghe, noord-
oost" bij het dorp, groot 1 hectare 14 aren
20 centiaren.
Gebruikt zonder recht van pacht.door sieur
Léo Marchand.
Deze verkooping zal geschieden in ÉÉNE
ZITTING, vastgesteld op
om 2 uren namiddag, terestaminet® De Goude
Mande Kloosterpoortplein, binnen Ypre,
ingevolge de voorwaarden berustende ten kan-
tore van den Notaris VANDERMEERSCH, te
Ypre resideerende, met tusschenkomst van den
héer Vrederechter van het 2e kanton van Ypre.
Fr. 1 50 fie flacon)
2 Fr. 50 (le flacon double)
PLUS DE
CHEVEUX GRIS!!!
Le Nouveau London base
végétale) fait disparaître in
failliblement cheveux gris.
Rend cheveux doux et bril
lants. Arrête la chute et n'est pas teinture.
(Exiger toujours couleur brune du mucilage
végétal.)
En vente chez la Ve Ommeslagh-Podevyn
Grand'Place, en face du Marché Couvert, et
chez Yermeulen-Joos, rue au Beurre, Ypres
enlève pellicules et qui n'est pas teinture.
DER
Gedaan te Yperden 11* Juni 1888.