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SANTÉ A TOUS
REVALENTA ARABICA
Société de Gardes Civiques d'Ypres.
Tir du Jeudi 25 Décembre 1890.
Legon, Emile,
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Ceriez, Valentin,
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20
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Ligy, Albert,
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20
25
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Butaye, Arthur,
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25
25
20
20
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Beke, Emile,
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20
20
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110
Vandermeersch, E.,
25
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20
25
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Legon, Emile,
20
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Beke, Emile,
20
25
20
25
115
Ligy, Albert,
25
25
20*
fc* 115
Gaimant, Arthur,
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25
115
Masscheleyn, A.,
25
25
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15
115
Swekels, Léon,
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20
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Vandermeersch, E.;
,20
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Bogaert, Alph.,
25
20
25
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20
110
NOTICE SUR LE DROIT D'AUTEUR
au point de vue Dramatique et Musical.
L'Hiveb au Soleil. L'Excursion commence
la série de ses voyages de la saison d'hiver -en
annonçant les prochains départs pour l'Italie, la
Tunisie et l'Algérie. Elle publie eu même temps
le programme d'un magnifique voyage aux bords
du Nil, pour le 18 Janvier, et d'une excursion en
Palestine pour le 8 Février.
"Ces programmes seront envoyés gratuite
ment, ainsi que les conditions très avantageuses
des voyages particuliers, et notamment des
.voyages de noces, aux personnes qui en feront
la demande M. Ch. Parrnentier, Direceur de
Y Excursion, 109, Boulevard Ansp^ch. Bruxel
les. -
Les bureaux deP/L/e/tfé lin ias (annonces) se-
ront transférés partir du lr Jdnvipr prochain
-rite de IcrAfadeleinefn0- 3 2
Les sommités médicales çecom mandent les.
Perles Salv.tor, base'd'huîle" de foie de morue
et créosote de hêtre, souveraines contre l'ané
mie, chlorose, rachétisme, brônchite, laryngite,
coqueluche, enrouement, pneumonie, pleuresie,
phtisie, et généralement contre toutes jes mala
dies de poitrine. Dépôt-général pharmacie F.
Vergauwen, 1; rue des fc£ands--Carmes, et dans
toutes les bonnes pharmacies. Le flacon 2 fr.
et grâce une longue expérience nous avons
réussi composer des remèdes propres purifier
et fortifier le sang d'une manière sûre, promp
te, l'abri de tout et suites fâcheuses, et con
server la circulation sa marche régulière.
Nous traitons toujours avec succès sans mer
cure) certaines maladies provenant de sang corrompu,
les tristes suites d'habitudes secrètesen outre les états
de faiblesseles maladies de la peau, les plaies même
les plus invétéréesles dartresla chute des cheveux,
la goutte et les rhumatismes, ainsi que toutes les
maladies de femme.
Nous acceptons toute lettre confidentielle con
tenant la description détaillée de la maladie et
accompagné d un timbre d'affranchissement
pour la réponse.
OFFICE SANITAS.-» PARIS,
57, Boulevard.de Strasbourg.
HOUBLONS.
Alost, 26 Décembre. Notre marché reste en
bonne position pour leLoublon d'Alost 1890,'"et
la tendance est toujours également fçjme..LeS
prix payés dans le courant' de cette semaine en
culture ont varié de Î20 125 fr. les 50 kil.
premier coût. La marchandise de premier
choix est vivement recherchée ce dernier prix
fr.; mais les planteurs, ayant généraie
nt des pçétentions plus élevées, ne cèdent pa§
_|ons, de manière que les ordres d'a
chat en balles rondes de culture, qualité, d'ôx-
Sorta'tion, ne peuvent pas être exécutés défaut
o vendeurs.
Le houblon en balles comprimées est côté
3ur nôtre place, de 120 125 fr. par 50 kil., se
lon l.es époques de livraison, mais les premières
marques ne sont pas offertes ces bas prix, qui
ne sont pas en rapport avec les cours élevés de
tous les autres pays de production.
Du 27 Au marché de ce jour 18 sacs qualité
ordinaire sont restés invendus. En commerce fr.
