DU 25 JANVIER 1891. POPERINGHE, SANTÉ «TOUS REVÀLENTA ARABIGA Y Chemin de fer. le 23 Janvier 1891. Le troid sibéçien dont nous sommes gratifiés depuis sept semaines et l'état des rues devenues de vraies glissoires et inspirant, ceux qui s'y risquent1,tla crainte dé qe-casser le cou, sont ve nus. contrarierai© -succès du concert donné, DiMànëhe dernier, par la Société Philharmoni que. V C'était réellement'tfès fâcheux, car le concert tait fart beau et tous ceux qui y ont assisté îîmt pas regretté les difficultés qu'ils ont dû Sucre pouf arriver sains et saufs jusqu'au al de la Philharmonie. servpartie vocale du concert nous a procuré le aufir de faire, deux nouvelles connaissances acques et Victor Vandervoodt, baryton et ténor,, saustes de la Société Royale des chœurs d&Uand. Ces deux artistes possèdent tous les deux une voix .superbe qu'ils conduisent avec beaucoup d'art: Nbue ne pouvons assez les féciliter sur le boa,goût qui a présidé la composition de leur programme et sur la manière réellement remar quable avec laquelle ils l'ont exécuté. Llair. d'ïïérodiadele duo des Pêcheurs de Perles, les Stances de Lakmé et l'Alléluia d'A mour nou&ont. fait apprécier la manière délicate et pleine de sentiment dont ils interprêtent ces charmeurs qui.ont noms Massenet, Éizet, Deli- bes et Faure. Par un heureux contraste, dans la mort d'Agnessens et dans le duo de Lucie, ils ont pu déployer toute la puissance et tout l'éclat de leur bel organe. Aussi leur succès a-t-il été grand et des applaudissements enthousiastes qui n'ont fait qu'augmenter durant tout le concert, leur ont prouvé le plaisir que le public éprouvait les entendre. M.. Demulder, qui se cache si modestement sous l'initiale X et dont nous trahissons aujour d'hui l'incognito, est pour les membres de la Philharmonie un artiste auquel ils ont voué la plu3"*vive sympathie. Dahs ses monologues et dans se»«œhansonnettes qu'il choisit toujours avec infikfeient de tact, il a su se faire applaudir et se faire l'isey Nous avqîia^ été heureux d'apprendre que, pour reconnallrtîla bonne grâce et l'empresse ment avec lequet-M.'Demulder a toujours ré pondu aux invitations de la Philharmonie, célle-ci l'a nommé membre d'honneur de la Société. Cette marqué, de distinction était bien due cet excellent-artiste $t nous y avons ap plaudi de tout cœur. Après avoir fait la part si justement mérités, par les artistes gâiftbispïlsons un mot de nos artistes amateurs. Et d'abord, constatons que tous les morceaux annoncés au* programme étaient exécutés pour aux personnes rûa*lveillantes l'égard dé là Philharmonie, qui prétendent que celle-ci exé cute toujours les mênjes morceaux et que son répertoire est insignifiant et peu varié. Deux de ces morceaux, une ouverture de Con cert de Sinsoilliez, professeur de l'académie de mnrifjiift de Lille, et une Barcarolle de Bender, chef de musique des Grenadiers, étaient dédiés M. Van Merris, Président de la Philharmonie. Ces deux œuvres sont très remarquables et la première surtout se" distingue par une orchestrac tion digne d'un maître. A signaler aussi u Festival ouverture de Luthner et une jolie mazurka d'un jeune, com positeur Belgè, Pierre Heckers, que la mort vient dé ravir la fleur de l'âge et dont le talent étajÇ plein de promesses pour l'avenir. L'exécution de ces difléfents ^norceaux n a rien laissé désirer et l'on sentait qu'ils avaient étéconsciencieusement travaillés Nos meilleurs et nos plus vives félicitations nos musiciens amateurs qui tous rivalisent de zèle pour maintenir toujours grande la réputa tion bien méritée dont la Philharmonie jouit dans le monde artistique et secondent le talent de notre habile