s-m Pi Nouvelles locales. Il ne se passe pas de jour que nous ne rece vions de lettre de l'une ou l'autre de nos lectrices SANTÉ A TOUS REVALENTA ARABICA t -©►>-< edS Eh K fit Pi Après minuit, les jours de la fête commu nale et du carnaval. Cette défense ne s'applique pas aux troupes de chanteurs de passage. Abt. II. Le jeu des orgues, orchestrions et autres instruments l'usage de la danse est autorisée dans les cafés et débits de boisson, les Diman ches et jours de fête ordinaire jusqu'à dix heures du soir et les jours de la fête communale et du carnaval jusqu'à minuit. n ART. III. Les contraventions aux dispositions du pré sent règlement seront punis d'une amende d'un quinze francs. Après lecture, il le dépose avec prière d'exa men. Renvoyé au Collège, pour examen. La part de la ville, dans la construction de cette route, est de 18,498-31, y compris les frais de pavage, les œuvres d'art et les expropria tions. L^tat et la Province, intervenant chacun pour un tiers, il reste la ville payer le tiers, soitfr. 6,166. J'estime qu'il y a lieu de porter le quantum de notre part contributive la somme de fr. 6,166-00, comme nous le demande M. le Gouver neur par sa lettre du 18 Mars. Adopté. La séance est levée 7 heures. Le Conseil com munal se constitue en Comité secret. Nous ne comprenons pas que l'on s'obstine maintenir dans notre diocèse le j our de la pre mière communion au Dimanche de la Passion. Le temps, cette époque, est ordinairement mauvais et très préj udiciable la santé par suite des brusques changements de température. On en a de nouveau la preuve cette fois-ci. Il faisait froid et humide. Dimanche et Lundi le temps était plus mauvais encore. De petites ondée3 gla ciales alternaient avec des coups de vent violents. Les enfants des classes ouvrières ou des pau vres, qui revenaient de cette cérémonie et dont les parents n'avaient pu se payer le luxe d'une voiture, les fillettes-..surtout, faisaient peine voir. Accueillies par une de ces ondées, mal abritées sous des parapluies, dont quelques-unes étaient même dépourvus, les pauvres petites, ne sachant où se réfugier, grelottaient dans leurs costumes, légers, et les jupons levés regagnaient en trotinant leur domicile, faisant le plus lamen table contraste entre leurs pauvres voiles blancs et les pélisses des plus fortunées qui se trou vaient en voiture Nous le répétons, nous ne comprenons pas cette obstination, alors surtout que dans les éta blissements du clergé cette cérémonie a lieu au mois de Mai ou Juin. Après avoir apporté des modifications au régi me du Carême en vue de la santé publique, on pourrait, dans le même but, admettre un chan gement dans l'époque de la première commu nion. Dans un certain nombre de villages malgré la décision de l'archevêque de Malines autori sant remettre la première communion la bonne saison on a conservé l'ancienne habi tude; elle reste fixée au Dimanche de la Passion. C'était Lundi le cinquante-troisième anniver saire de la naissance du comte de Flandre. Vers onze heures du matin, le Roi, la Reine et la princesse Clémentine se sont rendus au pa lais du comte de Flandre, pour présenter Son Altesse Royale leurs félicitations. A midi, les dignitaires de la maison civile, de la maison militaire du comte de Flandre, sont venus leur tour présenter leurs compliments au frère du Roi. Il est porté la connaissance des intéressés que les bons de pain et de charbon, distribués l'occasion du Concert donné le 26 Janvier der nier, par le Corps des Pompiers, seront encore payables le 28 Mars. Après cette date plus aucune réclamation ne