120, en culture fr. 125 argent.
Avis de la Chambre arbitrale Houblon de
1890 primé SASE fr. 135, cueillette ordinairé
SASE fr. 125 les 50 kil.
Le Mofcdedinancief,paraissant.;dêjjjOÊ-ïdiè jàab se-
jpàinè, donne gratu^éÉnôiiV *%eftv«abÔHiiéâ^ des
renseignements sutj»toutes les fleurs- .bélgei et
étrangères. Jd
Abonnement 5 fr.'par an. Dijfectiôù,.26; 'Bou
levard. Bisschoffsheim, Bruxelles.
câ'larrfoiy-oroncbtfe-'*-v, - -
Quatre fois nourrissante c>tnme. ka^-viandej'- sahs.-^çj^auffeii elle
En soignant convenablement cha
cun peut jouir d'rtne bhnne saiflié et atteia'dre
une heureusavieillesse.'L^ÉwpaH des maladies
proviennent /ht sang, c'est donc le devoir le plus
sacre de chacun^ dren fonctionne-
ment. AÎà sujfte'do' rùfûarèhés :1^nsciencieuses
V-.».
■■mpi...
i Mi -
Im_gximorie Laihbin-Mathée, Ypres,
cible obdinaibe.
Tir du Jeudi 1T Janvier 1891.
cible obdinaibe. j
Les organisateurs des fêles s'imaginent jjénéralement
-^tttJes droits qu'on leur réclame^-sCnt "Une nouveauté
dans notre législation^ --
Il n'en est rienil y a plus d'un siècle que la loi a or
ganisé et reconnu le droit de propriété des auteurs sur
leurs œuvres.
La perception n'a pas toujours été régulièrement orga
nisée, maïs cela n'infirme en aucune façon l'existence du
droit lui-même.
Les organisateurs des fêles et concerts objectent encore
que les droits d'auteur ne peuvent leur être réclamés que
pour les représentations ou exécutions publiques propre
ment dites et ils croient, de fort bonne foi d'ailleurs, que
la publicité s'entend exclusivement des représentations ou
exécutions données bureau ouvert, c'esj-à-dire moyen
nant entrée payante. V.
C'est encore, lyijj^rftur.
La pubiicdîi'rifr résulte nullement de l'ouverture des
portes bufeaiï ouvert'-etflelle réunion bureau fermé
peut parfaitement constfîtuer une réunî&p publique, non
pas publicité'US ns te sens de la publicité ue la rue, mais
publique l'égard des auditeurs eux-mêmes.
On ne peut, ni en droit ni en équité, dans les réunions
de société, réclamer les immunités du domicile privé.
En effet, une collectivité ne peut constituer une indivi
dualité proprement dite. Cela est évident .et les deux ter
mes collectivité et individualité s'éxclftent d'ailleurs
d'une manière expresse.
Au surplus, dans la plupart des iîas, les réunions des
- sociétés donnent lieu un droit d'ékrée qui, pour ne pas
-être perçu l'entrée, chaque fête, est Représenté par la
cotisation des membres lorsque ceux-ci se réunissent
entre eux, ils forment un&-.néÎMiion véritablement publi
que, quoique limitée aux nw'atbres-qui ont payé leur co
tisation et, dans ce cas dé/^la réunion-revêl le caractère
de publicité qui donne lied air;droit d'auteur. Mais lors
qu'aux membres, eux-mêmes; viennent se jplndrè jes
femmes des membres, les amis ou invités, alors la réu
nion se généralise davantage et le. caractère de publicité
s'accentue. Dans ce cas encore, bien que les portes soient
fermées et que l'accès de la fête soit subordonné a une in
vitation plus ou moins personnelle, la publicité est indis.-
cutable et incontestable.
C'est ce qui a été reconnu par la jurisprudence et c'ést
ce qui a été.confirmé récemment par le procès des Mél/
manes.
