DU 22 JANVIER 1891.
Chemin de fer.
M. Melot.
SANTE A T.
KEVAI.EM t
ÈURNES-YPRES.
Après Devolder, Melot. C'est un recul vers
l'intransigeance réactionnaire.
Devolder, étranger la politique militante
jusqu'au jour de son avènement ministériel,
.-avait conservé certaines allures modérées et
certaines velléités d'indépendance. Il sut défen
dre les traitements d'attente des instituteurs
mis pied par l'infâme loi de 1884, protester
contre l'élection de lin<Jigne De Malander, et
différer jusqu'aux derniers jours de son exis
tence ministérielle la rentrée du clergé dans
les écoles moyennes.
Melot n'a jamais été qu'un cuistre et un sec
taire. En 1884, il trouvait moyen de renchérir
sur les dispositions du projet de loi destructif
de l'enseignement primaire en proposant
l'adoption d'office et l'admrssiomhii partage des
subsides de l'Etat de toutes les éjjpes privées.
Depuis lors, chaque discussion du budget
de 1 intérieur, nous l'avons vu- réclamer, avec
une farouche insistance, la suppression des
traitements d'attente alloués aux malheurèuses
victimes des vengëapceacléricales.
11 faut en finir ♦ve% çgs paresseux disait-
il encore au mois ^le*Mars dernier, dans un
langage haineux et-grossier.
Ces paresseux I Comme si ce n'était pas le
gouvernement }u.i-mème qui les a Condamnés
l'inaction^;' s
.."fjgililn férrdor prrrr font -
Attendons nous voirje ministre réaliser les
projets du députç, et toutes les revendications
cléricales recevoir satisfaction.
Les couvents appéfiSs lacurée, et éçaar-
au budget de l'inslrufction publiai'*
^our mieux les gorger d'oc, lo-gc
Opprimant l'indemn^é qdfl paie''
paires injustement dépossédés
les hontes et lés iniquités que (avenir
reserve.
^oinsque le pays n'ait un réveil soudait»,
nausée d'indignation le prenne ènfif)
?c. - - -
»t du fossté la culbutes dit la"sagesse
is. Nqùs verrons bien.
L'ordre n'a pas été troublé un instant Mardi,
Bruxelles, alors que des milliers de manifes
tants libéraux, ouvertement provoqués par le
gouvernement reactionnaire,sentaient la colère
bouillonner en eux.
Jusqu'au dernier moment, les libéraux s'in
clineront devant la légalité, respecteront la loi,
maintiendront l'ordre le plus strict, la tranquil
lité la plus parfaite.
lis ont répondu avec éloquence au gouver
nement qui les calomniait lorsqu'il renforçait
brusquement farinée pour faire croire au pays
que nous voulions détruire la paix publique.
Aujourd'hui le pays peut juger, le parti libé
ral est vengé et le gouvernement clérical con
damne.
En soignant convenablement son corps, cha
cun peut jouir d'une bonne santé et atteindre
une heureuse vieillesse. La plupart des maladies
proviennent du sang, c'est donc le devoir le plus
sacré de chacun^d'en surveiller le fonctionne
ment.'A la suite de recherches consciencieuses
et grâce une longue expérience nous avons
réussi composer d^remèdes propres purifier
et fortifier le sang d'une manière sûre, promp
te, l'abri de tout gt suites fâcheuses, et con
server la circulation sa marche régulière.
Nous traitons toujours avec succès (sans mer
cure) certaines maladies provenant de sang corrompu,
les tristes suites d'habitudes secrètesen outre les-"états
de faiblesseles maladies de la peau, les plaies même -
les plus invétérées, les dartresla chute des cli-eveux,
la goutte et les rhumatismes, ainsi que toutes- lès
maladies de femme
Nous acceptons toute lettre confidentielle con
tenant la description détaillée de la maladie et
accompagné d'un timbre d'affranchissement
pour la réponse.
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anémie, chlorose, tous désordres de la poitrine, gorge, haleine,
voix, des brongffes. vesçie, foiè, reins, intestins, membrane,
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muqueuse, ebr^pm et sang'. C'est en outre l'aliment par excellence
qui seul riéussit éviter tous.les accidents de l'enfance. 100,000
,çtro»s annuelles, y compris celles de Sa Majesté l'Empereur Nicolas;
ife Sa Aainteté feu lç Pape Pie IX, de Mme la duchesse de Casl-
lesluart, lé duc dé Pluskosv, Mme la marquise de Bréban,
lord iStuart de ftecies, pair d'Angleterre, M. le docteur-professeur
Routb etc., etc.
Cure j)-5, 476: M. le curé destmparetde 18 ans de dyspepsie, de
gastraïgtlplf ^uffrance de l'esCoomac, nerf», faiblesses et sueurs
nocturnes
Curé N» 99,625. Avignonl 18 Avril 1876. La Revalenta Du
+1iarry m'a guérie, l'âge de 61 ans, d'épouvantables souffrances de
vingt ans. J'avais des oppressions dés plus terribles, ne plus
pouvoir faire aucun mouvement, ni m'habiller, ni déshabiller avec
des maux d'estomac jour et nuit et des insomnies horribles. Contre
-tqûtq^ ces angoisses, tous les remèdes avaient échoué la Revalenta
m'en a snuvé complètement. Borrbl, née Carbonnettey, rue du
- Balai, M
La sjemrae de' M. le maire de Volvic, d'une iritation pulmonaire
^eraeb^c nt de sang et toux opiniâtre.
JR^Gên^iei', Luzarches, d'une constipation opiniâtre, perle
4'a p pet r r hc, bronchite.
»- Rapport #ff"tfocteur Roulh. médecin en chef de l'hôpital >Smauha-
Uff (Tés femmes et des enfants, Londres s NatuTellement
en éléments indispensables au sang pour développer et
..ci cer.veau les nerfs, les chairs et les os la Pçgvaljial—S0TL
dtnre par excellence qui, suffit pour assurer la prospérité
des enfants et des Baalâ()es de iout âge. Beaucoup de femmes et
d'enfants, dépét'^Mil d'atrophie et de faiblesse très prïboncées,
qut éj| piffâtlenuenl guéris-par la Revalenta. Aux patientsphthisie
.qties. etiqSeset rachitiques elle convient mieLx que l'huile de foie
de morue.
Cure N» 98,614 Depuis des années, je souffrais de manque
d'appétit, mauvaise digestion, affections du cœur, des reins, de la
vessie, irritation nerveuse et mélancolie tous ces maux ont
disparu sous l'heureuse influence de votre divine Revalenta.
éon Petclrtinstituteur, Eynanças (Haute-Vienne)
Quatre fois nourrissante comme la viande, sans échauffer elle
économise encore 50 fois son prix en médecines En boites. 14,
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6.kH.. 36 fr 12 kil., 70 fr. Les biscuitde Revalenta en boîte
de 4 et 7 fr. Revalenta chocolatée- 1/2 livre, fr. 2-25 1 livre
4 fr.; 2 livres, 7 fr. Envoi contre bon de poste franco. Dépôt
partout, chez les pharmaciens et épiciers Do Barrr et Cm, limi-
tcd Agent général pour la Belgique. M. Emil» TIMMERMAN^
rue Rouppe, 4, Bruxelles.
Dépôt MOORSLEDE, Ch. Bostyn, boulanger.
YPRES, Stassin, successeur Libolle, pharmacien.
Dehouck. pharmacien.
A. Delhaize el C».
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que du Papier Royal Lyon en vent
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n'employez
'eau du Journal
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