sera admise. Ï)our nous remercier de lui avoir fait connaître e fortifiant par excellence qui a nom Perles Salvalor et qui produit des effets merveilleux chez les enfants, soit en cas de croissance, soit en cas d'affaiblissement. Nous ne pouvons que transmettre ces remer- cîments la personne qui ils reviennent, c'est- à-dire M. Vergauwen. ■mieeecceeecuj'-^- LA BELGIQUE HORTICOLE ET AGRICOLE. On écrit de Poperinghe La hausse commence s'accentuer; pour les houblons qui se traitent de 25 32 francs, on demande des prix que l'on trouve exagérés par comparaison, soit 45 50 fr. les 50 kil. Mais ces prétentions sont j ustifiées par la qualité de la marchandise et par la rareté des houblons de choix, car il ne reste chez les culti vateurs qu'environ 150 balles de la dernière ré colte, ce qui ne s'est jamais vu cette époque de J'année. A Alost, même situation avec les prix habituels de 25 30 fr. les 50 kil. Au dernier marché, on traitait déjà par ventes terme les produits de la prochaine récolte mais c'est la spéculation seule qui est en jeu et ce des prix exceptionnels de 48 55 fr. les 50 kilCes affai res ne peuvent présenter une base sérieuse, puisqu'on ne peut encore prévoir quelle sera la valeur de la récolte prochaine. Aux marchés de Londres, calme plat. Il reste peu de marchan dises vendre et les consommateurs ont terminé leurs approvisionnements. Peu d'importations. Les prix restent très fermes. 3 os .-G 3 .2 —3 CD 'ZS -O H 2 c -3 3*3 - 13 É-l-O S— c S.S.^ 6 sfC1=3 S 3 73 h -© C£ SU W>- <u H LD CQ 1 l "3 -T t- •3 O g J 3 .2 s- I ca z>- op,13 C3 '3 1 O o «s Q- C3 1 - O d> d> ts g (S - a, o t. Et* en u -«O C3 C 3 O 6D •-« 3 O 3 WDO 3 es C3 .5 2 S 3 CD d> 73 g û5 D W H en u a> o .2 -a o O 1=3 O es cd<0 s- -£2 3-3 -S a- 3 sa w s m 8 -a l ,co 3 CJ en O S 18 -o - S ta C o> 35 a a* 2° c. S© o 13 g -3" ss - -:2 ta 3 30 J >2 s ©u- 0 1 WD - -^ as S 60 2 I I S o m o S03 2 Û- tn 13 t— 3 co -o m C o. CO cd tn co m 3 2- 1 d -© a <35 î- 3 13 C -2 tn 3 O. 2 en _7 o fP 03 c S: 3 3 a w H en - u H w 3 o a. fis r< Q 5 «o 2 M. Bossaert, Echevin. Comme chef de la police, je suis très large mais il faut prévoir dans tout règlement de ce genre, que le chef de la police doit pouvoir, en tout temps, faire taire ces in struments, par exemple, quand ils dérangent un malade du voisinage. Voirie. Part de la ville pour le pavement du chemin dit Groenestraat. M. Bossaert, Echevin. Le pavé construire au Groenestraat est, comme vous le savez, une dépense totale de fr. 34,780-00. "OG^Ooc» Corps des Sapeurs-Pompiers. AVIS. Pour vos factures, entêtes de lettres, etc., n'employez que du Papier Royal Lyon en vente au bureau du Journal et cbez les imprimeurs-papetiers. M. MEIER, dentiste de Courtrai, a l'honneur d'infor mer l'honorable public et sa nombreuse clientèle que son cabinet dentaire est transféré chez M"1' veuve Van Kemmel, Grand'Place, 5, Ypres, où il seraà consulter tous les Same dis, comme d'habitude, de 9 heures du matin, 2 heures de relevée. Merveilleux. Une seule boîte de PASTILLES WALTHERY, suffit toujours pour guérir les Rhumes, Bronchites, Maux de gorge, Oppression, etc. Un franc partout. Organe des amateurs d'Horticulture, d'Agriculture et d'Elevage. Arboriculture, Horticulture, Agriculture, Culture ma raîchère, Sylviculture, Basse Cour, Elevage, Chas se Pèche, Volière, etc. Paraissant le 1er et le lo de chaque mois, avec de nom breuses gravures dans le texte. C'est le plus beau, le plus intéressant et le moins cher des journaux de ce genre. Abonnement Belgique, 4 fr. France et Union pos tale, 5 fr. Demandez un numéro spécimen gratuit au bureau du journal, 3, rue de laLinière, Bruxelles. 