et vaillant chef d'orchestre M. Van Elslande. Nous allions oublier de mentionner M. Roels et c'eut été injuste. Cet artiste se distingue en eflet par un talent d'accompagnateur hors ligne et les chanteurs doivent s'estimer très heureux quand ils ont la chance de rencontrer un collabo rateur qui les aide si bien pour exprimer les sentiments qu'ils veulent rendre. En résumé donc, le concert a été tout-à-fait charmant et les absents ont manqué une belle occasion de passer quelques heures d'une ma nière bien agréable. Le meilleur Purgatif Le Passe-Temps commence dans son numéro du Dimanche 25 Janvier une œuvre des plus émouvantes intitulée Vie bridée. On pourra se le procurer partir de Vendredi- dans les bureaux del' Agence Rossel Bruxelles au prix de 10 centi- sera envoyé :en province contre timbre ^SSHfcette publication* spéciale contient, dans chacun de ses numéros, la matière d'un demi volume. Outré les plus,jolis romans, on y trouve les matières les plus variées comme sciences amusantes, recettes, modes-, etc. Les bureaux de l'Agence Pavas (annonces) se ront transférés partir du lr Janvier prochain rue de la Madeleine, n° 32. YPRES-FURNES. FURNES-YPRES. Supplément m Progrès V.- -tf - - UN MIRACLE DE LA SCIENCE. La phtisie c'est la-"maladie de nos jours. Plusieurs et variées sont les causes qui concourent la multi plier, causes qu'ici il est inutile de rappeler. Jusqu'à présent, en général, la phtisie eut le nom la maladie qui ne pardonne pas Aujourd'hui enfin, nous avons apprikavec beaucoup de joie, que le célèbre Professeur GIUSEPPE BAN- DtÉRA de Palerme, médecin greffeur-éru ehièf de la.,';. Municipalité de cette ville, un savant qui a viqjlli dattS""'" la science fju'il exerce, après de longues et prQ.foAde? •- études, a découvert un remède singulièrem£u£èfficaoe contre les microbes de la phtisie, et ensuite aux gHcçès v obtenus et l'importance de sa découverte, -fi se' pro-W- pose de soumettre son spécifique l'e.xarnen d'une co'm- ty. mission du Gouvernement pour que ce dernierVeuiMè bien expérimenter, le nouveau remède dans les hôpitaux civils.et militaires, et de plus le faire connaître parrdes conférences donner dans les principales villes de l'Italie. Le docteur BANDIERA, né en 1813, demeure Palerme; il possède déjà da .nombreuses attestations pardes médecins, ainsi que-par des malades miracu leusement rétablis. Ce fut le journal II Secolo de Milan, N° 7818, qui en donna le premier l'heureuse annonce l'humanité souffrante. On lft-dans ce journal: Lè remède offert pour guérir la phtisie est ce qu'on croit, un antiseptique. Le docteur BANDIERA soutient que son remède fait disparaître les symptômes dé la phtisie dans le terme de deux ou trois semaines, en,;.tuant le bacillé de Koch et que le patient se trouve en état de guérjson dans Je terme péremptoire de 40 jours. Le doêteûr BANDIERA offre sa^médicinal tous ceux qui. én. ont jjesoin. Il se réservF de publier une analyse de sa SpcoSiierte aussitôt que la Commission. Sanitaire seraratnie. Four conclure Au moment où nous féficiions avec l'illustre et vénérable médecin, nous invitons tout souf frant se diriger sur je champ lui. Il n'y a pas de temps perdre le premier/coup de toux n'est que trop rsoi^epf,-le prqffijgr râle jlp l'Algie JL.e plu s aff^éa bl e rendue sans médecinselsans purges et sans frais par la délicieuse farine <fe santé Du Barry de l.ondres. dite :ieuse farine «Te santé Du Barry de Quarante ans d'un invariable succès,en guérissant les constipa- ions dyspepsies, mauvaises digestions, gastrites, gastralgies,glaires, vents, aigreurs, acidités, palpitations, pituites, nausées, renvois, vomissements, constipation, diarrhée, djssenlerie. coliques, phtisie, toux, asthme, étouffements, élourdissemeuts, oppressions, congestions, névrose, insomnies, diabète, faiblesse, épuisement, anémie, chlorose, tous désordres de la poitrine, gorge, baleine, voix, des bronches, vessie, foie, reins, intestins, membrane, muqueuse, cerveau et sang. C'est en outre l'aliment par excellence qui seul réussit éviter tous les accidents de l'enfance. 