GARDE CIVIQUE ACTIVE D'YPRES. POPERINGHE. sa b...ravoure, le Journal annonce qu'il relè vera encore dautres détails dans son prochain numéro. Qu'il y aille I Il y a peu de temps de ça, nous pariions contre IeJournal dYpres propos de ses chif fres mensongers sur le traitement de nos insti tutrices. Nous offrions mille francs s'il pouvait établir ses chiffres. Au lieu d'accepter le défi, le pieux Journal, affectant de grands airs, nous répondit que ce genre de journalisme n'était pas de mise. Voici ce qu'on lit dans le Réveil (feuille genre Journal) Nous offrons cinq cents francs la Chro nique si elle ose soutenir contre nous ses critiques littéraires devant un jury de gram mairiens. N'est-ce pas que les paris sont inconnus dans le journalisme Oh oui, chez ceux qui ont tort. Qui disait donc aue les lettres se démocrati saient de plus en plus Il semble que ce soit précisément le contraire qui se produit depuis quelque temps. Les chroniqueurs mondains vous racontent avec un petit air mystérieux que telle ou telle souverainecar les hautes et honnestes dames ne sont pas les dernières s'essayer dans le rude métier d'écrivain charme ses loisirs en composant un roman. Une autre fait des études philologiques. La reine de Roumanie figure au nombre des meilleurs poètes du temps... Vous savez tous, n'est-ce pas, qui est Car men Sylva Et les gens qui aiment rechercher ce qui peut bien se passer dans les régions élevées, mystérieusement voilées aux regards profanes, où respirent les grands de la terre, surpris d'ap prendre que les reines et les rois ne dédaignent pas de noircir de taches d'encre leurs augustes pourtant c'est ainsi. ^on pas presque tout haut que Léopold ^étranger la rédaction de la brochure qui née d'hier, fait déjà un joli tapage? Et je ne vois point pourquoi les hommes qui Rident auxdestinées de la patrie, ne vien- •manière avec leurs bons et converser de fidèles sujets. ?nt pas de temps en temps le îple s'imagine volontiers que ceor-rlà 'tnt le diriger passent leur temps iminos et se soucient médiocreqaen fs qu'est-ce q -je maintes et maintes fois" tables idées n'aient voilà pourquoi il con- rsouverains qu'^pettent fîce du bien générr //y Das loin peut*!' (k~ folliculaires/, u( Ji, J? gct les persoj rnstt sychore n'était nullement dédaigné par MM les membres en possession de tendre moitié, et que que ques-uns d'entr'eux faisaient une galante concurrence aux jeunes gens. N'oublions pas, en parlant de danseurs, de présenter tous nos com pliments MM. les officiers de l'Ecole d'Equita- tion qui, gais et courtois, ont grandement contri bué l'entrain du bal. Après un repos, pendant lequel danseurs et danseuses sont allés faire honneur aux mets et l'excellente cave de M. Hoogeu, a commencé le cotillon. Il était conduit par Madame Merghe- Iynck, dont il est inutile de vanter la grâce et le tact connus, non seulement de son entourage, mais encore de tous ceux qui approchent cette charmante dame, et par M. René Durutte, audi teur militaire, qui a fort bien payé de sa personne et déployé une grande habileté. Vers trois heures du matin, tout le monde s'est écoulé ravi, mais fatigué, et faisant le vœu de pouvoir se retrouver tous les ans pareille fête. RÉUNIONDES^PAUITAIRES. Dimanche 2 heures 1/2 de relevée, a eu lieu, au local habituel de la Tête d'Argentla réunion mensuelle dés capacitaires. A cause de la fête du Willems- Fonds, l'heure de la réunion avait été avancée. L'ordre du jour était chargé. Deux nouveaux membres ont été élus. Le rapport gé néral sur l'exercice 1888 a été vivement ap plaudi. La société est prospère, elle a en caisse un boni de 137 fr.,malgré le déficit de l'exercice firécédent et malgré les charges occasionnées par es têtes qui ont été données. Une partie du Co mité devait être renouvelée le Président, M. Oscar Poupart, a été réélu, sans vote, par accla mations. MM. Masschelein, Souxdorf et Rotiers ont été réélus une grande majorité. La Société compte dans son sein un certain nombre de membres protecteurs. Nous faisons appel ces derniers pour les engager se rendre Îlus régulièrement aux réunions mensuelles. (eur présence sera une preuve de sympathie et un