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C'est en outre l'aliment par excellence qui seul réussit éviter tous le-» accidents de l'enfance. 100.000 cures annuelles, y compris celles de Sa Majesté l'Empereur Nicolas* de Sa Sainteté feu le Pape Pie IX. de Mme la duchesse de Cast- lesluart, le duc de Pluskotv, Mme la marquise de Bréban, lord Stuarl de Decies, pair d'Angleterre, M. le docteur-professeur Routh etc., etc. Cure N® 65, 476: M. le curé Comparet, de 18 ans de dyspepsie,de gastralgie, de souffrance de l'estomac, des nerfs, faiblesses et sueurs nocturnes. Cure N® 90,625. Avignon, 18 Avril 1876. La Revalenta Du Barry m'a guérie, l'âge de 61 ans, d'épouvantables souffrances de vingt ans. J'avais des oppressions des plus terribles, ne plus pouvoir faire aucun mouvement, ni m'habilier. ni déshabiller avec des maux d'estomac jour et nuit et des insomnies horribles. Contre toutes ces angoisses, tous les remèdes avaient échoué la Revalenta m'en a sauvé complètement. Borrrl, née Carbonnettey, rue du Balai, 11. Cure N® 98,614 Depuis des années, je souffrais de manque d'appétit, mauvaise digestion, affections du cœur, des reins, de la vessie, irritation nerveuse et mélancolie tous ces maux ont disparu sous l'heureuse influence de votre divine Revalenta. i bon Prtclkt, instituteur, Eynanças (Haute-Vienne) M. Gauthier, Luzarches, d'une constipation opiniâtre, perte d'appétit, catarrhe, bronchite. La femme de M. le maire de Voirie, d'une irifation pulmonaise avec crachement de sang et toux opiniâtre. Rapport du docteur Routh, médecin en chef de l'hôpital Samari- eain des femmes et des enfants, Londres Naturellement riche tn éléments indispensables au sang pour développer et entretenir le cerveaufIes nerfs, les chairs et les os la Revalenta est la nour riture par excellence qui, seule, suffit pour assurer la prospériét des enfants et des malades de tout âge. Beaucoup de femmes et d'enfants, dépérissant d'atrophie et de faiblesse très prononcées, ont été parfaitement guéris par la Revalenta. Aux patients phthisi- ques, étiques et rachitiques elle convient mieux que l'huile de foie de morue. Quatre fois nourrissante drame la viande, sans échauffer elle économise encore 50 fois son prix en médecines En boites. 1/4 kil., fr. 2-25; 1/2 kil.. 4 fr.; 1 kil.. 7 fr.; 2 1;3kil.,16 fr.; 6kil36 fr 12 kil., 70 fr. Les biscuitde Revalentaen boites de 4 et 7 fr. La Revalenta chocoiztée 1/2 livre, fr. 2-25 1 livre, 4 fr.; 2 livres, 7 fr. Envoi contre bon de poste francoDépôt partout, chez les pharmaciens et épiciers Du Barry et Cie, limi- ted. Agent général pour la Belgique. M. Emile TIMMERMANS, rue Rouppe, 4. Bruxelles. Dépôt MOORSLEDE, Ch. Rostyn, boulanger. YPRES, Stassin, pharmacien. Dehouck, pharmacien. A. Delhaizeet C®. qO fi 'ZI O ■a ou C «- M aS O X H as <31 Sd S r03 rCC3 c ta l— <3 O en en - 3 D D t/o a 3 P 3 vQ} t—3 1 o S x. <s> U en O -r w CS -(D O O 8-.SI? .S 3 C «3 ^5 O -G "O rCO C3 -1 O «H LU >- I- ■D XL en 2 2 3 d) en <D tn ta. o S o -o®* 2 ■oJH' ■c 13 —3 C3 -O d) ■CD a -o JT V? 33 <D C d) tr.Cl .2, S s- -© -© -© 2- L. 03 3 -C0 tl "3 .2 3 3 ta - O I 3 O CO ÎJD.tS C 3'3 3 jg O 3 B as cL ■20* ©<ri 0 o ca c co •- en 1 ta o a I- i~> —I m O 2- u Sa- -© CD"Z -a t. -s; ta (M -a m J O 'El <3 2 2 1 X Z en O O I; C j 3 S 3 ©.M Q.' •- ©- O o =3 •j en 3 CD 3 t- 3 q3 ce ta j?; en en a en s "*0 G Ed H S B H ss ci a 3 o 3 13 3 C3 m s. g S S ÎH fi. rj» aT Si m g 13 3 jaJ c3 M

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Le Progrès (1841-1914) | 1890 | | pagina 3