Le tribunalNh: Gand a décidé que la publicité d'une
i'" résulte d'un nombre plus ou moins
»'quent de prétendre la gloire, on a raison, la gloire
est attrayante, maison oublie que, pour eu jouir seule-
ment une année, la nature nous condamne dîner trois-
cent soixante-cinq fois; et si le guerrier, le magistrat ue
rougissent pas de recueillir le noble salaire dû leurs
services, pourquoi l'amant des Muses, incessamment
obligé de compter avee 1e boulanger, négligerait-il de
compter avec les comédiens
Quant aux fêtes de bienfaisance, il n'est pas possible non
plus de coulester le droit des auteurs sous prétexte de
bienfaisance et, sans parler de certains organisateurs qui
se couvrent du manteau de la charité alors qu'il n'en ré
sulte aucun produit pour les malheureux, il faut encore
rem arquer que demander aux auteurs d'abandonner leurs
droits dans les fêtes de bienfaisance, qu'il plait aux philan
thropes d'organiser, c'est imposer aux auteurs la charité
coIi-^Moire; or, Chacun doit être libre de faire la charité
comme il l'entend, suivant sa conscience et suivant son
cœur,
Ou connait le désintéressement des artistes, il faut lais
ser leur libre arbitre le soin de la ire la charité comme
il leur convient, alors surtout que dans la plupart des cas,
on paie sans compter les autres frais et on ne soulève de
contestation que lorsqu'il s'agit de la rémunération, si
juste, due aux auteurs dont on exécute leurs œuvres.
Au surplus, les droits d'auteûr ne constituent jamais
une entrave ils ont toujours été d'une telle modération
qu'ils forment une part bien faible de la recette que pro
curent les œuvres exécutées et, quand la répartition doit
être faite entre tous tes auteurs et compositeurs qui com
posent le programme, la part de chacun d'eux est infime
D'ailleurs, les auteurs apprécient ceux qui empruntent
leurs ouvrages comme des protagonistes ou„ des auxtThti-
res précieux qu'il convient d en£ q>u xaacf /ri ai s ertcorâ*-. -^cescon
faut-il faire chacun unejugtt"fiai t djfiitérèt.
Cette propriété littc#«ffe et artistique est la place sa
crée, la plus lé^iQuiC la plus personnelle, ainsi que le di
sait Lakattafa l'Assemblée Constituante en 1791 la ré
munération, qui est réclamée quand on s'empare des pro
ductions intellectuelles, est assurément lajtlus'juste et la
plus indiscutable, et c'est en l'appliquant-'aVecçmodération
que les auteurs sauront la faire auner et la faire respecter
par tous. (Communiqué).
-
privé; en ce sens que les étrangers n'y sont pas admis,
mais qu'il est public pour chacun de ses membres
Dans bien des cas encore, les organisateurs des fêtes
excipent de leur bonne foi et cherchent se dérober au
droit d'auteur en se basant sur l'absence de lucre ou de
bénéfice.
Ici, encore, cette considération est absolument indiffé
rente au point de vue des auteurs. Il importe peu qu'il y
ait recelte ou qu'il n'y en ait point. La représentation ou
l'exécution devant les auditeurs est une reproduction de
leur œuvre et cette reproduction ne peut avoir lieu que de
leur consentement.
Or, chacun ayant le droit de vivre du produit de .son
travail, il est tout naturel que les auteurs réclament-line
part, même minime, pourtolue reproduction ou mise en
usage de leurs productions'littéraires et artistiques. A cet
égard, il convient de rappeler le langage tenir par. Beau,
marchais, il y a près d'un siècle
On dit aux foyers des théâtres, qu'il n'est pas noble
aux auteurs de plaider pour lq vil intérêt, eux <pri se çi-
M. ME1EB, dentiste de Courtrai, a l'honneur d'infor-
mer l'honorable public et sa nombreuse clientèle que son
cabinet dentaire est transféré chez Mr.veuve Vas Kemmel,
Grand'Flace, o.Ypres.oùil seraà consulter.tou^lès Same
dis, eomfne d'habitude, de 9 heures du^m:iLLii-la a. tmnrAc
de relevée
r endue sans médecins et sa ni
purges et sans frais par si
délicieusç farine de santé Du Barry de Londres, dite
Quaranle,aijs d^undiiâAiîiable succès, eu suérisSànL les conslina
Pour vos factures',Entêtes de lettres, etc.iféjn
phtisie, fcQuji, asthme, é&tLlFemenls, étotirdissements, oppressions,
congestiojBjs-* névrose, insomnies/ diabète, faiblesse^'épuisemcnl,
anémie, «îlprose, tons! désordre! dç la poitrine, gorgé, haleine,
£x, des brftfiches, vessie," foie, reins, iil'lestins, membrane,
eium. cerceau sang. C'est en outre l'a liment* par. excellence
p^éussit r tous les accidents de l'enfance. 100,000
aiirfHcIfes, y compris certes fie Sa Majesté l'Empereur Nicolas;
de Sa iSairiteté feu le Pape PieHXj de Mme la duchesse de Cast-
Iesluart, lé duc de Pluskôw, Mme la marquise de - Bréban,
iord, $tuart de Decies, pair d'Angleterre, M. le docteur-professeur
Routb etc etc.