100.000 cures annuelles, y compris celles de Sa Majesté l'Empereur NiCclas; de <Sa iSainteté.feu le Pape Pie IX, de Mme la duchesse de Casl- lesluart. le duc de Pluskow, Mme la marquise de Bnéban, lord <?luai't de Oecies, pair d'Angleterre, M. le docteur-profess-ur Routh etc etc. Cure N-65, 476v*M. le curé destraparetdel8 ant-Je dyspepsie.de gastralgie, de souffrance de l'esCoomac, nerfs; faiblesses sueurs nocturnes. jp- Cure N» 99,025. Avignon, 18 Avril4?76..I# Revalenja Du llarry m'a guérie, l'âge de 01 ans, d'ép"ouva$tabfes souffrance* de vingt ans. J'avais des oppressions .des «plus 'temblés, ne plus pouvoir faire aucun mouvement, ni m'babiller.^jBÏ rfêshabiller avec des maux d'estomac jour et nuit et des insomnies horribles. Contre toutes ce.s angqisaes, tous les remèdes avaient•«♦houé! la Kevalçjtta m'en a sauvé complètement- Bosrkl, uée*-CaAjorinettey; rue 'aiu Bafai. 11. d'appétit, catarrhe, bronchite! Rapport du docteur Routh. médecin en chef de d'hôpital 5mauba- J au. des femmes et des enfants, à- l.ondres a Naturellement riche - -f-.e&jéléments indispensables atr sang-pour développer et entretenir - -ei .cerveau, les nerfs. Jes chailÉ et tes osla Rcvaienta est la nour- 'fffni"epar excetlenéeqfli. seule; suffit pour assurer la prospérité' des enfants el dès malades de tout âge. Beaucoup de. femmes et d'enfants, dépérissant d'atrophie et dé feibiess/'Wès prononcées, qntété parfaitement guéris par la Revalenla. Aux pâÀienfcjbphUtisie ques, étiques et rachiliques elle convient mieix que l'huile dWoie de morue. i Cure N* 98,614 Depuis des années, je-souffrais de manque d'appétit, mauvaise digestion, affections du cœur^des reins, de la vessie, irritation nerveuse et mélancolie tout pts maux ont disparu sons l'heureuse influence de votre, divine Revalenla. i bon Petclet, instituteur, Eynanças (Haute-Vienne) Quatre fois nourrissante comme la viande, sans échauffer elle économise encore 50 fois son prix en médecines En boites. 14, Ici!., fr. 2-25; 1/2 kil., 4 fr.; 1 kit., 7 fr.; 2 1f2kil.,16 fr. 6 kil.. 56 fr 12 kil., 70 fr. Les biscuitde Revalenta en boite de 4 et 7 fr. La Revalenta chocolatée- 1/2 livre, fr. 2-25 1 livre 4 fr.; 2 livres. 7 fr. Envoi contre bon de poste franco. Dépôt partout, chez les pharmaciens et épiciers Du Ëiaar et Cie, Iimi- ted Agent général pour la Belgique. M. Emile TIMMERMAN5 rue Rouppe; 4, Bruxelles. Dépôt MOQSSLEDE. Ch. Bostyn. boulanger. VPRES, Slassin, successeur Libolie, pharmacien. Dehouck, pharmacien. A, Delhaize el C°. Heures de départ partir du U Octobre 4'Ypres pour Popqringhe, 6-50 9-09 40-00 12-07 3-00 4-00 6-42 9-05 9-58. Poptiringlie-Rqzebrouck. 6 w o oo vx-ul - 4-00 -rr 6-42. Houthem, 5-30 8-20 11-16 5-20. Comines,5-30 - 8-20 - 9-58 11-16 2-43 - 5-20 Domines-Armentières, 5-30 11-162-545-208-55 Roulers, 6-15- 7-45 -10-40— 12-20 2-45 -4-10 6-42. Langemarck-Ostende, 4-30 (Cortemarek) 7-18 9-57 -12-17 3-56—6-21. Courtrai, 5-30 8-20 9-58 -11-46 2-43 5-20 (Dép. de Comines Courtrai 7-45.) Courlrai-Bruxelles, 5-30 9-58—11-162-43 5-20. Courtrai-Gand, 5-30 8-20 11-16 2-43 5-20. 5.00 7-34 10-20 1-00 4-00 6-25. 5.O6 7-40 10-Jô 1-06 4-06 6-30. m .Jagp-

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Le Progrès (1841-1914) | 1891 | | pagina 5