encouragement pour ces braves jeunes gens. MM. les membres protecteurs doivent se persua der que la Société des capacitaires est une Société d'avenir, composée d'élements intelligents, des tinée toujours s'accroître et devenir une force. Dans la même soirée de Dimanche, la section Yproise du Willems-Fonds donnait son second concert-conférence én la grande Salle de l'Aigle d'Or. La partie musicale de la fête a été très bien rspclue et vivement applaudie. Mais le clou de ia softée/le great)attraction de la fête, était "Taj^Êence donnée par M. Cordenier, institu- l'ébole" primaire communale. Le conféren- ir a traité un suif^rès intéressant et très instructif Rome et. fcvecau moyen SB de projections de A chaque apparf des monunfehts ou ques cités, M. Cord torique du plus v' facilité d'élocutiorrPq^èi prouvant que l'oraté W&6 J qu'il traitait et l'usagé dtPsSv Nos sincères félicitations jianf jin entr'acte, M. le présj ^annoncé que, sur le. désir e ambres, les fêfes données taient dorénavant suivie ydr-jqtÈe. ouvre d'art, d'un ces de ces anti- un aperçu his- ut avec une iVVveté de langage al fond le sujet ,ngue flaman "ordenier. Pen- i Vermeulen a par plusieurs "illems- Fonds 1. Ceci ajou- La médaille de Ie classe M. Rotiers, institu- teur la maison d'arrêt, Ypres. La médaille de 2e classe, MM. Bondue, jar dinier, l'Institution Royale de Messines, et Vasseur, surveillant la maison de sûreté, Ypres. Dubreucq, Staquet, Molitor, baron de Ren- nette de Villers-Perwin, Deschietere, Mathieu, Pourveur, Merehie, du Roy de Blicquy, Wie- lemans, Deisser, Brewer, Chevalier, Degimnée, Hotelet, Halkin, de Libert, de Gerlache, Remy, Biourge, Roger, Busch, Hillebrand, Henvaux, Lambert, Gateau, Dormal, Thomas, Mertens, Debock, Geeroms, de Posch, Jonckheere, Harzé, comte de Renesse, chevalier de Meulenaer, Lutens, comte de Borchgrave d'Altena, Talion, MoselliHoffmann, V an Espen, Govaerts, Sweerts, Yidrequin, Ranscelot, Beirlaen, Hollman, Le- fibvre, Delfosse, Faignard. Wouters, Pasquier, Salkin, Devis. Les sous-lieutenants baron de Renette de Villers-Perwin du Roy de Blicquy, Brewer, Biourge, Roger, Hillebrand, Lutens et comte de Borchgrave d'Altena, nommés par le présent arrêté pourront ultérieurement obtenir leur pas sage dans la cavalerie en conservant leur ancien neté. Les sous-lieutenants Harzé, comte de Renesse, chevalier de Meulenaer, Moselli de Hoffmann et Ranscelot, nommés également par le présent ar rêté, pourront ultérieurement aussi, mais condi- tionnellement, obtenir leur passage dans la cavalerie en conservant leur ancienneté. Samedi dr, 10 1/2 heures, il a été procédé l'hôtel du gouvernement provincial, l'ouver ture et au dépouillement des soumissions pour l'adjudication publique de l'entreprise des tra vaux d'amélioration exécuter au chemin de halage de la Lys, entre l'écluse de Menin et le pont tournant dit" du Palais de Justice Cour- trai. Ces travaux sont évalué» 46,000 francs. Ont soumissionné MM. Bataille, Louis, Poperinghe, 49,900 fr.; Minet de Cannières, Courtrai, 48,990 Kint, Florent et Georges, frè res, Gand, 41,290. Société de Gardes Civiques d'Ypres. CIBLE ORDINAIRE sa Le Major, Chei de la Garde, a l'honneur de [a connaissance de ceux la chose rque4è"€6nseil de Recensement de la lue se réunira en session annuelle JANVIER 1889, neuf heures du lia Salle du Rez de Chaussée de Hôtel-de-Y^lle. E. DUSILLION. UN/&HEF DE MUSIQUE EN TOUS CAS -^Lepaùvbè Emile, depuis qu'il a reçu sa dé mission de/" professeur de l'Harmonie de la ville, a voulu prendre &uj^^^Mnjjta|rganisa kdonc. pour plaire au lés f La fête du Willems-Fonds. es abmée. Sont nommés sous-lieutenants d'in- tanterie, les élèves de l'école militaire de la 37e promotion (infanterie et cavalerie) dont les noms suivent, savoir Tir du Jeudi, 10 Janvier 1889. Boedt, Léon, Bogaert, Alphonse, Vermeulen, Henri, Swekels, Léon, Deweerdt, Charles, Froidure, Robert, Vanryckelen, Gustave, 25 25 25 20 25 120 25 25 20 20 25 115 20 25 25 25 20 115 20 15 25 25 25 110 20 15 25 25 20 105 20 20 20 25 20 105 28 20 20 20 20 105 Le Chef de la Garde,

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Le Progrès (1841-1914) | 1889 | | pagina 2