Cure N" 65, 470: M. Iccuré Comp.a.réf, de 18 ans de dysj^ppsie,de
gastralgie^<ie souffrance <fe l'estomac, des nerfs, faibîesse's et sueurs
nocturnes.
Cure N° 09,025. Avignon, 18 Avril Ij|70. La Rcvalenta Du
Harry m'a guérie, l'âge de 01 ans, d'éDOUvaàtables souffrances de
vingt ans. J'avais des oppressions defr jdus terribles, ne plus
pouvoir faire aucun mouvement, ni m'habiller. ni déshabiller avec
des maux d'estomac jour et nuit et des jpèomnies horribles'. Contre
toutes ces angoisses, torç les remèdes avaient échoué la Revale^ta»
m'en a sauvé complètement. Borrkl. Carbonnettey, ru$ cNÉT
Balai, 1U •-
La femme de M. le maire de Volvie, d'une iritalion pulmonaire
avec crachement de sapg et léux opiniâtre.
Ur. M. Gauthier, d'une constipation opiniâtre, perle
Rapport du docteur Roulh. médecin en ch^^ie^^nopital /S'raauha-
tan (les femmes et des enfraubs, I ondres çr^îatu i ellement riche
en éléments indispensableS'jQi sang poiuvâjevMp^per et entretenir
ei ce^veaùjes nerfs, les chairs et les os la Rcvalentfr est la nour-
dtnre par/excellence qui, seule, sufet pour assurer la prospérité
des enfants et des malades de tout â^je. Beaucoup de femmes et
d'enfants, dépérissant d'atrophie et 4e ffdblesse très prononcées,
,;mïi été ^)arfailemen!'^uéris par là Revalenta. Aux patients phthisie
"^nes, étiqu-es èt.raclntiq«ies elle confient mieux^BC l'huilé de foie
-:'q« morue* - -
.n A rvi ici> An/iAfia 11 Ça i t« n a A/1 a. m n>.' Is a t t
que 0*t Papier Royal Lyomemenle au burèau du JourM'?- t|e4èi7fr.'ûRemiik'àcLxiTtée^ii\\H%, fr
et-cher les Hiiprimeurs-papétiers. - - >-•/ pif F 4 fr. 2 livres, 7 fr. Envoi contre bo de posle/
m
- - ....ij -efjjaiii
-,^wnomise encore 30 fois «on pnix en médecines .tir boîtes. 14
À-Jii!.fr.'2-23; 1/2-kil.. 4 fr f I kil7 fr.: 2 l/TO..
C kil.. 3(5 fr 12 kil.T 70 fr. Les biscuit de Eevaleiita en boite
poste franco. Dépôt
partout, fiiez les pharmacien» et épicièfs De lÎAïuir et Cm, timi-
ted éjent général pour la Belgique. kwilk timmerman5
rue ttou#^y.4, Bruxelles.
Pépôt MOORSErEDE. Ch. Bostyn, boulanger. -
yPRES^ Stassin. successeur bibolle, pFikYljîarieii".-'
v> -• Dehouck. pharmapieu. ,J
a. delhaizeot c°.
-r.
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